Ceci est une déclaration de l’Union pour le progrès et le changement (UPC) sur la situation en Côte d’Ivoire. Sans ambages, le parti dit « non au coup d’Etat ».
Après le premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, tenu le dimanche 31 octobre 2010, les électeurs et électrices ivoiriens se sont massivement rendus aux urnes, le dimanche 28 novembre 2010, pour désigner la personne qui va présider aux destinées de la Côte d’Ivoire pour la période 2010-2015. Le taux de participation, qui était de plus de 70%, indique très clairement l’importance toute particulière que les électeurs et électrices accordaient à ce scrutin qui marque la fin de dix (10) années de troubles et de guerre.
Au-delà des moyens humains, techniques et financiers très importants, engagés par la communauté internationale et sur les ressources propres de ce pays, le peuple ivoirien espérait, avec le scrutin, marquer la fin de cette période dramatique de son histoire et ouvrir une nouvelle page d’espoir et d’espérance. En effet, le scrutin s’est bien déroulé comme en témoignent la communauté internationale dans son ensemble et surtout les populations ivoiriennes qui ont, à maintes occasions, exprimé leur satisfaction quant au bon déroulement de l’ensemble du processus.
On était en droit d’espérer une sortie de crise en Côte d’Ivoire plus honorable, vu les engagements pris, sur l’honneur, par les deux candidats du second tour de cette élection présidentielle historique.
Malheureusement, le pouvoir en place usera de toutes les manoeuvres, de menaces et d’intimidations pour empêcher la proclamation des résultats par la Commission électorale indépendante (CEI). La scène surréaliste de commissaires du camp présidentiel déchirant les résultats que proclamait le porte-parole de la CEI, a fait le tour du monde, car retransmise en direct sur les télévisions internationales. Elle a sonné comme la confirmation de ce que le candidat de La majorité présidentielle (LMP), le président-candidat Laurent Koudou Gbagbo a été battu. En effet, selon la CEI, le président sortant a obtenu 45,9% et l’ancien Premier ministre Alasssane Dramane Ouattara, 54,1% des suffrages exprimés. Avec plus de 8% d’écart, monsieur Alassane Dramane Ouattara a, incontestablement, remporté l’élection présidentielle et est dorénavant, le président de la République de Côte d’Ivoire.
L’Union pour le progrès et le changement (UPC) salue le peuple ivoirien dont le comportement citoyen a été exemplaire durant tout le processus ayant débouché sur le scrutin du dimanche 28 novembre 2010 et cela nonobstant la campagne de haine et d’exclusion menée par certains acteurs politiques.
L’UPC condamne l’instrumentalisation des institutions républicaines aux fins d’inverser les résultats sortis des urnes et de trahir ainsi le choix du peuple souverain de Côte d’Ivoire.
L’UPC dénonce avec fermeté, les manoeuvres tendant à exacerber un nationalisme débridé et à opposer les paisibles populations ivoiriennes aux étrangers et à la communauté internationale.
Elle apporte tout son soutien et sa caution sans ambiguïté, aux positions courageuses , clairement exprimées de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union européenne (UE) et l’Organisation des Nations unies (ONU) et déclarant que le seul président de la République de Côte d’Ivoire est monsieur Alassane Dramane Ouattara, qui a été élu par 54,1% d’électrices et d’électeurs ivoiriens.
« Appliquer des sanctions idoines et décisives »
L’UPC se démarque des thèses malheureuses tendant au partage du pouvoir et soutient fermement la juste position exprimée, notamment par la CEDEAO qui a catégoriquement rejeté de telles arrangements et modèles qui ont fait leur preuve nulle part.
Attachée aux principes démocratiques et respectueuses de la volonté populaire, surtout quand elle s’exprime librement et clairement comme ce fut le cas le dimanche 28 novembre 2010 en Côte d’Ivoire, l’UPC exhorte les organisations africaines sous-régionales, régionales et continentales à écourter les dix (10) années de souffrance du peuple ivoirien, en maintenant les pressions et en appliquant des sanctions idoines et décisives aux acteurs du coup d’Etat en cours contre la volonté populaire clairement exprimée.
L’UPC , tout en félicitant le président Alassane Dramane Ouattara pour sa brillante élection, salue la grande sagesse et la pondération qui le caractérise. Elle apprécie, à sa juste valeur, le travail de longue haleine qu’il a fait et qui permet à la Côte d’Ivoire d’enregistrer sa première vraie alternance démocratique. Cette victoire historique renforce l’avènement des alternances républicaines par les urnes quand les élections sont véritablement démocratiques. Par ailleurs, le message de la communauté internationale sur la question est à présent, plus lisible.
L’UPC assure le président Alassane Dramane Ouattara de son soutien indéfectible dans le juste combat qu’il mène pour assurer le respect des suffrages exprimés, dans les urnes, par les électeurs. Il s’agit d’un combat pour sauver la démocratie, à la fois en Côte d’Ivoire, en Afrique de l’Ouest et sur le continent africain.
L’Union pour le progrès et le changement appelle tous les démocrates, tous les partis politiques épris de paix, de justice et de liberté à apporter leur soutien public au président élu de la Côte d’Ivoire, monsieur Alassane Dramane Ouattara.
