Ça y est ! Le complot contre le Président Gbagbo et la Côte d’Ivoire est en marche. Ouattara et ses rebelles ont fini par adopter le plan qui consiste à assassiner leur allié Bédié, pour faire porter le chapeau au Président Gbagbo. Dans l’espoir que les Baoulé s’en prendront violemment au camp Gbagbo. Et bonjour la guerre civile. Que la France prépare activement.
L’information qui suit, quoi que n’étant pas livrée dans les détails, est à prendre très au sérieux.
Dans leur funeste volonté d’offrir coûte que coûte le pouvoir d’Etat à Alassane, leader incontesté des forces politiques coalisées d’origine étrangère, le Rdr et sa branche armée (Forces nouvelles) s’apprêtent à frapper encore.
Depuis son investiture qui s’est déroulée en grandes pompes au siège du Pdci à Cocody, avec à la clef les consignes de vote données par Bédié, le président du Rdr se rend compte de jour en jour de ce que ces consignes extorquées de Bédié et données du bout des lèvres par celui-ci, produisent plutôt l’effet contraire : celui de mobiliser le peuple ivoirien contre sa personne.
Ceci étant, Alassane a décidé de recouvrir à ce qui le singularise sur l’échiquier politique, à savoir la solution radicale consistant à faire couler le sang des Ivoiriens pour s’imposer à eux.
Alassane et ses sicaires entendent procéder comme en septembre 2002.
Que l’on se souvienne qu’à l’approche de la terrible nuit du 18 au 19 septembre 2002, Ouattara qui avait réussi à donner le change à l’entourage de Guéi par une réconciliation de façade scellée à Gouessesso, allait pousser le Général à entrer en conflit ouvert avec le Président Gbagbo, après le dernier remaniement ministériel.
L’ancien chef de la junte militaire dans une conférence de presse donnée à l’Hôtel Sofitel, allait faire preuve d’une rare violence verbale à l’endroit du Pdt Gbagbo traité de «Président boulanger» dont il était décidé à boucher les narines sous peu avec la levure sociale, selon ses propres termes. De fait, le Général Guei avait été astucieusement poussé dans le dos par le réseau Alassane à affronter Gbagbo.
Ce, à partir de quoi tout le monde se disait que la guerre était ouverte entre les deux frères de l’Ouest. S’engouffrant dans cette fissure, les anges exterminateurs d’Alassane n’ont pas fait de détail. Le 19 septembre 2002, ils ont massacré toute la famille du Gal Guéi sans épargner une seule âme, pour ne pas laisser survivre un éventuel témoin.
Le résultat de cet acte machiavélique, c’est qu’aujourd’hui encore, une partie du peuple Dan sans cesse intoxiquée par certains politiciens proches d’Alassane continue de vouer une haine profonde au Président Gbagbo. En cette période électorale où la situation sociale est explosive, les mêmes tueurs à gages d’Alassane sont de retour. Ils ont jeté leur dévolu cette fois-ci sur Bédié et certains cadres Pdci d’origine Baoulé dont ils auraient soigneusement planifié l’exécution. Ils auraient pris toutes les dispositions nécessaires afin que, une fois ces assassinats perpétrés, ce soit le camp présidentiel qui soit indexé par l’opinion nationale et internationale exactement comme dans le cas de Guei ; de la sorte, le divorce serait irrémédiablement consommé entre Gbagbo et le peuple Baoulé qui dans ce cas, lui réserverait un vote sanction, bien évidemment au profit d’Alassane.
Faisons donc preuve de vigilance !
Dieu protège la Côte d’Ivoire
Une correspondance particulière
L’information qui suit, quoi que n’étant pas livrée dans les détails, est à prendre très au sérieux.
Dans leur funeste volonté d’offrir coûte que coûte le pouvoir d’Etat à Alassane, leader incontesté des forces politiques coalisées d’origine étrangère, le Rdr et sa branche armée (Forces nouvelles) s’apprêtent à frapper encore.
Depuis son investiture qui s’est déroulée en grandes pompes au siège du Pdci à Cocody, avec à la clef les consignes de vote données par Bédié, le président du Rdr se rend compte de jour en jour de ce que ces consignes extorquées de Bédié et données du bout des lèvres par celui-ci, produisent plutôt l’effet contraire : celui de mobiliser le peuple ivoirien contre sa personne.
Ceci étant, Alassane a décidé de recouvrir à ce qui le singularise sur l’échiquier politique, à savoir la solution radicale consistant à faire couler le sang des Ivoiriens pour s’imposer à eux.
Alassane et ses sicaires entendent procéder comme en septembre 2002.
Que l’on se souvienne qu’à l’approche de la terrible nuit du 18 au 19 septembre 2002, Ouattara qui avait réussi à donner le change à l’entourage de Guéi par une réconciliation de façade scellée à Gouessesso, allait pousser le Général à entrer en conflit ouvert avec le Président Gbagbo, après le dernier remaniement ministériel.
L’ancien chef de la junte militaire dans une conférence de presse donnée à l’Hôtel Sofitel, allait faire preuve d’une rare violence verbale à l’endroit du Pdt Gbagbo traité de «Président boulanger» dont il était décidé à boucher les narines sous peu avec la levure sociale, selon ses propres termes. De fait, le Général Guei avait été astucieusement poussé dans le dos par le réseau Alassane à affronter Gbagbo.
Ce, à partir de quoi tout le monde se disait que la guerre était ouverte entre les deux frères de l’Ouest. S’engouffrant dans cette fissure, les anges exterminateurs d’Alassane n’ont pas fait de détail. Le 19 septembre 2002, ils ont massacré toute la famille du Gal Guéi sans épargner une seule âme, pour ne pas laisser survivre un éventuel témoin.
Le résultat de cet acte machiavélique, c’est qu’aujourd’hui encore, une partie du peuple Dan sans cesse intoxiquée par certains politiciens proches d’Alassane continue de vouer une haine profonde au Président Gbagbo. En cette période électorale où la situation sociale est explosive, les mêmes tueurs à gages d’Alassane sont de retour. Ils ont jeté leur dévolu cette fois-ci sur Bédié et certains cadres Pdci d’origine Baoulé dont ils auraient soigneusement planifié l’exécution. Ils auraient pris toutes les dispositions nécessaires afin que, une fois ces assassinats perpétrés, ce soit le camp présidentiel qui soit indexé par l’opinion nationale et internationale exactement comme dans le cas de Guei ; de la sorte, le divorce serait irrémédiablement consommé entre Gbagbo et le peuple Baoulé qui dans ce cas, lui réserverait un vote sanction, bien évidemment au profit d’Alassane.
Faisons donc preuve de vigilance !
Dieu protège la Côte d’Ivoire
Une correspondance particulière