Un plan de sécurité est "opérationnel" pour les
Français vivant en Côte d'Ivoire, a assuré mardi à l'Assemblée nationale le
ministre de la Coopération Henri de Raincourt, en soulignant qu'il n'existe
pas "en ce moment de menace directe" à leur encontre.
"Le plan de sécurité ainsi que les moyens mis en alerte sont opérationnels
et efficaces, et naturellement ils seront mis en oeuvre en cas de menace
directe sur la communauté française", a assuré le ministre, répondant à des
inquiétudes exprimées en France quant à la situation des quelque 15.000
Français vivant en Côte d'Ivoire.
Le pays est depuis le week-end dernier profondément divisé, avec deux
présidents et deux gouvernements. Seul Alassane Ouattara, que la commission
électorale indépendante a déclaré vainqueur des élections, a été reconnu comme
président légitime par la France et la plus grande partie de la communauté
internationale.
M. de Raincourt a fait valoir que le millier de soldats français de la
Force Licorne, qui est en soutien à une opération des Nations Unies en Côte
d'Ivoire, "a pour priorité d'assurer la protection en cas de besoin de nos
ressortissants".
"A ce stade, je veux dire, avec beaucoup de réserves, qu'il ne semble pas
qu'il existe pour le moment de menace directe contre les ressortissants
étrangers et spécialement français", a-t-il ajouté.
"C'est sur cette base que nous avons décidé de rouvrir ce matin le lycée et
l'école français", a-t-il dit.
M. de Raincourt a encore relevé que "toutes les précautions qui s'imposent
ont été prises", que le centre de crise du Quai d'Orsay "assure un suivi de
tous les instants et une veille très étroite de la situation", et que les
messages nécessaires sont absolument diffusés ainsi que les conseils de
prudence".
Français vivant en Côte d'Ivoire, a assuré mardi à l'Assemblée nationale le
ministre de la Coopération Henri de Raincourt, en soulignant qu'il n'existe
pas "en ce moment de menace directe" à leur encontre.
"Le plan de sécurité ainsi que les moyens mis en alerte sont opérationnels
et efficaces, et naturellement ils seront mis en oeuvre en cas de menace
directe sur la communauté française", a assuré le ministre, répondant à des
inquiétudes exprimées en France quant à la situation des quelque 15.000
Français vivant en Côte d'Ivoire.
Le pays est depuis le week-end dernier profondément divisé, avec deux
présidents et deux gouvernements. Seul Alassane Ouattara, que la commission
électorale indépendante a déclaré vainqueur des élections, a été reconnu comme
président légitime par la France et la plus grande partie de la communauté
internationale.
M. de Raincourt a fait valoir que le millier de soldats français de la
Force Licorne, qui est en soutien à une opération des Nations Unies en Côte
d'Ivoire, "a pour priorité d'assurer la protection en cas de besoin de nos
ressortissants".
"A ce stade, je veux dire, avec beaucoup de réserves, qu'il ne semble pas
qu'il existe pour le moment de menace directe contre les ressortissants
étrangers et spécialement français", a-t-il ajouté.
"C'est sur cette base que nous avons décidé de rouvrir ce matin le lycée et
l'école français", a-t-il dit.
M. de Raincourt a encore relevé que "toutes les précautions qui s'imposent
ont été prises", que le centre de crise du Quai d'Orsay "assure un suivi de
tous les instants et une veille très étroite de la situation", et que les
messages nécessaires sont absolument diffusés ainsi que les conseils de
prudence".