L’élection d’un Noir d’origine africaine avait réellement suscité un immense espoir en Afrique et dans le monde entier. Barack Obama 44e Président à la tête des Usa a fait rêvé tant de générations africaines que les observateurs les plus avertis se disaient que si l’homme ne restait pas lui- même, la déception qui pourrait en découler serait proportionnellement 100 fois plus difficile à résorber que l’espoir suscité.
Hélas en moins d’un mandat, juste à la moitié de ce tout premier mandat, les Africains se demandent si vraiment Barack Obama était l’homme de la situation. Au Belliqueux Président Bush, l’Afrique restera toujours reconnaissante pour son engagement financier sans faille dans la lutte contre le paludisme. Obama aujourd’hui, nous a simplement réconfortés par ses dires sans plus. Un discours en tient lieu :
Son premier discours en tant que Président des Usa devant le congrès ghanéen à Accra au cours duquel, il affirmait sans ambages :
« Je ne considère … pas les pays et les Peuples d’Afrique comme un monde à part, je considère l’Afrique comme une partie fondamentale de notre monde interconnecté, comme un partenaire des Etats-Unis en faveur de l’avenir que nous souhaitons pour tous nos enfants. Ce partenariat doit se fonder sur la responsabilité mutuelle et sur le respect mutuel; c’est ce dont je tiens à vous parler aujourd’hui.
Nous devons parler du principe qu’il revient aux Africains de décider de l’avenir de l’Afrique… Comme je l’ai dit au Caire, chaque Nation façonne la démocratie à sa manière, conformément à ses traditions… Personne ne veut vivre dans une société où la règle de droit cède la place à la loi du plus fort. Les Ghanéens ont à maintes reprises préféré le droit constitutionnel à l’autocratie. Alors ne vous y trompez pas, l’histoire est du côté de ces courageux Africains et non de ceux qui se servent des coups d’Etat ou qui modifient les Constitutions pour rester au pouvoir. L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais de fortes Institutions. L’Amérique ne cherchera pas à imposer un système quelconque de gouvernement à aucune autre Nation.
La vérité essentielle de la démocratie est que chaque Nation détermine elle- même son destin ». D’où vient alors aujourd’hui, Monsieur le Président après de si fortes paroles, un si fort engagement, une si forte conviction et une digne foi au destin des peuples à disposer de leur avenir, d’où vient aujourd’hui, disons-nous M. Obama que vous accepteriez d’être le bras séculier d’un Président français en proie à une contestation d’autorité intérieure qu’aucun Président sous la 5e République française n’a connue ?
Que l’Amérique dont vous êtes constitutionnellement, représentant légal face au monde, vous le constitutionnaliste représentant légal prenne fait et cause pour une bande de copains et de coquins qui lorgnent vers le vol de nos richesses ? Demain, l’histoire sera impardonnable si l’Amérique devient le bras séculier de la France pour perpétrer une forfaiture qui n’aura d’égale dans ce 21e siècle qui s’annonce sous des auspices de prise en main des peuples de leur propre destin.
La France des intrigues et des coups tordus ne doit pas quels que soient les intérêts éclabousser, ternir l’image de la grande Amérique en lui demandant de commettre la forfaiture la plus ignoble. Mille générations vous regardent, mille générations vous jugeront pour avoir renié vos convictions profondes si par extraordinaire, vous acceptiez de commettre ce crime. Dieu et l’Amérique, celle de Georges Washington, celle d’Abraham Lincoln, celle, de Martin Luther King… vous regardent :
On vous prête l’intention selon les dires de votre « nouveau partenaire », la France en Afrique, le coup de Noriega contre Gbagbo : L’enlever et le remplacer par Ouattara. A moins que vous ne fassiez de la Côte d’Ivoire, le Chili de Pinochet, Ouattara face à la détermination du peuple ivoirien ne règnera pas ici. Même si la France mettait devant chaque maison, chaque bureau, chaque case, un soldat français, et Ouattara entouré d’un million de mercenaires, il ne gouvernera pas ce pays qu’il a incendié, pillé, violé, tué, assassiné, éventré. Ce pays dont il aura sur la conscience toute sa vie, les milliers de morts, d’orphelins, de veuves… Car Dieu le créateur, Grand Maitre de l’Univers aura toujours une main bienveillante sur ce pays et son peuple dont le crime est de vouloir vivre en paix.
M. Obama, ça se dit dans tous les foyers, les amis de Ouattara servent de relais pour ces rumeurs inédites que vous auriez, une centaine de «Marines» logés à votre Ambassade, prêts à attenter à l’intégrité physique du chef de l’Etat ou à l’enlever. Ça se dit, dans l’enclave fantoche du Golf Hôtel que vous auriez basé au 43e Bima, sous contrôle de la Licorne 30 GI’S (noirs et blancs), en mettant à leur dispositions une vanne grise- marron et une camionnette de transport de troupes (cabine blanche et arrière bâche bleue) ; cette dernière changerait d’immatriculation, (tantôt immatriculation ambassade américaine, tantôt immatriculation ivoirienne) pour les besoins de la cause.
