Les attaques quotidiennes de la presse et de la télévision ivoirienne inquiètent les plus blasés.
Il reçoit sur un banc de bois posé sur un bout de trottoir, comme les Ivoiriens aiment à le faire. Entre cette manie, ses traits creusés, son hâle et ses cheveux blancs, Jean-Luc Cancel n`a guère besoin d`étaler ses années d`Afrique. «J`ai derrière moi 68 ans de Côte d`Ivoire», dit-il en guise présentation. En six décennies, l`homme a tout connu du pays. Les années fastes d`avant-1995, quand il tenait un hôtel en bord de mer qui recevait 300 touristes chaque week-end. Puis l`époque sombre de la guerre civile, qui l`a poussé à fermer son établissement. «C`était devenu dangereux de vivre seul là-bas.» Depuis deux semaines, il observe les soubresauts du pays d`un... suite de l'article sur Le Figaro
Il reçoit sur un banc de bois posé sur un bout de trottoir, comme les Ivoiriens aiment à le faire. Entre cette manie, ses traits creusés, son hâle et ses cheveux blancs, Jean-Luc Cancel n`a guère besoin d`étaler ses années d`Afrique. «J`ai derrière moi 68 ans de Côte d`Ivoire», dit-il en guise présentation. En six décennies, l`homme a tout connu du pays. Les années fastes d`avant-1995, quand il tenait un hôtel en bord de mer qui recevait 300 touristes chaque week-end. Puis l`époque sombre de la guerre civile, qui l`a poussé à fermer son établissement. «C`était devenu dangereux de vivre seul là-bas.» Depuis deux semaines, il observe les soubresauts du pays d`un... suite de l'article sur Le Figaro