Le gouvernement légal de la Côte d’Ivoire avec à sa tête le Président de la République, Laurent Gbagbo, vient de sommer l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onu-Ci) de quitter la Côte d’Ivoire. La raison avancée par les autorités ivoiriennes fait état de ce que l’impartialité de ce soi-disant corps de paix est sérieusement mise en doute. C’est pourquoi, le peuple ivoirien qui demeure profondément jaloux de sa souveraineté, apporte un soutien sans faille à la décision que vient de prendre le gouvernement ivoirien. Choi et sa clique doivent impérativement quitter la Côte d’Ivoire. Parce que ce pays n’est ni une province de l’Onu, ni sous tutelle onusienne, encore moins une propriété privée de qui que ce soit. Les populations ivoiriennes ne sont donc pas des ouvriers travaillant dans une plantation appartenant à M. Ban-Ki-moon. A cet effet, il faudrait bien que son fameux représentant sache que les Ivoiriens ne se laisseront jamais faire. Ils ne seront jamais sous les ordres de Ban-Ki moon. Il faut que les soldats de l’Onu-Ci comprennent une bonne fois pour toutes que le Président de la République de Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo, n’est pas un sous-préfet installé par les instances onusiennes. Encore moins un chef manœuvre, à la tête d’une plantation industrielle gérée par l’Onu. Le devoir du Président de la Côte d’Ivoire est de se mettre au service de son peuple et non de servir les intérêts mafieux d’une nébuleuse. C’est pourquoi, le peuple de Côte d’Ivoire dans son ensemble se range derrière son chef pour le soutenir. La décision prise par le gouvernement ivoirien est légitime. Parce que ce peuple-là comprend mal les raisons pour lesquelles ces soldats de la paix ont retourné leurs fusils contre les filles et fils de la Côte d’Ivoire. Ils doivent partir. Seul le départ des déstabilisateurs de Ban-Ki-moon peut permettre au peuple de ce pays de recouvrer sa totale liberté.
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com
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