Ces « GI’S » travailleraient avec les Forces Licorne en cas d’intervention contre le pouvoir ivoirien. Les Français n’étant pas sûrs de leur fait, ils aideraient à opérer pour la réussite de leur sale besogne. Ça se dit au Golf Hôtel et dans les foyers proches de Ouattara, que vos marines au cours de l’opération patouilleront à bord des chars Onuci et Licorne pour s’attaquer au cortège présidentiel sur des itinéraires habituels.
Ça se dit, qu’un groupe d’entre eux serait posté sur un immeuble inachevé (siège local du Qg de Ouattara au rond-point du carrefour Solibra sur le Boulevard Vge) pour tirer sur le cortège présidentiel si l’opportunité se présentait. Tout ceci se situerait entre le 26 décembre 2010 et 2 janvier 2011. Ils seraient avec des barbouzes noirs. Enfin, ça se dit toujours à l’enclave fantoche du Golf Hôtel, que la coordination de toutes ces opérations serait menée par un homme de terrain, un Lieutenant de la Police nationale du nom de Ouattara Mamadou détaché à l’Ambassade des Usa à Abidjan depuis plus de 10 ans. Ça se dit, ça se dit, et ça finit par se savoir, vrai ou faux ? Mais enfin, les Ivoiriens espèrent que Barack Obama et l’Amérique ne se prêteront pas à ce jeu. Le peuple ivoirien a fini par savoir que le gouvernement américain est intoxiqué par une bande de ripoux dont la finalité dans la vie se résume en monnaie trébuchante et sonnante, et à qui Ouattara a promis monts et cieux.
Un quatuor de pseudo- Ivoiriens et Américains dirigé par Mamadi Diané et qui se compose de Madame Toungara Madox, une intrigante gueusaillant à longueur de journée à travers tous les bureaux de décision américains à Washington. Ibrahim Kéita, un fringuant frimeur habitué aux faillites dans les affaires qui sous le couvert de Comstar approvisionnait les rebelles libériens de la Lima en armes et en argent et Sidia Touré, candidat à l’élection présidentielle en Guinée, ayant un goût spécialement prononcé pour le luxe et le lucre, que les dignes Guinéens ont vite fait de congédier sans appel et le renvoyer à ce qu’il sait faire de mieux, les basses besognes.
Ce quatuor de « nasty and dirty duty » ont juré d’avoir la peau de l’empêcheur de tourner en rond, Laurent Gbagbo. Ils poussent les Américains et les Français à mettre le pays à sang et à feu, oubliant souvent qu’ils ont pour chacun, en ce qui les concerne des ramifications familiales bien connues dans ce même pays. Qu’ils allument le brasier, ils verront bien si le feu fera le tri. Le Peuple ivoirien qui a un regard admiratif pour le combat des Américains pour la liberté, ose croire encore qu’au nom de cette Histoire modèle de lutte universelle, la Grande Amérique saura se ressaisir.
Que Dieu garde la Côte d’Ivoire.
Ange Marie Ibo Djêgba
Hélas en moins d’un mandat, juste à la moitié de ce tout premier mandat, les Africains se demandent si vraiment Barack Obama était l’homme de la situation. Au Belliqueux Président Bush, l’Afrique restera toujours reconnaissante pour son engagement financier sans faille dans la lutte contre le paludisme. Obama aujourd’hui, nous a simplement réconfortés par ses dires sans plus. Un discours en tient lieu :
Son premier discours en tant que Président des Usa devant le congrès ghanéen à Accra au cours duquel, il affirmait sans ambages :
« Je ne considère … pas les pays et les Peuples d’Afrique comme un monde à part, je considère l’Afrique comme une partie fondamentale de notre monde interconnecté, comme un partenaire des Etats-Unis en faveur de l’avenir que nous souhaitons pour tous nos enfants. Ce partenariat doit se fonder sur la responsabilité mutuelle et sur le respect mutuel; c’est ce dont je tiens à vous parler aujourd’hui.
Nous devons parler du principe qu’il revient aux Africains de décider de l’avenir de l’Afrique… Comme je l’ai dit au Caire, chaque Nation façonne la démocratie à sa manière, conformément à ses traditions… Personne ne veut vivre dans une société où la règle de droit cède la place à la loi du plus fort. Les Ghanéens ont à maintes reprises préféré le droit constitutionnel à l’autocratie. Alors ne vous y trompez pas, l’histoire est du côté de ces courageux Africains et non de ceux qui se servent des coups d’Etat ou qui modifient les Constitutions pour rester au pouvoir. L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais de fortes Institutions. L’Amérique ne cherchera pas à imposer un système quelconque de gouvernement à aucune autre Nation.
