Les personnalités sur la liste noire de l’ONU
Politiques
Simone Gbagbo (Epouse de Gbagbo)
Affi N’Guessan (Président FPI)
Désiré Tagro (Ministre FPI)
Alcide Djédjé (Conseiller diplomatique FPI)
Bertin Kadet (Conseiller militaire FPI)
Williams Attebi (Député LMP)
Généviève Bro Grébé (LMP)
Gervais Coulibaly (Porte-Parole Gbagbo)
Odette Lorougnon (Député FPI)
Appia Kabran (Député FPI)
Militaires
Général Dogbo Blé Brunot (Commandant Garde républicaine)
Général Guiai Bi Poin (Commandant du CeCOS)
Vice Amiral Vagba Faussignaux (Commandant de la Marine)
Colonel Major Gnaolé Gbeuglé Clément (Service renseignement-Gendarmerie)
Colonel Valentin Obou Gadou (Commandant 1ère légion-Gendarmerie)
Colonel Ahouman Nathanaël (Commandant GSPR)
Lieutenant de Vaisseau Henri César Sama (Conseiller ex-ministre de la Défense)
Colonel Jean-Noël Abehi (Commandant groupe d’escadrons blindés-gendarmerie)
Commandant Anselme Séka Yapo (Aide de camp de Simone)
Le Sous lieutenant Adoubi Kimou Kipling ( A l’escadron de Yopougon)
Communication
Silvère Nébout (Conseiller spécial PR)
Brou Amessan (DG RTI)
Franck Anderson Kouassi (CNCA)
Félix Nanihio (CNCA)
Paul Dokoui (Radio CI)
Eloi Oulaï (Radio CI)
Les ex-Dirigenats de la RTI
Militants FPI
Marcel Gossio (DG PAA)
Vehi Tokpa (Commissaire CEI)
Damanan Pikas (Commissaire CEI)
Maho Glofiehi (Chef milicien-FLGO)
Hanny Tchelley (Réalisatrice)
Georges Wenceslas Aboké (Conseiller NTIC)
Kuyo Téa Narcisse (Chef de cabinet de Gbagbo)
Sokouri Bohui (Député FPI)
Yao Paul N’Dré et les membres du Conseil constitutionnel)
Tchimou Fehou Raymond (Procureur de la République)
Il y a des choses sur lesquelles les USA ne lèvent pas les pieds. Il s’agit de tout ce qui a trait à la démocratie en général et aux élections en particulier. Pour ne pas l’avoir compris, Laurent Gbagbo a provoqué la grosse colère de la première puissance économique et militaire du monde. En des termes très clairs et sans équivoques, l’Administration Obama a tapé du point sur la table vis-à-vis du candidat de la Majorité présidentielle (?), l’ancien président Laurent Gbagbo. Ce dernier, en parfaite violation des résultats proclamés par la CEI, et qui donnent Alassane Ouattara vainqueur de la présidentielle, refuse de lui céder le pouvoir. Pour les Etats-Unis, c’est impensable. D’où cette sévère mise en garde. Par la voix de Johnny Carlson son Secrétaire d’Etat Adjoint aux Affaires africaines, le pays de l’Oncle Sam n’est pas passé quatre chemins pour se faire entendre: morceaux choisis d’une déclaration qui a le mérite d’être très claire: «Si Monsieur Gbagbo ne se retire pas, les Etats-Unis songent à prendre des mesures supplémentaires contre lui. Sa famille, son épouse, ses enfants, son entourage immédiat et toutes les personnes qui l’aident à se maintenir au pouvoir de façon illégale. Nous réfléchissons à l’instauration d’interdictions de voyager, à sa famille et ses proches, à l’imposition de sanctions économiques contre lui et son entourage. L’ère où l’on pouvait voler les élections en Afrique est révolue. Cela devrait être un exemple de toute l’Afrique entière et cela ne sera plus toléré.» Les Etats-Unis n’ont pas mis du temps pour joindre l’acte à lap arole. En liaison avec le Conseil de Sécurité dont les Etats-Unis assurent la présidence pour ce mois de décembre, une liste (voir encadré) a même été dressée. La Résolution 1572 de l’ONU disposait que « tous les États doivent prendre les mesures nécessaires pour empêcher l`entrée ou le passage en transit sur leur territoire des personnes que le Comité a identifiées comme devant figurer sur la liste des personnes visées par une interdiction de voyager et par le gel des avoirs ». Voilà qui est clair. Figurent sur la liste noire qui circule dans les chancelleries, hommes politiques, militaires, militants et autres membres du monde de la communication don. Il s’agit, pour les Etats-Unis de mettre sous l’éteignoir ou hors d’état de nuire, tous ceux ou toutes celles qui ont joué et/ ou qui continuent de jour un rôle néfaste dans le processus de sortie de crise. Les temps s’annoncent incertains pour les ennemis de la paix.
