Ouf, l’Intelligent d’Abidjan est de retour dans les kiosques ! ‘’Raisons d’Etat’’, c’est la raison évoquée par des chefs militaires ivoiriens qui avaient pris sur eux de suspendre jusqu’à nouvel ordre un certain nombre de journaux dont l’Intelligent d’Abidjan depuis le jeudi 16 Décembre 2010. ‘’
Ces chefs’’, dit-on, qui ont déposé une liste noire de journaux à ne pas paraitre dans toutes les rotatives (imprimeries), reprochaient à ces organes de ne pas suffisamment défendre la République du camp Gbagbo comme ils le souhaitent, en cette période que traverse la Côte d’Ivoire. Un fait qui n’a pas échappé au Conseil National de la Presse (CNP) qui, après avoir dénoncé cette ingérence des hommes en treillis, a demandé une reprise du travail. Informé, le président Laurent Gbagbo, s’est entretenu sur la question avec ses collaborateurs le samedi soir.
Au cours de cette rencontre, Laurent Gbagbo a demandé la levée du mot d’ordre de suspension de l’Intelligent d’Abidjan et des autres confrères de l’opposition absents des kiosques à journaux vendredi et samedi. Pour lui, il faut plutôt laisser les journalistes faire leur travail et permettre aux structures de régulation de la presse en Côte d’Ivoire de jouer pleinement leur rôle. Ainsi décidé, l’Intelligent d’Abidjan peut continuer à paraître au grand bonheur de ses lecteurs.
Dosso V.
Ces chefs’’, dit-on, qui ont déposé une liste noire de journaux à ne pas paraitre dans toutes les rotatives (imprimeries), reprochaient à ces organes de ne pas suffisamment défendre la République du camp Gbagbo comme ils le souhaitent, en cette période que traverse la Côte d’Ivoire. Un fait qui n’a pas échappé au Conseil National de la Presse (CNP) qui, après avoir dénoncé cette ingérence des hommes en treillis, a demandé une reprise du travail. Informé, le président Laurent Gbagbo, s’est entretenu sur la question avec ses collaborateurs le samedi soir.
Au cours de cette rencontre, Laurent Gbagbo a demandé la levée du mot d’ordre de suspension de l’Intelligent d’Abidjan et des autres confrères de l’opposition absents des kiosques à journaux vendredi et samedi. Pour lui, il faut plutôt laisser les journalistes faire leur travail et permettre aux structures de régulation de la presse en Côte d’Ivoire de jouer pleinement leur rôle. Ainsi décidé, l’Intelligent d’Abidjan peut continuer à paraître au grand bonheur de ses lecteurs.
Dosso V.