Plusieurs organisations féminines de l’Ouest ont appelé ce jeudi 23 décembre à “chasser“ militairement Laurent Gbagbo et son clan du pouvoir. Une option qui relève d’une exigence démocratique, humanitaire et juridique, ont-elles souligné.
Dans une déclaration lue par la porte-parole Séa Huguette, ces femmes n’ont pas manqué de relever le caractère couteux des élections et l’attention toute particulière dont elles ont fait l’objet auprès de la communauté nationale et internationale, qui a “certifié“ les résultats de la commission électorale indépendante donnant le docteur Alassane Dramane Ouattara vainqueur du scrutin. Ces femmes s’insurgent donc contre la “forfaiture“ du Conseil constitutionnel qui a donné Laurent Gbagbo gagnant. Plongeant, dira t elle, le pays dans une crise postélectorale. Elles ont par conséquent dénoncé cet acte ainsi que les violences, les tueries massives et les nombreux cas de violation des droits humains perpétrés par les forces fidèles au chef de l’état sortant pour le maintenir au pouvoir. Contre, souligne-t-elle, la volonté du peuple souverain de Côte d’Ivoire. Face aux tueries, ces femmes appellent l’Onuci et la Licorne à « sécuriser effectivement ces populations qui sont tuées sans défense ». Quand à l’Onu, elles l’ont appelé à « chasser militairement Laurent Gbagbo et son clan du pouvoir ». Toute chose qui, font-elles savoir, relève d’une exigence démocratique, humanitaire et juridique.
Rahoul Sainfort (Correspondant régional)
Dans une déclaration lue par la porte-parole Séa Huguette, ces femmes n’ont pas manqué de relever le caractère couteux des élections et l’attention toute particulière dont elles ont fait l’objet auprès de la communauté nationale et internationale, qui a “certifié“ les résultats de la commission électorale indépendante donnant le docteur Alassane Dramane Ouattara vainqueur du scrutin. Ces femmes s’insurgent donc contre la “forfaiture“ du Conseil constitutionnel qui a donné Laurent Gbagbo gagnant. Plongeant, dira t elle, le pays dans une crise postélectorale. Elles ont par conséquent dénoncé cet acte ainsi que les violences, les tueries massives et les nombreux cas de violation des droits humains perpétrés par les forces fidèles au chef de l’état sortant pour le maintenir au pouvoir. Contre, souligne-t-elle, la volonté du peuple souverain de Côte d’Ivoire. Face aux tueries, ces femmes appellent l’Onuci et la Licorne à « sécuriser effectivement ces populations qui sont tuées sans défense ». Quand à l’Onu, elles l’ont appelé à « chasser militairement Laurent Gbagbo et son clan du pouvoir ». Toute chose qui, font-elles savoir, relève d’une exigence démocratique, humanitaire et juridique.
Rahoul Sainfort (Correspondant régional)