Les Ivoiriens des Etats-Unis ont demandé au secrétaire général de l’ONU et à la France connue sous le sobriquet de la communauté internationale d’approuver et de respecter la décision du Conseil Constitutionnel de Côte-d’Ivoire. Cela, lors d’une gigantesque marche de protestation qui a eu lieu le mardi 7 décembre 2010 devant le siège de l’organisation mondiale à New York.
“Sarkozy, Ban Kimoon et Choi, responsables du prochain génocide en Cote d’Ivoire”, “Laurent Gbagbo, Président légal de Côte d’Ivoire”, ou encore, “Respectez la souveraineté de la Côte d’Ivoire”. C’est ce qu’on pouvait lire sur les écriteaux que brandissaient ces hommes et femmes qui ont bravé le terrible froid qu’il faisait à New York ce jour, juste pour venir crier leur ras-le bol face à cette situation confuse à eux imposée par les ennemis connus de leur pays.
Dans un courrier transmis au secrétaire général de l’ONU, les Ivoiriens des Etats Unis ont rappelé à Ban Ki moon les obligations de maintien de l’ordre, de la paix et de la sécurité entre les pays qui composent l’institution qu’il dirige et surtout le fait que, “rien dans sa charte n’autorise les Nations Unies à agir en lieu et place des juridictions légales de ces Etats souverains qui sont d’ailleurs sa raison de vivre”. Pour eux, “mettre entre parenthèses ces principes fondamentaux, reviendrait à donner raison aux détracteurs de cette nébuleuse qui, apparemment, semble avoir du mal à se démarquer de son stade de
«machin” où De gaulle l’avait laissée en 1958”.
Aussi, estiment ces patriotes, qu’il est “absolument honteux et malheureux que, la France, abusivement appelée communauté internationale, se plaise à bander ses muscles sur un petit pays, juste pour des intérêts égoïstes”. Ce pourquoi ils ont promis de ne pas se laisser intimider et distraire par la campagne de désinformation et d’intoxication que cette puissance mène depuis quelques jours avec sa presse en prêtant des propos tendancieux au Président Obama. Ils donneront d’ailleurs les raisons pour lesquelles Obama et l’Amérique ne devraient pas se ridiculiser jusqu’à ce point : “En 2000, durant les élections Présidentielles aux Etats-Unis qui opposaient M. Georges Bush à M. Al Gore et face aux irrégularités dans l’état de Floride, la plus Haute Institution Juridique Américaine, la Cour Suprême, a déclaré M. Georges Bush 43ème Président des Etats-Unis. Malgré le désaccord des Démocrates, la décision prise par cette Haute Institution Juridique a été acceptée et respectée. M. Gore n’est pas allé former un gouvernement parallèle dans sa chambre et appeler Choi, Ban kimoon et consorts pour le certifier ou le reconnaître. Pourquoi alors chercher à tout prix à installer la chienlit en Côte d’Ivoire en encourageant l’anarchie ?
Ces ivoiriens ont alors pris la ferme décision de rencontrer les missions diplomatiques de tous les Etats représentés à l’Onu afin de leur expliquer la différence entre une commission électorale et un conseil constitutionnel dans leur pays, espérant vivement que, ceux qui ont les oreilles pour entendre, comprendront pour laisser les Ivoiriens appliquer leurs lois n
Correspondance particulière depuis New York
Fanta Camara (fantagbe2003@yahoo.com)
“Sarkozy, Ban Kimoon et Choi, responsables du prochain génocide en Cote d’Ivoire”, “Laurent Gbagbo, Président légal de Côte d’Ivoire”, ou encore, “Respectez la souveraineté de la Côte d’Ivoire”. C’est ce qu’on pouvait lire sur les écriteaux que brandissaient ces hommes et femmes qui ont bravé le terrible froid qu’il faisait à New York ce jour, juste pour venir crier leur ras-le bol face à cette situation confuse à eux imposée par les ennemis connus de leur pays.
Dans un courrier transmis au secrétaire général de l’ONU, les Ivoiriens des Etats Unis ont rappelé à Ban Ki moon les obligations de maintien de l’ordre, de la paix et de la sécurité entre les pays qui composent l’institution qu’il dirige et surtout le fait que, “rien dans sa charte n’autorise les Nations Unies à agir en lieu et place des juridictions légales de ces Etats souverains qui sont d’ailleurs sa raison de vivre”. Pour eux, “mettre entre parenthèses ces principes fondamentaux, reviendrait à donner raison aux détracteurs de cette nébuleuse qui, apparemment, semble avoir du mal à se démarquer de son stade de
«machin” où De gaulle l’avait laissée en 1958”.
Aussi, estiment ces patriotes, qu’il est “absolument honteux et malheureux que, la France, abusivement appelée communauté internationale, se plaise à bander ses muscles sur un petit pays, juste pour des intérêts égoïstes”. Ce pourquoi ils ont promis de ne pas se laisser intimider et distraire par la campagne de désinformation et d’intoxication que cette puissance mène depuis quelques jours avec sa presse en prêtant des propos tendancieux au Président Obama. Ils donneront d’ailleurs les raisons pour lesquelles Obama et l’Amérique ne devraient pas se ridiculiser jusqu’à ce point : “En 2000, durant les élections Présidentielles aux Etats-Unis qui opposaient M. Georges Bush à M. Al Gore et face aux irrégularités dans l’état de Floride, la plus Haute Institution Juridique Américaine, la Cour Suprême, a déclaré M. Georges Bush 43ème Président des Etats-Unis. Malgré le désaccord des Démocrates, la décision prise par cette Haute Institution Juridique a été acceptée et respectée. M. Gore n’est pas allé former un gouvernement parallèle dans sa chambre et appeler Choi, Ban kimoon et consorts pour le certifier ou le reconnaître. Pourquoi alors chercher à tout prix à installer la chienlit en Côte d’Ivoire en encourageant l’anarchie ?
Ces ivoiriens ont alors pris la ferme décision de rencontrer les missions diplomatiques de tous les Etats représentés à l’Onu afin de leur expliquer la différence entre une commission électorale et un conseil constitutionnel dans leur pays, espérant vivement que, ceux qui ont les oreilles pour entendre, comprendront pour laisser les Ivoiriens appliquer leurs lois n
Correspondance particulière depuis New York
Fanta Camara (fantagbe2003@yahoo.com)