Guillaume Soro, l'ex-Premier ministre, dans un râle de prisonnier de son propre piège de traître au Golf Hôtel, vient de déclarer la guerre à la Côte d’Ivoire, en demandant à ses commanditaires de l’Onu et de la Cedeao de chasser Gbagbo par la force. Qu’il assume !
«Seule la force peut faire partir Gbagbo", a proposé l'ex-Premier ministre Guillaume Soro à l'Onu et à la Cedeao. Une telle déclaration n'est rien d'autre qu'une déclaration de guerre. Le Président Laurent Gbagbo est le Président de la République de Côte d'Ivoire, Chef suprême des armées.
Demander son assassinat ou son départ du pouvoir par la force, est une atteinte à la sûreté de l'Etat. C'est pourquoi le chef d’état-major, le Général des Corps d'armée Philippe Mangou doit se mettre en première ligne pour répondre à cette déclaration de guerre. Il devra le faire, entouré de l'ensemble de ses collaborateurs, commandants des différentes unités, sans exception. Soro doit savoir que la Côte d'Ivoire a un chef et ce chef est à la tête d'une armée respectable qu'on ne provoque pas sans en avoir les nouvelles les plus dissuasives. Sous le couvert de l'Accord politique de Ouagadougou, Guillaume Soro a berné les Ivoiriens et bénéficié de la protection des Forces de défense et de sécurité de Côte d'Ivoire en tant que Premier ministre. Comme nous l'avions déjà écrit plusieurs fois, ce compromis a servi plus à la rébellion qu'aux loyalistes. Soro et ses amis ministres rebelles ont puisé les fonds de la République afin de mieux la combattre aujourd’hui. Après avoir promis de prendre fonction à la Primature le vendredi dernier sans l'avoir pu, sans même avoir pu mettre les pieds à la Riviera où se trouve le Golf Hôtel où il est bloqué, Soro pleure en direction de l'Onu et de la Cedeao, qui, selon lui, doivent l'aider à chasser Gbagbo par la force. Mais qu'il le fasse lui-même! N'a-t-il pas dit qu'il a une armée appelée Forces nouvelles ? Pourquoi ces forces n'envisagent-elles plus attaquer le pouvoir après son essai divertissant du jeudi 16 décembre 2010? Pourquoi n’a-t-il pas encore réussi à installer son nouveau Dg de la Rti ? Est-ce ce nouveau Dg qui serait souffrant ou alors c’est le fauteuil en jeu à la Rti qui n’est pas libre ? Le vendredi 17 décembre, Guillaume Soro était attendu à la Primature.
En vain ! Son personnel avait hâte de le revoir. Mais Soro ne s’est pas montré. Ses Forces nouvelles se sont dégonflées. Cet appel à la guerre, est un râlement de Guillaume Soro, au bord de la dépression. Un râlement-déclaration de guerre qui interpelle tous les patriotes. Mais comment peut mener une guerre, un homme en prison par son propre fait ? S’il a du mal à se ravitailler en nourriture et en besoins élémentaires, ce n'est pas une guerre réelle qu'il serait capable de mener. Soro veut entraîner des innocents dans sa folie. Mais les Nago, les Français et les Casques bleus qu'il veut entraîner dans cette guerre sans merci, quelle garantie leur donne-t-il pour les protéger ou pour mettre à l’abri leurs ressortissants en terre ivoirienne? Une guerre est une guerre. Dans une guerre, on ne fait pas les yeux doux à ses agresseurs ou aux parents de ceux-ci. Guillaume Soro a donc déclaré la guerre à la Côte d'Ivoire. Mais quand on déclare une guerre, on assume ses conséquences. Toutes ces conséquences, sans gémir après coup.
Germain Séhoué
gs05895444à@yahoo.fr
«Seule la force peut faire partir Gbagbo", a proposé l'ex-Premier ministre Guillaume Soro à l'Onu et à la Cedeao. Une telle déclaration n'est rien d'autre qu'une déclaration de guerre. Le Président Laurent Gbagbo est le Président de la République de Côte d'Ivoire, Chef suprême des armées.
Demander son assassinat ou son départ du pouvoir par la force, est une atteinte à la sûreté de l'Etat. C'est pourquoi le chef d’état-major, le Général des Corps d'armée Philippe Mangou doit se mettre en première ligne pour répondre à cette déclaration de guerre. Il devra le faire, entouré de l'ensemble de ses collaborateurs, commandants des différentes unités, sans exception. Soro doit savoir que la Côte d'Ivoire a un chef et ce chef est à la tête d'une armée respectable qu'on ne provoque pas sans en avoir les nouvelles les plus dissuasives. Sous le couvert de l'Accord politique de Ouagadougou, Guillaume Soro a berné les Ivoiriens et bénéficié de la protection des Forces de défense et de sécurité de Côte d'Ivoire en tant que Premier ministre. Comme nous l'avions déjà écrit plusieurs fois, ce compromis a servi plus à la rébellion qu'aux loyalistes. Soro et ses amis ministres rebelles ont puisé les fonds de la République afin de mieux la combattre aujourd’hui. Après avoir promis de prendre fonction à la Primature le vendredi dernier sans l'avoir pu, sans même avoir pu mettre les pieds à la Riviera où se trouve le Golf Hôtel où il est bloqué, Soro pleure en direction de l'Onu et de la Cedeao, qui, selon lui, doivent l'aider à chasser Gbagbo par la force. Mais qu'il le fasse lui-même! N'a-t-il pas dit qu'il a une armée appelée Forces nouvelles ? Pourquoi ces forces n'envisagent-elles plus attaquer le pouvoir après son essai divertissant du jeudi 16 décembre 2010? Pourquoi n’a-t-il pas encore réussi à installer son nouveau Dg de la Rti ? Est-ce ce nouveau Dg qui serait souffrant ou alors c’est le fauteuil en jeu à la Rti qui n’est pas libre ? Le vendredi 17 décembre, Guillaume Soro était attendu à la Primature.
En vain ! Son personnel avait hâte de le revoir. Mais Soro ne s’est pas montré. Ses Forces nouvelles se sont dégonflées. Cet appel à la guerre, est un râlement de Guillaume Soro, au bord de la dépression. Un râlement-déclaration de guerre qui interpelle tous les patriotes. Mais comment peut mener une guerre, un homme en prison par son propre fait ? S’il a du mal à se ravitailler en nourriture et en besoins élémentaires, ce n'est pas une guerre réelle qu'il serait capable de mener. Soro veut entraîner des innocents dans sa folie. Mais les Nago, les Français et les Casques bleus qu'il veut entraîner dans cette guerre sans merci, quelle garantie leur donne-t-il pour les protéger ou pour mettre à l’abri leurs ressortissants en terre ivoirienne? Une guerre est une guerre. Dans une guerre, on ne fait pas les yeux doux à ses agresseurs ou aux parents de ceux-ci. Guillaume Soro a donc déclaré la guerre à la Côte d'Ivoire. Mais quand on déclare une guerre, on assume ses conséquences. Toutes ces conséquences, sans gémir après coup.
Germain Séhoué
gs05895444à@yahoo.fr