Lors de son investiture, le samedi dernier, le chef de l’Etat a été très clair sur ce qui concerne la souveraineté de la Côte d’Ivoire. «Je ne la négocie pas», a-t-il dit.
«Un pays fort ne négocie pas sa souveraineté». Cette phrase pleine de détermination et de conviction, a été prononcée le samedi 4 novembre 2010 par Sem. Laurent Gbagbo, Président de la République de Côte d’Ivoire, au palais présidentiel sis au Plateau, au cours de son investiture. Il fallait s’y attendre. Ce bout de phrase vient mettre fin à une insupportable situation que vit depuis 8 années, la Côte d’Ivoire. Un pays souverain et protégé par une Constitution que des personnes guidées par des intérêts insoupçonnés, veulent asservir. Oui, «un pays fort ne négocie pas sa souveraineté». C’est d’ailleurs cette souveraineté que le Président de la Côte d’Ivoire fraichement réélu, voudrait humblement redonner à son cher et fier pays. Mais Contre toute attente, des forces occultes tapis dans l’ombre manigances des plans diaboliques pour toujours maintenir l’Etat d’Eburnie dans la servitude, au point de le rendre vassale. Toutes choses que les Ivoiriens refusent d’accepter. Pour se mettre à l’abri de cet avilissement, ils ont tout simplement décidé comme un seul homme, de remettre leur pays aux mains d’un homme sobre et intelligent. Il s’agit de Laurent Gbagbo, candidat de La majorité présidentielle (Lmp), à qui les populations ivoiriennes viennent d’accorder leur suffrage au cours du dernier scrutin. C’est à cet homme que le peuple ivoirien a décidé de confier son destin. Pour eux, il est la personne qui incarne le mieux, les valeurs et surtout les idéaux des Ivoiriens. Aujourd’hui, le souci majeur des Ivoiriens est de recouvrer la liberté qui passe par une indépendance totale du pays. C’est pourquoi, ils donnent autorité à leur Président démocratiquement élu pour qu’il libère une fois pour toutes, le pays du joug impérialiste. Et cette libération de la Nation ivoirienne doit forcément démarrer par la réunification totale du pays. Pour que ce pays soit définitivement à l’abri des apprentis sorciers, il faut bouter hors d’état de nuire, tous les ennemis de la République quelle que soit leur capacité de nuisance. Ainsi, mandat a été donné au chef d’Etat Sem Laurent Gbagbo, à travers les urnes pour que soit mis fin à la récréation des perturbateurs et autres rebelles qui gênent énormément le développement du pays. Car, la force d’un Etat réside dans sa capacité à faire face à l’adversité. C’est pourquoi, le gouvernement doit mettre tous les atouts de son côté pour venir à bout de cette rébellion qui n’existe que de nom. C’est d’ailleurs en cela que le bout de phrase prononcée au cours de son investiture le samedi dernier, revêt toute son importance. L’heure de la libération de la Côte d’Ivoire a sonné. Il est hors de question qu’un Etat quémande sa souveraineté. L’Etat doit se montrer ferme, impitoyable et rigoureux en pareille circonstance.
Jean-Baptiste Essis
jejbessis@gmail.com
«Un pays fort ne négocie pas sa souveraineté». Cette phrase pleine de détermination et de conviction, a été prononcée le samedi 4 novembre 2010 par Sem. Laurent Gbagbo, Président de la République de Côte d’Ivoire, au palais présidentiel sis au Plateau, au cours de son investiture. Il fallait s’y attendre. Ce bout de phrase vient mettre fin à une insupportable situation que vit depuis 8 années, la Côte d’Ivoire. Un pays souverain et protégé par une Constitution que des personnes guidées par des intérêts insoupçonnés, veulent asservir. Oui, «un pays fort ne négocie pas sa souveraineté». C’est d’ailleurs cette souveraineté que le Président de la Côte d’Ivoire fraichement réélu, voudrait humblement redonner à son cher et fier pays. Mais Contre toute attente, des forces occultes tapis dans l’ombre manigances des plans diaboliques pour toujours maintenir l’Etat d’Eburnie dans la servitude, au point de le rendre vassale. Toutes choses que les Ivoiriens refusent d’accepter. Pour se mettre à l’abri de cet avilissement, ils ont tout simplement décidé comme un seul homme, de remettre leur pays aux mains d’un homme sobre et intelligent. Il s’agit de Laurent Gbagbo, candidat de La majorité présidentielle (Lmp), à qui les populations ivoiriennes viennent d’accorder leur suffrage au cours du dernier scrutin. C’est à cet homme que le peuple ivoirien a décidé de confier son destin. Pour eux, il est la personne qui incarne le mieux, les valeurs et surtout les idéaux des Ivoiriens. Aujourd’hui, le souci majeur des Ivoiriens est de recouvrer la liberté qui passe par une indépendance totale du pays. C’est pourquoi, ils donnent autorité à leur Président démocratiquement élu pour qu’il libère une fois pour toutes, le pays du joug impérialiste. Et cette libération de la Nation ivoirienne doit forcément démarrer par la réunification totale du pays. Pour que ce pays soit définitivement à l’abri des apprentis sorciers, il faut bouter hors d’état de nuire, tous les ennemis de la République quelle que soit leur capacité de nuisance. Ainsi, mandat a été donné au chef d’Etat Sem Laurent Gbagbo, à travers les urnes pour que soit mis fin à la récréation des perturbateurs et autres rebelles qui gênent énormément le développement du pays. Car, la force d’un Etat réside dans sa capacité à faire face à l’adversité. C’est pourquoi, le gouvernement doit mettre tous les atouts de son côté pour venir à bout de cette rébellion qui n’existe que de nom. C’est d’ailleurs en cela que le bout de phrase prononcée au cours de son investiture le samedi dernier, revêt toute son importance. L’heure de la libération de la Côte d’Ivoire a sonné. Il est hors de question qu’un Etat quémande sa souveraineté. L’Etat doit se montrer ferme, impitoyable et rigoureux en pareille circonstance.
Jean-Baptiste Essis
jejbessis@gmail.com