Les Forces Nouvelles ont noté attentivement la déclaration du Colonel-major
Hilaire Babri Gohourou, Porte-parole des Forces de Défense et de Sécurité le
vendredi 17 décembre 2010 sur les antennes de la RTI, dans laquelle il a indiqué
que « la force étrangère de l’ONU venue en Côte d’Ivoire comme une force
impartiale et d’interposition entre belligérants a abandonné cette posture. Les
responsables de la force onusienne transportent dans leurs véhicules les unités
des FAFN depuis leurs différentes positions jusqu`à Abidjan, leur facilitant le
passage aux différents corridors. Et les ravitaillent en armement de guerre lourd et léger.».
Cet officier supérieur par ces propos accuse également la radio de l’ONUCI, ONUCI-FM de jouer un « rôle de média de propagande » en faveur de SEM Alassane
OUATTARA.
En réalité, les propos du Colonel-major sont annonciateurs du génocide que se
prépare à commettre Laurent GBAGBO sur les populations ivoiriennes qui lui ont
fait l’affront de lui préférer SEM Alassane OUATTARA, ainsi que l’attaque du Golf Hôtel.
En effet, Laurent GBAGBO, dans un communiqué lu par Mme Jacqueline LOHOUES
OBLE ce samedi 18 décembre 2010, vient de demander le départ des Forces de
l’ONUCI et de la LICORNE, quand dans le même temps, Charles Blé Goudé,
demande à leurs partisans de se préparer au combat.
En adoptant cette posture, Laurent GBAGBO et son camp veulent faire oublier que
c’est lui qui se maintient au pouvoir par la force des armes et qu’il a fait recruter des miliciens angolais et libériens, par certains responsables, notamment Emile GUIRIEOULOU, Hubert OULAYE, VOHO Sahi, Blé GOUDE, Paul DOKOUI, le lieutenant OULAI Delafosse pour assassiner le peuple de Côte d’Ivoire.
Quoi de mieux que d’utiliser la vieille recette déjà servie aux ivoiriens et aux
Africains, à savoir, brandir l’épouvantail de la défense de la souveraineté nationale contre le colonialisme et demander le départ des Forces de l’ONUCI et de la LICORNE, qui représente selon Laurent GBAGBO, l’ingérence de la communauté
internationale tant décriée ?
Les Forces Nouvelles ne sont pas dupes de ces manœuvres, encore moins les
ivoiriens, qui savent que leur choix à la présidentielle du 28 novembre 2010, s’est porté sur SEM Alassane OUATTARA.
Les Forces Nouvelles indiquent que ni les ivoiriens, ni la communauté
internationale, ne sont amnésiques au point d’avoir oublié que le rôle des Nations Unies dans la certification des élections en Côte d’Ivoire était voulu par Laurent GBAGBO qui a librement signé l’Accord Politique de Ouagadougou, et ses accords complémentaires, mieux, qui en est l’initiateur.
Les Forces Nouvelles observent en outre que par ses déclarations, et cette
posture, Laurent GBAGBO, certains officiers des Forces de défense et de Sécurité
du même acabit que les Généraux Dogbo Blé Bruno, GUIAI BI Poin, Vagba
Faussignaux, le Colonel-major Hilaire Babri Gohourou ainsi que ceux sus cités et
leurs supplétifs, miliciens libériens et angolais veulent justifier un génocide qu’ils veulent à tout prix mener contre les autorités légitimes de ce pays et le peuple de Côte d’Ivoire.
En protégeant l’hôtel qui abrite les institutions et autorités légitimes de ce pays, les Forces Impartiales de l’ONUCI ne font rien d’autre, qu’accomplir une de leurs missions de protection.
En permettant aux autorités légitimes de s’exprimer sur les ondes de la radio
ONUCI-FM, seule voie d’expression, les medias d’Etat et la presse écrite étant sous coupe réglée, les Forces Impartiales font œuvre utile.
Les Forces Nouvelles rappellent que chaque jour qui passe est un enfer pour les
populations de Côte d’Ivoire, puisque de jour comme de nuit, sans répit, ces
miliciens avec la complicité et la bénédiction de certains éléments des Forces de Défense et de sécurité, s’introduisent dans les domiciles d’honnêtes citoyens pour les exécuter froidement.
Les Forces Nouvelles s’inclinent devant la mémoire de ces innocentes victimes,
martyrs de cette folie meurtrière de Laurent GBAGBO.
Plutôt que de discourir sur les questions politiques qui ne les concernent pas et les dépassent, ses militaires ne doivent pas défendre une cause perdue, mais s’engager dans la République au côté du peuple souverain de Côte d’Ivoire, dont la volonté est sans équivoque.
Les Forces Nouvelles indiquent que les seules voies légitimes, qui peuvent parler au nom de l’Etat de Côte d’Ivoire sont SEM Alassane OUATTARA et le
Gouvernement conduit par le Premier Ministre SORO Guillaume.
Par Conséquent, la demande de départ de Laurent GBAGBO n’engage que lui
puisque la Communauté Internationale ne le reconnait pas, mais doit être pris en
réalité comme ce qu’il est, l’attaque préméditée du Golf Hôtel et la préparation du génocide du peuple ivoirien.
Les Forces Nouvelles invitent les populations à ne pas se laisser distraire, à rester mobilisées et vigilantes jusqu`à la victoire finale, à savoir l’installation effective au Palais Présidentiel de SEM Alassane OUATTARA.
