Comment va fonctionner le Rombo sport de Kpouèbo après la disparition, le 7 décembre 2010, de son président fondateur, Souleymane Dicko ? Qui va désormais financer le club ? Comment l’équipe va-t-elle assurer son quotidien ? En clair, quel avenir pour l’équipe championne de Côte d’Ivoire après ce triste épisode ? D’énormes interrogations aussi fondées les unes que les autres concernant une équipe qui, en seulement 15 ans d’existence, a bouleversé la hiérarchie de la petite balle au niveau féminin en Côte d’Ivoire. Même en Afrique, elle a plané à quatre reprises sur la Coupe des Coupes. Il lui fallait une meilleure organisation pour se hisser au niveau de la Coupe d’Afrique des clubs champions et la super Coupe. Avant le décès de Souleymane Dicko, cette organisation avait commencé à prendre forme avec l’appui incommensurable d’une bonne volonté qui avait déjà vu la nécessité d’aider ce club qui peut encore apporter des lauriers à la Côte d’Ivoire pourvu qu’il soit mieux géré. La réorganisation physique et administrative du Rombo n’est donc plus qu’une question de temps. Tout est suspendu à la situation sociopolitique que vit le pays. Pour dire que le Rombo n’est pas mort. Et ne mourra pas n
Tibet Kipré
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