Suite à la tenue du second tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire le 28 novembre 2010, le pays se trouve aujourd’hui dans une impasse politico institutionnelle se traduisant par un bicéphalisme au sommet de l’Etat.
Des individus ou groupes d’individus, aux ordres ou de leur propre chef, profitent de cette situation pour commettre des actes de violences, des destructions voire des assassinats.
Une semaine seulement après les proclamations contradictoires des résultats de l’élection, on a enregistré un nombre trop élevé d’actes de violences et de violations sous diverses formes de droits de l’homme :
-Plusieurs dizaines de morts et de blessés consécutivement à l’instauration du couvre feu, à des affrontements entre partisans de LMP et de RHDP dans des localités du pays ou à des répressions sanglantes de manifestations.
-Destructions de biens privés ou communautaires.
Par ailleurs, il faut souligner la confiscation, depuis quelque temps, des media publics par un seul camp sans la moindre réaction du CNCA. Les media étrangers sont fermés sans motifs convaincants.
En zone Centre, Nord et Ouest, la situation est tout aussi grave avec une propagande digne de la pensée unique en faveur d’un autre camp.
La Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI) condamne fermement toutes les formes de violences quotidiennes perpétrées contre des personnes ou des groupes de personnes et des destructions de biens.
A l’occasion du 10 décembre, Journée Internationale des Droits de l’Homme, la CSCI exige la préservation et la protection du droit à la vie, premier droit de l’homme ; car aucune idéologie politique ne peut justifier la suppression de la vie humaine.
La CSCI prévient les violateurs impénitents du droit à la vie et à leurs commanditaires qu’ils s’exposent aux poursuites de la Cour Pénale Internationale (CPI).
A cet effet, la CSCI demande à la CPI d’accroitre sa surveillance sur la Côte d’Ivoire.
La CSCI demande le respect du droit à une information équilibrée dans les médias publics et ceux des zones CNO par un exercice, par le CNCA et le CNP, de leurs attributions effectives sur l’ensemble du territoire national.
Le Coordonnateur National de la CSCI
Dr N’Gouan Patrick
Des individus ou groupes d’individus, aux ordres ou de leur propre chef, profitent de cette situation pour commettre des actes de violences, des destructions voire des assassinats.
Une semaine seulement après les proclamations contradictoires des résultats de l’élection, on a enregistré un nombre trop élevé d’actes de violences et de violations sous diverses formes de droits de l’homme :
-Plusieurs dizaines de morts et de blessés consécutivement à l’instauration du couvre feu, à des affrontements entre partisans de LMP et de RHDP dans des localités du pays ou à des répressions sanglantes de manifestations.
-Destructions de biens privés ou communautaires.
Par ailleurs, il faut souligner la confiscation, depuis quelque temps, des media publics par un seul camp sans la moindre réaction du CNCA. Les media étrangers sont fermés sans motifs convaincants.
En zone Centre, Nord et Ouest, la situation est tout aussi grave avec une propagande digne de la pensée unique en faveur d’un autre camp.
La Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI) condamne fermement toutes les formes de violences quotidiennes perpétrées contre des personnes ou des groupes de personnes et des destructions de biens.
A l’occasion du 10 décembre, Journée Internationale des Droits de l’Homme, la CSCI exige la préservation et la protection du droit à la vie, premier droit de l’homme ; car aucune idéologie politique ne peut justifier la suppression de la vie humaine.
La CSCI prévient les violateurs impénitents du droit à la vie et à leurs commanditaires qu’ils s’exposent aux poursuites de la Cour Pénale Internationale (CPI).
A cet effet, la CSCI demande à la CPI d’accroitre sa surveillance sur la Côte d’Ivoire.
La CSCI demande le respect du droit à une information équilibrée dans les médias publics et ceux des zones CNO par un exercice, par le CNCA et le CNP, de leurs attributions effectives sur l’ensemble du territoire national.
Le Coordonnateur National de la CSCI
Dr N’Gouan Patrick