ABUJA, 20 déc 2010 (AFP) - La Communauté économique des Etats d'Afrique de
l'Ouest (Cédéao) a de nouveau appelé lundi Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir
en Côte d'Ivoire "dans la dignité et sans plus attendre".
La Cédéao "exhorte M. Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir dans la dignité
et sans plus attendre", selon un communiqué de l'organisation régionale.
Elle ajoute également avoir appris "avec surprise et déception" la demande
de M. Gbagbo, l'un des deux présidents proclamés de Côte d'Ivoire, concernant
un départ "immédiat" de la mission de l'ONU dans le pays, l'Onuci, et de la
force militaire française Licorne.
Elle lui demande aussi de "reconsidérer sa position provocatrice" qui,
"loin d'aider à résoudre la situation, augmenterait encore les tensions et
aggraverait la détresse des personnes vulnérables dans le pays".
Le 7 décembre, La Cédéao avait déjà demandé solennellement, à l'issue d'un
sommet d'urgence, à Laurent Gbagbo de "rendre le pouvoir sans délai" en se
soumettant aux résultats de la présidentielle certifiés par l'Onu et qui
concluent à la victoire d'Alassane Ouattara.
La Côte d'Ivoire avait également été suspendue de l'organisation régionale.
l'Ouest (Cédéao) a de nouveau appelé lundi Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir
en Côte d'Ivoire "dans la dignité et sans plus attendre".
La Cédéao "exhorte M. Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir dans la dignité
et sans plus attendre", selon un communiqué de l'organisation régionale.
Elle ajoute également avoir appris "avec surprise et déception" la demande
de M. Gbagbo, l'un des deux présidents proclamés de Côte d'Ivoire, concernant
un départ "immédiat" de la mission de l'ONU dans le pays, l'Onuci, et de la
force militaire française Licorne.
Elle lui demande aussi de "reconsidérer sa position provocatrice" qui,
"loin d'aider à résoudre la situation, augmenterait encore les tensions et
aggraverait la détresse des personnes vulnérables dans le pays".
Le 7 décembre, La Cédéao avait déjà demandé solennellement, à l'issue d'un
sommet d'urgence, à Laurent Gbagbo de "rendre le pouvoir sans délai" en se
soumettant aux résultats de la présidentielle certifiés par l'Onu et qui
concluent à la victoire d'Alassane Ouattara.
La Côte d'Ivoire avait également été suspendue de l'organisation régionale.