Le Gabon appelle les Ivoiriens à privilégier la paix "en tenant compte de la position exprimée par l`Union africaine (UA) et de la résolution adoptée par l`ONU", dans un communiqué officiel diffusé vendredi mais qui évite de mentionner le nom du vainqueur proclamé par ces deux organisations, Alassane Ouattara.
Le Conseil des ministres dirigé jeudi par le président Ali Bongo Ondimba "exprime, au nom du peuple gabonais, le voeu le plus ardent de voir l`Etat de
Côte d`Ivoire et le peuple ivoirien privilégier la paix et la concorde nationale suite à la présidentielle qui a été organisée dans ce pays frère, en tenant compte de la position exprimée par l`Union africaine (UA) et de la résolution adoptée par l`Organisation des Nations unies (ONU)", déclare le communiqué publié par les quotidiens L`Union et Gabon-Matin.
Le texte ne nomme ni Laurent Gbagbo, président sortant proclamé réélu par le Conseil constitutionnel de Côte d`Ivoire, ni Alassane Ouattara, son opposant proclamé vainqueur du second tour de la présidentielle du 28 novembre. M. Ouattara a été reconnu président élu par l`ONU, l`UA et plusieurs pays.
Libreville affirme que son voeu pour les Ivoiriens s`inscrit dans "la tradition gabonaise léguée par le président (gabonais) Omar Bongo Ondimba (décédé en juin 2009, NDLR) d`encourager, en toute circonstance, exclusivement des solutions promotrices et garantes de la paix".
Le Gabon souhaite que la Côte d`Ivoire privilégie la paix "afin que, (...) aux côtés d`autres pays africains, (elle) participe davantage au processus engagé et irréversible d`émergence d`une Afrique qui, après les cinquante premières années d`existence de plusieurs de ses Etats, doit s`affirmer sur la scène internationale nouvelle".
MM. Gbagbo et Ouattara ont formé chacun un gouvernement et luttent pour s`assurer le contrôle des administrations et des finances du pays. Jeudi, l`UA a décidé de suspendre la Côte d`Ivoire tant que M. Gbagbo n`aura pas cédé la place à M. Ouattara alors que la veille, mercredi, le Conseil de sécurité de l`ONU avait annoncé dans une déclaration son soutien à M. Ouattara comme président ivoirien élu.
Le Conseil des ministres dirigé jeudi par le président Ali Bongo Ondimba "exprime, au nom du peuple gabonais, le voeu le plus ardent de voir l`Etat de
Côte d`Ivoire et le peuple ivoirien privilégier la paix et la concorde nationale suite à la présidentielle qui a été organisée dans ce pays frère, en tenant compte de la position exprimée par l`Union africaine (UA) et de la résolution adoptée par l`Organisation des Nations unies (ONU)", déclare le communiqué publié par les quotidiens L`Union et Gabon-Matin.
Le texte ne nomme ni Laurent Gbagbo, président sortant proclamé réélu par le Conseil constitutionnel de Côte d`Ivoire, ni Alassane Ouattara, son opposant proclamé vainqueur du second tour de la présidentielle du 28 novembre. M. Ouattara a été reconnu président élu par l`ONU, l`UA et plusieurs pays.
Libreville affirme que son voeu pour les Ivoiriens s`inscrit dans "la tradition gabonaise léguée par le président (gabonais) Omar Bongo Ondimba (décédé en juin 2009, NDLR) d`encourager, en toute circonstance, exclusivement des solutions promotrices et garantes de la paix".
Le Gabon souhaite que la Côte d`Ivoire privilégie la paix "afin que, (...) aux côtés d`autres pays africains, (elle) participe davantage au processus engagé et irréversible d`émergence d`une Afrique qui, après les cinquante premières années d`existence de plusieurs de ses Etats, doit s`affirmer sur la scène internationale nouvelle".
MM. Gbagbo et Ouattara ont formé chacun un gouvernement et luttent pour s`assurer le contrôle des administrations et des finances du pays. Jeudi, l`UA a décidé de suspendre la Côte d`Ivoire tant que M. Gbagbo n`aura pas cédé la place à M. Ouattara alors que la veille, mercredi, le Conseil de sécurité de l`ONU avait annoncé dans une déclaration son soutien à M. Ouattara comme président ivoirien élu.