Fait à Bouaké,
le 18 décembre 2010
Pour les Forces Nouvelles
La Porte parole
Me Affoussy BAMBA
Hilaire Babri Gohourou, Porte-parole des Forces de Défense et de Sécurité le
vendredi 17 décembre 2010 sur les antennes de la RTI, dans laquelle il a indiqué
que « la force étrangère de l’ONU venue en Côte d’Ivoire comme une force
impartiale et d’interposition entre belligérants a abandonné cette posture. Les
responsables de la force onusienne transportent dans leurs véhicules les unités
des FAFN depuis leurs différentes positions jusqu`à Abidjan, leur facilitant le
passage aux différents corridors. Et les ravitaillent en armement de guerre lourd et léger.».
Cet officier supérieur par ces propos accuse également la radio de l’ONUCI, ONUCI-FM de jouer un « rôle de média de propagande » en faveur de SEM Alassane
OUATTARA.
En réalité, les propos du Colonel-major sont annonciateurs du génocide que se
prépare à commettre Laurent GBAGBO sur les populations ivoiriennes qui lui ont
fait l’affront de lui préférer SEM Alassane OUATTARA, ainsi que l’attaque du Golf Hôtel.
En effet, Laurent GBAGBO, dans un communiqué lu par Mme Jacqueline LOHOUES
OBLE ce samedi 18 décembre 2010, vient de demander le départ des Forces de
l’ONUCI et de la LICORNE, quand dans le même temps, Charles Blé Goudé,
demande à leurs partisans de se préparer au combat.
En adoptant cette posture, Laurent GBAGBO et son camp veulent faire oublier que
c’est lui qui se maintient au pouvoir par la force des armes et qu’il a fait recruter des miliciens angolais et libériens, par certains responsables, notamment Emile GUIRIEOULOU, Hubert OULAYE, VOHO Sahi, Blé GOUDE, Paul DOKOUI, le lieutenant OULAI Delafosse pour assassiner le peuple de Côte d’Ivoire.
Quoi de mieux que d’utiliser la vieille recette déjà servie aux ivoiriens et aux
Africains, à savoir, brandir l’épouvantail de la défense de la souveraineté nationale contre le colonialisme et demander le départ des Forces de l’ONUCI et de la LICORNE, qui représente selon Laurent GBAGBO, l’ingérence de la communauté
internationale tant décriée ?
Les Forces Nouvelles ne sont pas dupes de ces manœuvres, encore moins les
ivoiriens, qui savent que leur choix à la présidentielle du 28 novembre 2010, s’est porté sur SEM Alassane OUATTARA.
Les Forces Nouvelles indiquent que ni les ivoiriens, ni la communauté
internationale, ne sont amnésiques au point d’avoir oublié que le rôle des Nations Unies dans la certification des élections en Côte d’Ivoire était voulu par Laurent GBAGBO qui a librement signé l’Accord Politique de Ouagadougou, et ses accords complémentaires, mieux, qui en est l’initiateur.
Les Forces Nouvelles observent en outre que par ses déclarations, et cette
posture, Laurent GBAGBO, certains officiers des Forces de défense et de Sécurité
du même acabit que les Généraux Dogbo Blé Bruno, GUIAI BI Poin, Vagba
Faussignaux, le Colonel-major Hilaire Babri Gohourou ainsi que ceux sus cités et
leurs supplétifs, miliciens libériens et angolais veulent justifier un génocide qu’ils veulent à tout prix mener contre les autorités légitimes de ce pays et le peuple de Côte d’Ivoire.
En protégeant l’hôtel qui abrite les institutions et autorités légitimes de ce pays, les Forces Impartiales de l’ONUCI ne font rien d’autre, qu’accomplir une de leurs missions de protection.
En permettant aux autorités légitimes de s’exprimer sur les ondes de la radio
ONUCI-FM, seule voie d’expression, les medias d’Etat et la presse écrite étant sous coupe réglée, les Forces Impartiales font œuvre utile.
Les Forces Nouvelles rappellent que chaque jour qui passe est un enfer pour les
populations de Côte d’Ivoire, puisque de jour comme de nuit, sans répit, ces
miliciens avec la complicité et la bénédiction de certains éléments des Forces de Défense et de sécurité, s’introduisent dans les domiciles d’honnêtes citoyens pour les exécuter froidement.
Les Forces Nouvelles s’inclinent devant la mémoire de ces innocentes victimes,
martyrs de cette folie meurtrière de Laurent GBAGBO.
Plutôt que de discourir sur les questions politiques qui ne les concernent pas et les dépassent, ses militaires ne doivent pas défendre une cause perdue, mais s’engager dans la République au côté du peuple souverain de Côte d’Ivoire, dont la volonté est sans équivoque.
Les Forces Nouvelles indiquent que les seules voies légitimes, qui peuvent parler au nom de l’Etat de Côte d’Ivoire sont SEM Alassane OUATTARA et le
Gouvernement conduit par le Premier Ministre SORO Guillaume.
Par Conséquent, la demande de départ de Laurent GBAGBO n’engage que lui
puisque la Communauté Internationale ne le reconnait pas, mais doit être pris en
réalité comme ce qu’il est, l’attaque préméditée du Golf Hôtel et la préparation du génocide du peuple ivoirien.
Les Forces Nouvelles invitent les populations à ne pas se laisser distraire, à rester mobilisées et vigilantes jusqu`à la victoire finale, à savoir l’installation effective au Palais Présidentiel de SEM Alassane OUATTARA.
Fait à Bouaké,
le 18 décembre 2010
Pour les Forces Nouvelles
La Porte parole
Me Affoussy BAMBA