Depuis quelques jours, la couverture des médias est unanime : Alassane Dramane Ouattara a gagné l'élection présidentielle en Cote d'Ivoire et Laurent Gbagbo tente de se maintenir au pouvoir contre le résultat des urnes.
Cette lecture des évènements nie la complexité et la spécificité de ce scrutin, le réduisant à une énième forfaiture d'un président-dictateur africain et renforçant l'image d'une Afrique composée de Républiques bananières décidément bien mal parties.
En prenant position de manière si nette et si partiale, l'ONU, l'Europe et la France en particulier, trop contente de donner des leçons à un Président qui s'était opposé à elle, ne font qu'attiser les rancœurs et les haines, et n'aide pas à une solution pacifique.
Ouattara connaissait les... suite de l'article sur Rue89
Cette lecture des évènements nie la complexité et la spécificité de ce scrutin, le réduisant à une énième forfaiture d'un président-dictateur africain et renforçant l'image d'une Afrique composée de Républiques bananières décidément bien mal parties.
En prenant position de manière si nette et si partiale, l'ONU, l'Europe et la France en particulier, trop contente de donner des leçons à un Président qui s'était opposé à elle, ne font qu'attiser les rancœurs et les haines, et n'aide pas à une solution pacifique.
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