Politiques
Simone Gbagbo (Epouse de Gbagbo)
Affi N’Guessan (Président FPI)
Désiré Tagro (Ministre FPI)
Alcide Djédjé (Conseiller diplomatique FPI)
Bertin Kadet (Conseiller militaire FPI)
Williams Attebi (Député LMP)
Généviève Bro Grébé (LMP)
Gervais Coulibaly (Porte-Parole Gbagbo)
Odette Lorougnon (Député FPI)
Appia Kabran (Député FPI)
Militaires
Général Dogbo Blé Brunot (Commandant Garde républicaine)
Général Guiai Bi Poin (Commandant du CeCOS)
Vice Amiral Vagba Faussignaux (Commandant de la Marine)
Colonel Major Gnaolé Gbeuglé Clément (Service renseignement-Gendarmerie)
Colonel Valentin Obou Gadou (Commandant 1ère légion-Gendarmerie)
Colonel Ahouman Nathanaël (Commandant GSPR)
Lieutenant de Vaisseau Henri César Sama (Conseiller ex-ministre de la Défense)
Colonel Jean-Noël Abehi (Commandant groupe d’escadrons blindés-gendarmerie)
Commandant Anselme Séka Yapo (Aide de camp de Simone)
Le Sous lieutenant Adoubi Kimou Kipling ( A l’escadron de Yopougon)
Communication
Silvère Nébout (Conseiller spécial PR)
Brou Amessan (DG RTI)
Franck Anderson Kouassi (CNCA)
Félix Nanihio (CNCA)
Paul Dokoui (Radio CI)
Eloi Oulaï (Radio CI)
Les ex-Dirigenats de la RTI
Militants FPI
Marcel Gossio (DG PAA)
Vehi Tokpa (Commissaire CEI)
Damanan Pikas (Commissaire CEI)
Maho Glofiehi (Chef milicien-FLGO)
Hanny Tchelley (Réalisatrice)
Georges Wenceslas Aboké (Conseiller NTIC)
Kuyo Téa Narcisse (Chef de cabinet de Gbagbo)
Sokouri Bohui (Député FPI)
Yao Paul N’Dré et les membres du Conseil constitutionnel)
Tchimou Fehou Raymond (Procureur de la République)
Il y a des choses sur lesquelles les USA ne lèvent pas les pieds. Il s’agit de tout ce qui a trait à la démocratie en général et aux élections en particulier. Pour ne pas l’avoir compris, Laurent Gbagbo a provoqué la grosse colère de la première puissance économique et militaire du monde. En des termes très clairs et sans équivoques, l’Administration Obama a tapé du point sur la table vis-à-vis du candidat de la Majorité présidentielle (?), l’ancien président Laurent Gbagbo. Ce dernier, en parfaite violation des résultats proclamés par la CEI, et qui donnent Alassane Ouattara vainqueur de la présidentielle, refuse de lui céder le pouvoir. Pour les Etats-Unis, c’est impensable. D’où cette sévère mise en garde. Par la voix de Johnny Carlson son Secrétaire d’Etat Adjoint aux Affaires africaines, le pays de l’Oncle Sam n’est pas passé quatre chemins pour se faire entendre: morceaux choisis d’une déclaration qui a le mérite d’être très claire: «Si Monsieur Gbagbo ne se retire pas, les Etats-Unis songent à prendre des mesures supplémentaires contre lui. Sa famille, son épouse, ses enfants, son entourage immédiat et toutes les personnes qui l’aident à se maintenir au pouvoir de façon illégale. Nous réfléchissons à l’instauration d’interdictions de voyager, à sa famille et ses proches, à l’imposition de sanctions économiques contre lui et son entourage. L’ère où l’on pouvait voler les élections en Afrique est révolue. Cela devrait être un exemple de toute l’Afrique entière et cela ne sera plus toléré.» Les Etats-Unis n’ont pas mis du temps pour joindre l’acte à lap arole. En liaison avec le Conseil de Sécurité dont les Etats-Unis assurent la présidence pour ce mois de décembre, une liste (voir encadré) a même été dressée. La Résolution 1572 de l’ONU disposait que « tous les États doivent prendre les mesures nécessaires pour empêcher l`entrée ou le passage en transit sur leur territoire des personnes que le Comité a identifiées comme devant figurer sur la liste des personnes visées par une interdiction de voyager et par le gel des avoirs ». Voilà qui est clair. Figurent sur la liste noire qui circule dans les chancelleries, hommes politiques, militaires, militants et autres membres du monde de la communication don. Il s’agit, pour les Etats-Unis de mettre sous l’éteignoir ou hors d’état de nuire, tous ceux ou toutes celles qui ont joué et/ ou qui continuent de jour un rôle néfaste dans le processus de sortie de crise. Les temps s’annoncent incertains pour les ennemis de la paix.