Le Parlement européena adopté jeudi une résolution appelant les Ivoiriens à rejeter la violence et
invitant la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton à prendre de
"nouvelles initiatives" pour soutenir le président élu Alassane Ouattara.
Le Parlement "appelle l'ensemble des acteurs ivoiriens à enrayer tout
risque d'escalade de tension et à empêcher tout affrontement", indique la
résolution approuvée par l'ensemble des groupes politiques.
Des violences ont d'ores et déjà éclaté à Abidjan, où quatre personnes ont
été tuées par balles jeudi au moment où les forces de l'ordre dispersaient des
manifestants partisans d'Alassane Ouattara qui voulaient marcher sur la
télévision d'Etat ivoirienne.
MM. Ouattara et Gbagbo revendiquent tous les deux la victoire à la
présidentielle du 28 novembre en Côte d'Ivoire. La communauté internationale a
quasi unanimement reconnu celle de M. Ouattara mais M. Gbagbo refuse de
quitter le pouvoir et a été déclaré vainqueur de l'élection par le Conseil
constitutionnel.
Les eurodéputés, qui demandent la démission de M. Gbagbo, soutiennent "la
décision de l'Union européenne d'imposer des sanctions contre (lui)" et
"invite la (...) haute représentante de l'Union pour la politique étrangère et
de sécurité à présenter, dès que possible, de nouvelles initiatives afin de
soutenir les autorités démocratiquement élues en Côte d'Ivoire".
Catherine Ashton avait affirmé mercredi, dans une adresse au Parlement
européen, que l'UE était "prête à prendre des mesures pour soutenir les
autorités légalement élues", sans plus de précision.
L'Union européenne a annoncé lundi son intention d'accroître la pression
sur le régime de Laurent Gbagbo en le sanctionnant, via des restrictions de
visas et un gel des avoirs.
invitant la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton à prendre de
"nouvelles initiatives" pour soutenir le président élu Alassane Ouattara.
Le Parlement "appelle l'ensemble des acteurs ivoiriens à enrayer tout
risque d'escalade de tension et à empêcher tout affrontement", indique la
résolution approuvée par l'ensemble des groupes politiques.
Des violences ont d'ores et déjà éclaté à Abidjan, où quatre personnes ont
été tuées par balles jeudi au moment où les forces de l'ordre dispersaient des
manifestants partisans d'Alassane Ouattara qui voulaient marcher sur la
télévision d'Etat ivoirienne.
MM. Ouattara et Gbagbo revendiquent tous les deux la victoire à la
présidentielle du 28 novembre en Côte d'Ivoire. La communauté internationale a
quasi unanimement reconnu celle de M. Ouattara mais M. Gbagbo refuse de
quitter le pouvoir et a été déclaré vainqueur de l'élection par le Conseil
constitutionnel.
Les eurodéputés, qui demandent la démission de M. Gbagbo, soutiennent "la
décision de l'Union européenne d'imposer des sanctions contre (lui)" et
"invite la (...) haute représentante de l'Union pour la politique étrangère et
de sécurité à présenter, dès que possible, de nouvelles initiatives afin de
soutenir les autorités démocratiquement élues en Côte d'Ivoire".
Catherine Ashton avait affirmé mercredi, dans une adresse au Parlement
européen, que l'UE était "prête à prendre des mesures pour soutenir les
autorités légalement élues", sans plus de précision.
L'Union européenne a annoncé lundi son intention d'accroître la pression
sur le régime de Laurent Gbagbo en le sanctionnant, via des restrictions de
visas et un gel des avoirs.