Pour la France, le choix de recourir ou non à la force revient aux chefs d'Etat africains. Et tandis que l'ONU évoque le meurtre de 173 Ivoiriens, le premier ministre du président élu souhaite aussi une mission de la Cour pénale internationale pour juger «le dictateur» Laurent Gbagbo.
Désespéré par la situation en Côte d'Ivoire, le camp Ouattara a franchi un cap en appellant jeudi la communauté internationale à faire usage de la force contre Gbagbo. Guillaume Soro, premier ministre du président élu, ne voit plus d'autre solution pour déloger du pouvoir celui qu'il qualifie de «dictateur».
Jeudi, le camp Ouattara a reçu une nouvelle légitimation, importante, de la part du Conseil des ministres des Finances de l'Union économique et monétaire ouest-africaine... suite de l'article sur Le Figaro
Désespéré par la situation en Côte d'Ivoire, le camp Ouattara a franchi un cap en appellant jeudi la communauté internationale à faire usage de la force contre Gbagbo. Guillaume Soro, premier ministre du président élu, ne voit plus d'autre solution pour déloger du pouvoir celui qu'il qualifie de «dictateur».
Jeudi, le camp Ouattara a reçu une nouvelle légitimation, importante, de la part du Conseil des ministres des Finances de l'Union économique et monétaire ouest-africaine... suite de l'article sur Le Figaro