Les conseillers économiques et sociaux issus du Front populaire ivoirien et regroupés en association baptisée la Fraternelle s’insurgent contre l’ingérence dans les affaires ivoiriennes. Vu les récentes agitations moyenâgeuse du Président français, Nicolas Sarkozy au sujet de la crise ivoirienne. Hier, face à la presse au Conseil économique et social, le président de la Fraternelle, Désiré Porquet a haussé le ton contre la France, son Président Nicolas Sarkozy et les banques françaises qui s’invitent dans la crise post-électorale ivoirienne. «Sarkozy et la France sont déjà vaincus parce qu’ils sont dans la logique d’un Etat colonial qui a perdu ses repères. Sarkozy a la mentalité de sous développé. Ce n’est pas étonnant vu son pays d’origine », a chargé Désiré Porquet entouré de ses pairs. Il a profité pour condamner les banques françaises qui tentent d’affamer les Ivoiriens en les empêchant de prendre leurs salaires. Visiblement en colère, Désiré Porquet a recommandé : «Les banques coloniales ont fermé. C’est le lieu d’appeler les Ivoiriens à se tourner vers les banques nationales et panafricaines. Les banques françaises ne nous font pas de cadeau et elles confisquent les salaires des Ivoiriens. C’est criminel et nous devons rompre avec ces banques. Que ces banques ferment pour de bon. »
Au nom des conseillers économiques et sociaux, la Fraternelle a salué les pays africains, la diaspora et les intellectuels qui désapprouvent les ingérences. Pour Désiré Porquet, la Fraternelle reconnaît Laurent Gbagbo comme le Président de la République de Côte d’Ivoire et adhère automatiquement à toutes ses solutions.
Fabrice Tété
Au nom des conseillers économiques et sociaux, la Fraternelle a salué les pays africains, la diaspora et les intellectuels qui désapprouvent les ingérences. Pour Désiré Porquet, la Fraternelle reconnaît Laurent Gbagbo comme le Président de la République de Côte d’Ivoire et adhère automatiquement à toutes ses solutions.
Fabrice Tété