Démocratie-Travail-Solidarité
Pour le Bureau politique national
Le Secrétaire général
Dénis Nikiéma
Après le premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, tenu le dimanche 31 octobre 2010, les électeurs et électrices ivoiriens se sont massivement rendus aux urnes, le dimanche 28 novembre 2010, pour désigner la personne qui va présider aux destinées de la Côte d’Ivoire pour la période 2010-2015. Le taux de participation, qui était de plus de 70%, indique très clairement l’importance toute particulière que les électeurs et électrices accordaient à ce scrutin qui marque la fin de dix (10) années de troubles et de guerre.
Au-delà des moyens humains, techniques et financiers très importants, engagés par la communauté internationale et sur les ressources propres de ce pays, le peuple ivoirien espérait, avec le scrutin, marquer la fin de cette période dramatique de son histoire et ouvrir une nouvelle page d’espoir et d’espérance. En effet, le scrutin s’est bien déroulé comme en témoignent la communauté internationale dans son ensemble et surtout les populations ivoiriennes qui ont, à maintes occasions, exprimé leur satisfaction quant au bon déroulement de l’ensemble du processus.
On était en droit d’espérer une sortie de crise en Côte d’Ivoire plus honorable, vu les engagements pris, sur l’honneur, par les deux candidats du second tour de cette élection présidentielle historique.
Malheureusement, le pouvoir en place usera de toutes les manoeuvres, de menaces et d’intimidations pour empêcher la proclamation des résultats par la Commission électorale indépendante (CEI). La scène surréaliste de commissaires du camp présidentiel déchirant les résultats que proclamait le porte-parole de la CEI, a fait le tour du monde, car retransmise en direct sur les télévisions internationales. Elle a sonné comme la confirmation de ce que le candidat de La majorité présidentielle (LMP), le président-candidat Laurent Koudou Gbagbo a été battu. En effet, selon la CEI, le président sortant a obtenu 45,9% et l’ancien Premier ministre Alasssane Dramane Ouattara, 54,1% des suffrages exprimés. Avec plus de 8% d’écart, monsieur Alassane Dramane Ouattara a, incontestablement, remporté l’élection présidentielle et est dorénavant, le président de la République de Côte d’Ivoire.
L’Union pour le progrès et le changement (UPC) salue le peuple ivoirien dont le comportement citoyen a été exemplaire durant tout le processus ayant débouché sur le scrutin du dimanche 28 novembre 2010 et cela nonobstant la campagne de haine et d’exclusion menée par certains acteurs politiques.
L’UPC condamne l’instrumentalisation des institutions républicaines aux fins d’inverser les résultats sortis des urnes et de trahir ainsi le choix du peuple souverain de Côte d’Ivoire.
L’UPC dénonce avec fermeté, les manoeuvres tendant à exacerber un nationalisme débridé et à opposer les paisibles populations ivoiriennes aux étrangers et à la communauté internationale.
Elle apporte tout son soutien et sa caution sans ambiguïté, aux positions courageuses , clairement exprimées de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union européenne (UE) et l’Organisation des Nations unies (ONU) et déclarant que le seul président de la République de Côte d’Ivoire est monsieur Alassane Dramane Ouattara, qui a été élu par 54,1% d’électrices et d’électeurs ivoiriens.
« Appliquer des sanctions idoines et décisives »
L’UPC se démarque des thèses malheureuses tendant au partage du pouvoir et soutient fermement la juste position exprimée, notamment par la CEDEAO qui a catégoriquement rejeté de telles arrangements et modèles qui ont fait leur preuve nulle part.
Attachée aux principes démocratiques et respectueuses de la volonté populaire, surtout quand elle s’exprime librement et clairement comme ce fut le cas le dimanche 28 novembre 2010 en Côte d’Ivoire, l’UPC exhorte les organisations africaines sous-régionales, régionales et continentales à écourter les dix (10) années de souffrance du peuple ivoirien, en maintenant les pressions et en appliquant des sanctions idoines et décisives aux acteurs du coup d’Etat en cours contre la volonté populaire clairement exprimée.
L’UPC , tout en félicitant le président Alassane Dramane Ouattara pour sa brillante élection, salue la grande sagesse et la pondération qui le caractérise. Elle apprécie, à sa juste valeur, le travail de longue haleine qu’il a fait et qui permet à la Côte d’Ivoire d’enregistrer sa première vraie alternance démocratique. Cette victoire historique renforce l’avènement des alternances républicaines par les urnes quand les élections sont véritablement démocratiques. Par ailleurs, le message de la communauté internationale sur la question est à présent, plus lisible.
L’UPC assure le président Alassane Dramane Ouattara de son soutien indéfectible dans le juste combat qu’il mène pour assurer le respect des suffrages exprimés, dans les urnes, par les électeurs. Il s’agit d’un combat pour sauver la démocratie, à la fois en Côte d’Ivoire, en Afrique de l’Ouest et sur le continent africain.
L’Union pour le progrès et le changement appelle tous les démocrates, tous les partis politiques épris de paix, de justice et de liberté à apporter leur soutien public au président élu de la Côte d’Ivoire, monsieur Alassane Dramane Ouattara.
Démocratie-Travail-Solidarité
Pour le Bureau politique national
Le Secrétaire général
Dénis Nikiéma