«Si Monsieur Gbagbo ne se retire pas, les Etats-Unis songent à prendre des mesures supplémentaires contre lui. Sa famille, son épouse, ses enfants, son entourage immédiat et toutes les personnes qui l’aident à se maintenir au pouvoir de façon illégale. Nous réfléchissons à l’instauration d’interdictions de voyager, à sa famille et ses proches, à l’imposition de sanctions économiques contre lui et son entourage. L’ère où l’on pouvait voler les élections en Afrique est révolue. Cela devrait être un exemple de toute l’Afrique entière et cela ne sera plus toléré.»
Dans une lettre adressée à M. Gbagbo, le président américain Barack Obama "dit clairement que s'il (M. Gbagbo) fait le mauvais choix (...) nous envisagerons d'éventuelles sanctions contre lui et d'autres, si besoin est", a indiqué le porte-parole du département d'Etat Philip Crowley.
Mardi, M. Crowley avait appelé le président sortant à "reconnaître la volonté du peuple de Côte d'Ivoire et entamer une transition pacifique". Et lundi un haut responsable avait indiqué que pour la Maison Blanche, Alassane Ouattara était le vainqueur "légitime" de l'élection.
Dans une lettre adressée à M. Gbagbo, le président américain Barack Obama "dit clairement que s'il (M. Gbagbo) fait le mauvais choix (...) nous envisagerons d'éventuelles sanctions contre lui et d'autres, si besoin est", a indiqué le porte-parole du département d'Etat Philip Crowley.
Mardi, M. Crowley avait appelé le président sortant à "reconnaître la volonté du peuple de Côte d'Ivoire et entamer une transition pacifique". Et lundi un haut responsable avait indiqué que pour la Maison Blanche, Alassane Ouattara était le vainqueur "légitime" de l'élection.