La situation sociopolitique nationale était au centre de la rencontre qui s’est tenue entre le ministre des Mines et de l’Energie, Augustin Komoé Kouadio, et les artistes de Côte d’Ivoire, hier, au complexe hôtelier Las Palmas, aux Deux-Plateaux. Avec à leur tête, Gadji Celi St Joseph, président de l’Union nationale des artistes de Côte d’Ivoire (Unartci), ils se sont déplacés massivement pour prêter une oreille attentive au message fort que leur a livré l’ex-ministre de la Culture et de la Francophonie.
“Soyez, le président Laurent Gbagbo tient le gouvernail du navire de la Côte d’Ivoire. Il m’a chargé de vous dire de rester sereins et de vaquer à vos occupations respectives. Car personne ne viendra mettre au pouvoir en Côte d’Ivoire un président qui n’a pas été élu par le peuple ivoirien. Il y a un seul président de la République et c’est Laurent Gbagbo. Il y a un seul gouvernement et un seul Premier ministre qui est le professeur Marie-Gilbert Aké N’gbo. Ceux qui veulent encore rêver peuvent le faire. Sinon les élections sont terminées avec la victoire du président Laurent Gbagbo, qui s’est d’ailleurs mis au travail avec son nouveau gouvernement auquel j’appartiens”, a-t-il déclaré.
Poursuivant, il a exhorté les créateurs à laisser libre cours à leur inspiration pour laisser des témoignages édifiants de la situation que vit le pays aux générations futures. Et d’ajouter que bientôt, un spectacle géant dit Concert de la liberté, aura lieu en collaboration avec l’Unartci.
“Nous n’avons pas d’armes mais nous nous battrons les mains nues et avec ce que nous avons dans le cœur pour préserver nos richesses. Le combat que nous menons n’est pas pour nous-mêmes. Mais celui de nos enfants. Nous sommes tous des mortels. Et si demain nous ne sommes plus là, quel héritage allons-nous léguer aux générations à venir ? C’est pourquoi tous les ivoiriens doivent se donner la main à quelque niveau que ce soit pour ce combat ultime qui assurera notre indépendance véritable”, a lancé Augustin Komoé Kouadio.
Bien avant, le ministre des Mines et de l’Energie est remonté jusqu’en 1990, date à laquelle la communauté internationale, aux mépris des lois nationales à voulu imposer Alassane Dramane Ouattara comme président en Côte d’Ivoire. Une initiative qui a toujours avorté jusqu’à ce enième coup de force manqué, a fait observer l’hôte de marque des artistes.
Avant de se retirer, il a remercié les créateurs ivoiriens, qui ont pris une part active dans la réélection du président Laurent Gbagbo. En tant que grand artisan de la cession du Bureau ivoirien du droit d’auteur( Burida) aux artistes, il a tenu surtout à les féliciter pour leur maturité et leur sagesse qui priment aujourd’hui sur toutes leurs divergences.
Gadji Céli St Joseph, ainsi que toutes les figures emblématiques de la culture ivoirienne présentes à cette cérémonie, ont apprécié à sa juste valeur le message du ministre Komoé Kouadio. Ils l’ont démontré à travers des prestations bien enlevées.
Sérikpa Benson
“Soyez, le président Laurent Gbagbo tient le gouvernail du navire de la Côte d’Ivoire. Il m’a chargé de vous dire de rester sereins et de vaquer à vos occupations respectives. Car personne ne viendra mettre au pouvoir en Côte d’Ivoire un président qui n’a pas été élu par le peuple ivoirien. Il y a un seul président de la République et c’est Laurent Gbagbo. Il y a un seul gouvernement et un seul Premier ministre qui est le professeur Marie-Gilbert Aké N’gbo. Ceux qui veulent encore rêver peuvent le faire. Sinon les élections sont terminées avec la victoire du président Laurent Gbagbo, qui s’est d’ailleurs mis au travail avec son nouveau gouvernement auquel j’appartiens”, a-t-il déclaré.
Poursuivant, il a exhorté les créateurs à laisser libre cours à leur inspiration pour laisser des témoignages édifiants de la situation que vit le pays aux générations futures. Et d’ajouter que bientôt, un spectacle géant dit Concert de la liberté, aura lieu en collaboration avec l’Unartci.
“Nous n’avons pas d’armes mais nous nous battrons les mains nues et avec ce que nous avons dans le cœur pour préserver nos richesses. Le combat que nous menons n’est pas pour nous-mêmes. Mais celui de nos enfants. Nous sommes tous des mortels. Et si demain nous ne sommes plus là, quel héritage allons-nous léguer aux générations à venir ? C’est pourquoi tous les ivoiriens doivent se donner la main à quelque niveau que ce soit pour ce combat ultime qui assurera notre indépendance véritable”, a lancé Augustin Komoé Kouadio.
Bien avant, le ministre des Mines et de l’Energie est remonté jusqu’en 1990, date à laquelle la communauté internationale, aux mépris des lois nationales à voulu imposer Alassane Dramane Ouattara comme président en Côte d’Ivoire. Une initiative qui a toujours avorté jusqu’à ce enième coup de force manqué, a fait observer l’hôte de marque des artistes.
Avant de se retirer, il a remercié les créateurs ivoiriens, qui ont pris une part active dans la réélection du président Laurent Gbagbo. En tant que grand artisan de la cession du Bureau ivoirien du droit d’auteur( Burida) aux artistes, il a tenu surtout à les féliciter pour leur maturité et leur sagesse qui priment aujourd’hui sur toutes leurs divergences.
Gadji Céli St Joseph, ainsi que toutes les figures emblématiques de la culture ivoirienne présentes à cette cérémonie, ont apprécié à sa juste valeur le message du ministre Komoé Kouadio. Ils l’ont démontré à travers des prestations bien enlevées.
Sérikpa Benson