Les Forces Nouvelles constatent que depuis la confiscation du pouvoir par Monsieur Laurent GBAGBO, les populations ivoiriennes, notamment celles qui ont voté, ou sont soupçonnés d’avoir voter pour SEM Alassane OUATTARA vivent une situation extrêmement difficile et intolérable.
En effet, chaque jour apporte son lot quotidien de désolation. De jour, les populations allochtones subissent des représailles. De nuit à la faveur d’un couvre feu injustifié, les militants, les sympathisants, et tous ceux qui soupçonnés d’avoir fait le choix de Monsieur Alassane OUATTARA sont traqués, jusque dans leurs domiciles, arrêtés, torturés, voire tués.
Les Forces nouvelles notent que chaque jour le bilan s’alourdit, portant le nombre de morts à 70, de blessés à 578 et de disparus à 21, tant à Abidjan, qu’en zone forestière et dans le sud Bandama, notamment, à Sinfra, à San Pedro, à Divo où les exactions ont atteint un niveau insoutenable pour les populations sans que les Forces de l’ordre ne soient interpellés et mis face à leur responsabilité.
Les Forces Nouvelles s’étonnent de la passivité des FDS face à cette situation inqualifiable qui se déroule dans une partie du territoire censé être sous leur contrôle.
Les Forces Nouvelles s’indignent que les FDS soient même parfois les auteurs de ces atrocités comme ce fut le cas à Yopougon le jeudi 2 décembre où l’attaque du siège du RDR a fait 8 morts et 14 blessés.
Les Forces Nouvelles s’inclinent respectueusement devant la mémoire de toutes les innocentes victimes enregistrées à ce jour et renouvellent leur soutien aux populations.
Les Forces Nouvelles condamnent avec la dernière énergie cette barbarie inadmissible et rappellent les FDS à leurs devoirs de protection des personnes et des biens à l’instar de leurs frères d’armes des FAFN dans les zones Centre, Nord et Ouest.
Les Forces Nouvelles exhortent les populations à rester mobilisées et à appeler le numéro vert de l’ONUCI dès qu’elles sont informées d’un cas d’exaction ou d’agression au 46.00.01.66.
Fait à Bouaké, le 10 décembre 2010
Pour les Forces nouvelles
La Porte parole
Me Affoussy BAMBA
En effet, chaque jour apporte son lot quotidien de désolation. De jour, les populations allochtones subissent des représailles. De nuit à la faveur d’un couvre feu injustifié, les militants, les sympathisants, et tous ceux qui soupçonnés d’avoir fait le choix de Monsieur Alassane OUATTARA sont traqués, jusque dans leurs domiciles, arrêtés, torturés, voire tués.
Les Forces nouvelles notent que chaque jour le bilan s’alourdit, portant le nombre de morts à 70, de blessés à 578 et de disparus à 21, tant à Abidjan, qu’en zone forestière et dans le sud Bandama, notamment, à Sinfra, à San Pedro, à Divo où les exactions ont atteint un niveau insoutenable pour les populations sans que les Forces de l’ordre ne soient interpellés et mis face à leur responsabilité.
Les Forces Nouvelles s’étonnent de la passivité des FDS face à cette situation inqualifiable qui se déroule dans une partie du territoire censé être sous leur contrôle.
Les Forces Nouvelles s’indignent que les FDS soient même parfois les auteurs de ces atrocités comme ce fut le cas à Yopougon le jeudi 2 décembre où l’attaque du siège du RDR a fait 8 morts et 14 blessés.
Les Forces Nouvelles s’inclinent respectueusement devant la mémoire de toutes les innocentes victimes enregistrées à ce jour et renouvellent leur soutien aux populations.
Les Forces Nouvelles condamnent avec la dernière énergie cette barbarie inadmissible et rappellent les FDS à leurs devoirs de protection des personnes et des biens à l’instar de leurs frères d’armes des FAFN dans les zones Centre, Nord et Ouest.
Les Forces Nouvelles exhortent les populations à rester mobilisées et à appeler le numéro vert de l’ONUCI dès qu’elles sont informées d’un cas d’exaction ou d’agression au 46.00.01.66.
Fait à Bouaké, le 10 décembre 2010
Pour les Forces nouvelles
La Porte parole
Me Affoussy BAMBA