Les journaux proches du RHDP sont depuis hier interdit de paraître « jusqu’à
nouvel ordre ». Le Patriote, Le Nouveau Réveil, L’Expression, Le Jour Plus, Le
Mandat et Le Démocrate sont empêchés de paraître dans les kiosques à journaux.
Cette mesure intervient après l’interdiction des radios et chaînes de télévisions
internationales d’informations générales. RFI, BBC, Africa n°1, TV5, France 24, TF1,
France 2, France 3 etc., ont été suspendus. Livrant ainsi les Ivoiriens à la merci de
la propagande éhontée de la RTI, qui a décidé d’accompagner le président Laurent
Gbagbo dans sa folie suicidaire. Avant ces mesures qui ne répondent à aucune
logique, les auteurs du coup d’Etat électoral en Côte d’Ivoire, avec à leur tête
Laurent Gbagbo, ont instauré un couvre-feu pour mieux bâillonner la démocratie.
Aujourd’hui, les Ivoiriens sont non seulement coupés du monde, mais maintenus
dans une camisole de force par e chef de file de LMP, qui a décidé d’installer en
Côte d’Ivoire une dictature pour se maintenir vaille que vaille au pouvoir. Malgré
la désapprobation générale de la communauté internationale, le candidat
malheureux du second tour de l’élection présidentielle est décidé à gouverner
envers et contre tous. Jeudi dernier, la marche pacifique sur la RTI organisée par le
gouvernement légitime et légal de Côte d’Ivoire a été réprimée dans le sang par
les putschistes installés au palais du Plateau. Le bilan de cette journée sanglante
est d’au moins 30 morts. La plupart des civils exécutés à bout portant par les
tueurs et les mercenaires que le candidat de LMP, a fait infiltrer dans les rangs des
FDS. L’objectif de toutes ces mesures et de l’utilisation de la force est d’instaurer la
terreur et le chaos en vue d’amener la communauté internationale à accepter
l’inacceptable. A savoir le maintien du champion de la refondation à la tête du
pays avec en prime quelques concessions faites au camp vainqueur de la dernière
élection présidentielle. En d’autres termes, Laurent Gbagbo et son clan veulent «
gagner sans avoir raison ». Pour parvenir à ces fins, le régime du dictateur de la
lagune Ebrié est prêt à utiliser tous les moyens, y compris les plus inhumains.
Jusqu’où Laurent Gbagbo croit-il pouvoir aller ? Pour l’instant, nul ne le sait. Mais
une chose est sûre, c’est que la voie qu’il a empruntée est sans issue. Car, on n’est
pas suffisamment fort pour être toujours le plus fort. Cette vérité universelle
s’accomplira certainement en Côte d’Ivoire dans les jours à venir. C’est lui-même,
Laurent Gbagbo, qui disait en 1999 à Abengourou, à l’occasion de la « Fête de la
liberté », commentant les événements en ex-Yougoslavie, relatifs à la chute du
dictateur : "lorsque tu es dans un village et que tout le monde dit que ce pagne est
blanc, si toi, tu le vois en noir, il faut te poser des questions. Slobodan Milosevic a
le monde entier contre lui. Où croit-il pouvoir aller?" A méditer.
JCC
nouvel ordre ». Le Patriote, Le Nouveau Réveil, L’Expression, Le Jour Plus, Le
Mandat et Le Démocrate sont empêchés de paraître dans les kiosques à journaux.
Cette mesure intervient après l’interdiction des radios et chaînes de télévisions
internationales d’informations générales. RFI, BBC, Africa n°1, TV5, France 24, TF1,
France 2, France 3 etc., ont été suspendus. Livrant ainsi les Ivoiriens à la merci de
la propagande éhontée de la RTI, qui a décidé d’accompagner le président Laurent
Gbagbo dans sa folie suicidaire. Avant ces mesures qui ne répondent à aucune
logique, les auteurs du coup d’Etat électoral en Côte d’Ivoire, avec à leur tête
Laurent Gbagbo, ont instauré un couvre-feu pour mieux bâillonner la démocratie.
Aujourd’hui, les Ivoiriens sont non seulement coupés du monde, mais maintenus
dans une camisole de force par e chef de file de LMP, qui a décidé d’installer en
Côte d’Ivoire une dictature pour se maintenir vaille que vaille au pouvoir. Malgré
la désapprobation générale de la communauté internationale, le candidat
malheureux du second tour de l’élection présidentielle est décidé à gouverner
envers et contre tous. Jeudi dernier, la marche pacifique sur la RTI organisée par le
gouvernement légitime et légal de Côte d’Ivoire a été réprimée dans le sang par
les putschistes installés au palais du Plateau. Le bilan de cette journée sanglante
est d’au moins 30 morts. La plupart des civils exécutés à bout portant par les
tueurs et les mercenaires que le candidat de LMP, a fait infiltrer dans les rangs des
FDS. L’objectif de toutes ces mesures et de l’utilisation de la force est d’instaurer la
terreur et le chaos en vue d’amener la communauté internationale à accepter
l’inacceptable. A savoir le maintien du champion de la refondation à la tête du
pays avec en prime quelques concessions faites au camp vainqueur de la dernière
élection présidentielle. En d’autres termes, Laurent Gbagbo et son clan veulent «
gagner sans avoir raison ». Pour parvenir à ces fins, le régime du dictateur de la
lagune Ebrié est prêt à utiliser tous les moyens, y compris les plus inhumains.
Jusqu’où Laurent Gbagbo croit-il pouvoir aller ? Pour l’instant, nul ne le sait. Mais
une chose est sûre, c’est que la voie qu’il a empruntée est sans issue. Car, on n’est
pas suffisamment fort pour être toujours le plus fort. Cette vérité universelle
s’accomplira certainement en Côte d’Ivoire dans les jours à venir. C’est lui-même,
Laurent Gbagbo, qui disait en 1999 à Abengourou, à l’occasion de la « Fête de la
liberté », commentant les événements en ex-Yougoslavie, relatifs à la chute du
dictateur : "lorsque tu es dans un village et que tout le monde dit que ce pagne est
blanc, si toi, tu le vois en noir, il faut te poser des questions. Slobodan Milosevic a
le monde entier contre lui. Où croit-il pouvoir aller?" A méditer.
JCC