C’est su des Ivoiriens, le verdict des urnes de l’élection présidentielle (1er et 2e tour) pour la France n’a jamais été connu. Mais ils ignorent l’étendue des intrigues du couple Ouattara-Sarkozy. Face à la presse, hier, à Koumassi, Dr Sylla, président de la Cei France a levé un coin de voile sur cette sombre affaire. D’entrée de jeu, il a indiqué que le commissaire superviseur pour la France, Bamba Yacouba « était en mission commandée ».
Au premier tour, apprend le conférencier, «le Président Laurent Gbagbo a obtenu 58, 28% des suffrages exprimés, suivi de Ouattara, 35, 36 % et de Bédié avec 5,34 %, dans l’Ile de France». La France, pays de son mentor Sarkozy, était très importante pour Ouattara. Sa défaite là-bas pouvait peser lourd dans l’issue du vote. Il a, au dire du président de la Cei locale, actionné Bamba Yacouba qui a prétexté de violence dans huit (8) bureaux de vote pour annuler le scrutin en France. Pis, les incidents dont il est question, révèle Dr Sylla, se sont produits au nez et à la barbe des Forces de l’ordre françaises, qui ont observé les événements avec un œil complice. Fort de ce résultat, Ouattara et son homme de main, Bamba Yacouba, ont mis en place un vaste plan de sabotage du vote au 2e tour. Ainsi par exemple, à Marseille, sachant que Dhl, le service longs courriers ne travaillant pas samedi, ils se sont démenés pour envoyer les bulletins le vendredi qui a précédé le dimanche, jour du vote.
Bien évidemment, ce n’est que le lundi que les bulletins étaient disponibles. Quand on y ajoute des bulletins qui se sont retrouvés à Metz, là où il n’y a ni consulat, ni bureaux de vote, on comprend aisément le stratagème du Directeur de la logistique à la Cei centrale, pur produit du Rdr. «Le Rdr ne voulait pas d’élections en France, a fait savoir Dr Sylla, parce qu’il savait que Laurent Gbagbo allait gagner». Par ailleurs, face à l’activisme de Sarkozy, l’orateur a invité ce dernier à décoloniser son esprit afin de conduire son pays dans un rapport civilisé avec la Côte d’Ivoire. A Bédié, il lui a demandé de rejoindre la République pour honorer à nouveau le Pdci-Rda. «La violence n’est pas la culture du Pdci-Rda», a noté celui qui se réclame du vieux parti.
Tché Bi Tché
Au premier tour, apprend le conférencier, «le Président Laurent Gbagbo a obtenu 58, 28% des suffrages exprimés, suivi de Ouattara, 35, 36 % et de Bédié avec 5,34 %, dans l’Ile de France». La France, pays de son mentor Sarkozy, était très importante pour Ouattara. Sa défaite là-bas pouvait peser lourd dans l’issue du vote. Il a, au dire du président de la Cei locale, actionné Bamba Yacouba qui a prétexté de violence dans huit (8) bureaux de vote pour annuler le scrutin en France. Pis, les incidents dont il est question, révèle Dr Sylla, se sont produits au nez et à la barbe des Forces de l’ordre françaises, qui ont observé les événements avec un œil complice. Fort de ce résultat, Ouattara et son homme de main, Bamba Yacouba, ont mis en place un vaste plan de sabotage du vote au 2e tour. Ainsi par exemple, à Marseille, sachant que Dhl, le service longs courriers ne travaillant pas samedi, ils se sont démenés pour envoyer les bulletins le vendredi qui a précédé le dimanche, jour du vote.
Bien évidemment, ce n’est que le lundi que les bulletins étaient disponibles. Quand on y ajoute des bulletins qui se sont retrouvés à Metz, là où il n’y a ni consulat, ni bureaux de vote, on comprend aisément le stratagème du Directeur de la logistique à la Cei centrale, pur produit du Rdr. «Le Rdr ne voulait pas d’élections en France, a fait savoir Dr Sylla, parce qu’il savait que Laurent Gbagbo allait gagner». Par ailleurs, face à l’activisme de Sarkozy, l’orateur a invité ce dernier à décoloniser son esprit afin de conduire son pays dans un rapport civilisé avec la Côte d’Ivoire. A Bédié, il lui a demandé de rejoindre la République pour honorer à nouveau le Pdci-Rda. «La violence n’est pas la culture du Pdci-Rda», a noté celui qui se réclame du vieux parti.
Tché Bi Tché
