Alassane Ouattara vit une obsession. Celle d’être Président de la République de Côte d’Ivoire et pour continuer à donner le sentiment qu’il lui ressemble, il tient à la veille de Noël, un discours qui s’adresse plutôt à l’étranger.
De sa prison volontaire du Golf Hôtel, Alassane Dramane Ouattara, le candidat malheureux de la présidentielle du 28 novembre 2010 a tenu, dans le vide, vendredi 24 décembre 2010, un discours appelé abusivement "adresse à la Nation". A quelle Nation s'adresse Alassane et en tant que qui? Nous savons qu'il a officiellement pris les habits de chef rebelle, faisant de Guillaume Soro, la figure de la rébellion devant les hommes, son second. On peut croire qu'il s'adresse à ses rebelles du Mpci (dans la tenue de Forces nouvelles). Ces sanguinaires qui, depuis 2002, font des zones Centre, nord et est, des régions ivoiriennes de non-droit où la vie des populations soupçonnées favorables à Laurent Gbagbo, n'est pas en sécurité. On peut admettre qu'il parle à ses rebelles qui ont infiltré la population du Sud et aux militants du Rassemblement des républicains, mais Alassane ne peut espérer plus.
Il n'a pas un autre peuple au-delà de ceux-là. La situation dans laquelle il s'est enfermé, au bout d'un processus de fraudes électorales et de complot international, dispose à une foule d'illusions qu'Alassane est en tain de gérer. L’incertitude de sa situation incline à la confusion. Faute de lecture lucide des signes, Alassane Ouattara se disant chef suprême des Armées, prétend donner des instructions aux Forces de défense et de sécurité de Côte d’Ivoire. Il semble parler des Fds sous le commandement bien huilé du Général de Corps d’Armée Philippe Mangou dont ses rebelles venaient de tuer 10 éléments le jeudi 16 décembre 2010, dans une tentative insurrectionnelle, en plus des 287 gendarmes tués en 2002 à Bouaké et dans les zones Cno.
Mais depuis qu’il se croit Président d’une certaine République, ses appels à cette Armée restent sans effet. Les Fds avaient déjà fait allégeance au Président de la République élu et investi par le Conseil constitutionnel, Laurent Gbagbo. Et elles ne cessent de persister et de signer leur engagement pour la défense des Institutions de la République. Quel est donc ce Président de la République non reconnu par l’Armée régulière, qui n’a d’armée que des bandes rebelles et des pillards sans oublier la menace de puissances étrangères ? Quels éléments des Fds peuvent suivre et se mettre à la disposition d’un homme cruel comme Alassane Ouattara, après avoir vu leurs camarades, collègues tués, brûlés vifs jusqu’aux os, par les rebelles de cet homme ? Si le bon sens l’habite encore, Alassane Ouattara devrait comprendre qu’il est chef suprême d’une Armée illusoire.
Il n’est donc rien qui ressemblerait à un chef d’Etat, sauf dans ses plans sur la comète ! En disant pendant la campagne électorale qu’il était le candidat de la Côte d’Ivoire et que son adversaire, celui de l’étranger, Laurent Gbagbo ne faisait que l’état des lieux. La preuve, l’essentiel du discours d’Alassane dit « adresse à la Nation », est tourné vers l’extérieur. Pour lui, la Cour pénale internationale (Cpi) doit venir enquêter sur des violations des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. Or, il a généreusement oublié l’existence de cette Institution quant aux exactions commises sur de milliers d’Ivoiriens par ses rebelles depuis 2002. Alassane Ouattara ne fait pas confiance à la justice ivoirienne, aux Instituions du pays qu’il prétend diriger. Il montre bien qu’il n’est pas Ivoirien et qu’il veut prendre ce pays pour l’offrir à l’étranger, sa vraie patrie. C’est le sens de son blablabla.
Germain Séhoué
gs05895444@yahoo.fr
De sa prison volontaire du Golf Hôtel, Alassane Dramane Ouattara, le candidat malheureux de la présidentielle du 28 novembre 2010 a tenu, dans le vide, vendredi 24 décembre 2010, un discours appelé abusivement "adresse à la Nation". A quelle Nation s'adresse Alassane et en tant que qui? Nous savons qu'il a officiellement pris les habits de chef rebelle, faisant de Guillaume Soro, la figure de la rébellion devant les hommes, son second. On peut croire qu'il s'adresse à ses rebelles du Mpci (dans la tenue de Forces nouvelles). Ces sanguinaires qui, depuis 2002, font des zones Centre, nord et est, des régions ivoiriennes de non-droit où la vie des populations soupçonnées favorables à Laurent Gbagbo, n'est pas en sécurité. On peut admettre qu'il parle à ses rebelles qui ont infiltré la population du Sud et aux militants du Rassemblement des républicains, mais Alassane ne peut espérer plus.
Il n'a pas un autre peuple au-delà de ceux-là. La situation dans laquelle il s'est enfermé, au bout d'un processus de fraudes électorales et de complot international, dispose à une foule d'illusions qu'Alassane est en tain de gérer. L’incertitude de sa situation incline à la confusion. Faute de lecture lucide des signes, Alassane Ouattara se disant chef suprême des Armées, prétend donner des instructions aux Forces de défense et de sécurité de Côte d’Ivoire. Il semble parler des Fds sous le commandement bien huilé du Général de Corps d’Armée Philippe Mangou dont ses rebelles venaient de tuer 10 éléments le jeudi 16 décembre 2010, dans une tentative insurrectionnelle, en plus des 287 gendarmes tués en 2002 à Bouaké et dans les zones Cno.
Mais depuis qu’il se croit Président d’une certaine République, ses appels à cette Armée restent sans effet. Les Fds avaient déjà fait allégeance au Président de la République élu et investi par le Conseil constitutionnel, Laurent Gbagbo. Et elles ne cessent de persister et de signer leur engagement pour la défense des Institutions de la République. Quel est donc ce Président de la République non reconnu par l’Armée régulière, qui n’a d’armée que des bandes rebelles et des pillards sans oublier la menace de puissances étrangères ? Quels éléments des Fds peuvent suivre et se mettre à la disposition d’un homme cruel comme Alassane Ouattara, après avoir vu leurs camarades, collègues tués, brûlés vifs jusqu’aux os, par les rebelles de cet homme ? Si le bon sens l’habite encore, Alassane Ouattara devrait comprendre qu’il est chef suprême d’une Armée illusoire.
Il n’est donc rien qui ressemblerait à un chef d’Etat, sauf dans ses plans sur la comète ! En disant pendant la campagne électorale qu’il était le candidat de la Côte d’Ivoire et que son adversaire, celui de l’étranger, Laurent Gbagbo ne faisait que l’état des lieux. La preuve, l’essentiel du discours d’Alassane dit « adresse à la Nation », est tourné vers l’extérieur. Pour lui, la Cour pénale internationale (Cpi) doit venir enquêter sur des violations des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. Or, il a généreusement oublié l’existence de cette Institution quant aux exactions commises sur de milliers d’Ivoiriens par ses rebelles depuis 2002. Alassane Ouattara ne fait pas confiance à la justice ivoirienne, aux Instituions du pays qu’il prétend diriger. Il montre bien qu’il n’est pas Ivoirien et qu’il veut prendre ce pays pour l’offrir à l’étranger, sa vraie patrie. C’est le sens de son blablabla.
Germain Séhoué
gs05895444@yahoo.fr