La secrétaire d`Etat américaine Hillary Clinton a exhorté à nouveau jeudi le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo à renoncer "immédiatement" au pouvoir pour laisser la place à son rival Alassane Ouattara et mettre fin à la crise dans le pays.
"Le président Alassane Ouattara est le dirigeant légitimement élu et internationalement reconnu de Côté d`Ivoire. Nous renouvelons notre appel pour que le président sortant Laurent Gbagbo se retire immédiatement", a déclaré la chef de la diplomatie américaine dans un communiqué adressé au Conseil des droits de l`homme de l`ONU à Genève.
Les Etats-Unis avaient déjà demandé vendredi le retrait de M. Gbagbo.
"Les droits du peuple ivoirien ne peuvent être pleinement respectés que si la démocratie peut fonctionner et si l`Etat de droit est rétabli en Côte d`Ivoire", a souligné Mme Clinton.
"Les Etats-Unis se joignent à la communauté internationale pour condamner la violence grandissante, les graves violations des droits de l`homme et la détérioration de la sécurité en Côte d`Ivoire", a-t-elle ajouté.
"Nous soutenons le Conseil (des droits de l`homme de l`ONU) dans son appel à l`arrêt immédiat de la violence et d`autres exactions, et nous oeuvrerons pour que les responsables de ces violations des droits de l`homme rendent des comptes", a assuré Mme Clinton.
Le Conseil des droits de l`homme de l`ONU a adopté par consensus jeudi à l`issue d`une session spéciale sur la Côte d`Ivoire une résolution dénonçant les "atrocités" commises après les élections de novembre.
A l`issue du second tour de la présidentielle du 28 novembre en Côte d`Ivoire, Alassane Ouattara a été désigné vainqueur avec 54,10% des voix face au président sortant Laurent Gbagbo par la Commission électorale indépendante.
Mais le Conseil constitutionnel, acquis à M. Gbagbo, a invalidé ces résultats, pourtant certifiés par l`ONU, et proclamé la victoire du président sortant, qui se maintient depuis au pouvoir en dépit d`un isolement croissant sur la scène internationale.
"Le président Alassane Ouattara est le dirigeant légitimement élu et internationalement reconnu de Côté d`Ivoire. Nous renouvelons notre appel pour que le président sortant Laurent Gbagbo se retire immédiatement", a déclaré la chef de la diplomatie américaine dans un communiqué adressé au Conseil des droits de l`homme de l`ONU à Genève.
Les Etats-Unis avaient déjà demandé vendredi le retrait de M. Gbagbo.
"Les droits du peuple ivoirien ne peuvent être pleinement respectés que si la démocratie peut fonctionner et si l`Etat de droit est rétabli en Côte d`Ivoire", a souligné Mme Clinton.
"Les Etats-Unis se joignent à la communauté internationale pour condamner la violence grandissante, les graves violations des droits de l`homme et la détérioration de la sécurité en Côte d`Ivoire", a-t-elle ajouté.
"Nous soutenons le Conseil (des droits de l`homme de l`ONU) dans son appel à l`arrêt immédiat de la violence et d`autres exactions, et nous oeuvrerons pour que les responsables de ces violations des droits de l`homme rendent des comptes", a assuré Mme Clinton.
Le Conseil des droits de l`homme de l`ONU a adopté par consensus jeudi à l`issue d`une session spéciale sur la Côte d`Ivoire une résolution dénonçant les "atrocités" commises après les élections de novembre.
A l`issue du second tour de la présidentielle du 28 novembre en Côte d`Ivoire, Alassane Ouattara a été désigné vainqueur avec 54,10% des voix face au président sortant Laurent Gbagbo par la Commission électorale indépendante.
Mais le Conseil constitutionnel, acquis à M. Gbagbo, a invalidé ces résultats, pourtant certifiés par l`ONU, et proclamé la victoire du président sortant, qui se maintient depuis au pouvoir en dépit d`un isolement croissant sur la scène internationale.