La Grande-Bretagne a demandé dimanche à Laurent Gbagbo de se retirer et de laisser Alassane Ouattara prendre le contrôle du pays afin de permettre "un transfert pacifique et en douceur du pouvoir".
"Le Royaume Uni est profondément préoccupé par la crise politique actuelle
en Côte d`Ivoire" et "par les risques sérieux d`instabilité", a déclaré le
ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague.
"Nous pensons que l`ancien président Gbagbo doit se retirer et accepter les
résultats de l`élection présidentielle", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Londres "se fait l`écho de l`appel des chefs d`Etat de l`Afrique de l`Ouest
pour un transfert rapide et pacifique du pouvoir", ajoute le communiqué.
Les présidents béninois, sierra-léonais et cap-verdien sont attendus mardi
à Abidjan pour demander, au nom de l`organisation régionale de l`Afrique de
l`Ouest, à Laurent Gbagbo de quitter le pouvoir.
"Nous demandons instamment à l`ancien président Gbagbo d`accepter la
mission de la délégation de haut niveau de la Cédéao", poursuit M. Hague.
"Le peuple (de la Côte d`Ivoire) ne mérite pas d`être privé de démocratie,
de souffrir des violences ou d`être forcé de fuir son pays. L`ancien président
Gbagbo a l`occasion de dénouer pacifiquement la crise", conclut le ministre
britannique des Affaires étrangères.
"Le Royaume Uni est profondément préoccupé par la crise politique actuelle
en Côte d`Ivoire" et "par les risques sérieux d`instabilité", a déclaré le
ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague.
"Nous pensons que l`ancien président Gbagbo doit se retirer et accepter les
résultats de l`élection présidentielle", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Londres "se fait l`écho de l`appel des chefs d`Etat de l`Afrique de l`Ouest
pour un transfert rapide et pacifique du pouvoir", ajoute le communiqué.
Les présidents béninois, sierra-léonais et cap-verdien sont attendus mardi
à Abidjan pour demander, au nom de l`organisation régionale de l`Afrique de
l`Ouest, à Laurent Gbagbo de quitter le pouvoir.
"Nous demandons instamment à l`ancien président Gbagbo d`accepter la
mission de la délégation de haut niveau de la Cédéao", poursuit M. Hague.
"Le peuple (de la Côte d`Ivoire) ne mérite pas d`être privé de démocratie,
de souffrir des violences ou d`être forcé de fuir son pays. L`ancien président
Gbagbo a l`occasion de dénouer pacifiquement la crise", conclut le ministre
britannique des Affaires étrangères.