La vérité essentielle de la démocratie est que chaque Nation détermine elle- même son destin ». D’où vient alors aujourd’hui, Monsieur le Président après de si fortes paroles, un si fort engagement, une si forte conviction et une digne foi au destin des peuples à disposer de leur avenir, d’où vient aujourd’hui, disons-nous M. Obama que vous accepteriez d’être le bras séculier d’un Président français en proie à une contestation d’autorité intérieure qu’aucun Président sous la 5e République française n’a connue ?
Que l’Amérique dont vous êtes constitutionnellement, représentant légal face au monde, vous le constitutionnaliste représentant légal prenne fait et cause pour une bande de copains et de coquins qui lorgnent vers le vol de nos richesses ? Demain, l’histoire sera impardonnable si l’Amérique devient le bras séculier de la France pour perpétrer une forfaiture qui n’aura d’égale dans ce 21e siècle qui s’annonce sous des auspices de prise en main des peuples de leur propre destin.
La France des intrigues et des coups tordus ne doit pas quels que soient les intérêts éclabousser, ternir l’image de la grande Amérique en lui demandant de commettre la forfaiture la plus ignoble. Mille générations vous regardent, mille générations vous jugeront pour avoir renié vos convictions profondes si par extraordinaire, vous acceptiez de commettre ce crime. Dieu et l’Amérique, celle de Georges Washington, celle d’Abraham Lincoln, celle, de Martin Luther King… vous regardent :
On vous prête l’intention selon les dires de votre « nouveau partenaire », la France en Afrique, le coup de Noriega contre Gbagbo : L’enlever et le remplacer par Ouattara. A moins que vous ne fassiez de la Côte d’Ivoire, le Chili de Pinochet, Ouattara face à la détermination du peuple ivoirien ne règnera pas ici. Même si la France mettait devant chaque maison, chaque bureau, chaque case, un soldat français, et Ouattara entouré d’un million de mercenaires, il ne gouvernera pas ce pays qu’il a incendié, pillé, violé, tué, assassiné, éventré. Ce pays dont il aura sur la conscience toute sa vie, les milliers de morts, d’orphelins, de veuves… Car Dieu le créateur, Grand Maitre de l’Univers aura toujours une main bienveillante sur ce pays et son peuple dont le crime est de vouloir vivre en paix.
M. Obama, ça se dit dans tous les foyers, les amis de Ouattara servent de relais pour ces rumeurs inédites que vous auriez, une centaine de «Marines» logés à votre Ambassade, prêts à attenter à l’intégrité physique du chef de l’Etat ou à l’enlever. Ça se dit, dans l’enclave fantoche du Golf Hôtel que vous auriez basé au 43e Bima, sous contrôle de la Licorne 30 GI’S (noirs et blancs), en mettant à leur dispositions une vanne grise- marron et une camionnette de transport de troupes (cabine blanche et arrière bâche bleue) ; cette dernière changerait d’immatriculation, (tantôt immatriculation ambassade américaine, tantôt immatriculation ivoirienne) pour les besoins de la cause.
Ces « GI’S » travailleraient avec les Forces Licorne en cas d’intervention contre le pouvoir ivoirien. Les Français n’étant pas sûrs de leur fait, ils aideraient à opérer pour la réussite de leur sale besogne. Ça se dit au Golf Hôtel et dans les foyers proches de Ouattara, que vos marines au cours de l’opération patouilleront à bord des chars Onuci et Licorne pour s’attaquer au cortège présidentiel sur des itinéraires habituels.
Ça se dit, qu’un groupe d’entre eux serait posté sur un immeuble inachevé (siège local du Qg de Ouattara au rond-point du carrefour Solibra sur le Boulevard Vge) pour tirer sur le cortège présidentiel si l’opportunité se présentait. Tout ceci se situerait entre le 26 décembre 2010 et 2 janvier 2011. Ils seraient avec des barbouzes noirs. Enfin, ça se dit toujours à l’enclave fantoche du Golf Hôtel, que la coordination de toutes ces opérations serait menée par un homme de terrain, un Lieutenant de la Police nationale du nom de Ouattara Mamadou détaché à l’Ambassade des Usa à Abidjan depuis plus de 10 ans. Ça se dit, ça se dit, et ça finit par se savoir, vrai ou faux ? Mais enfin, les Ivoiriens espèrent que Barack Obama et l’Amérique ne se prêteront pas à ce jeu. Le peuple ivoirien a fini par savoir que le gouvernement américain est intoxiqué par une bande de ripoux dont la finalité dans la vie se résume en monnaie trébuchante et sonnante, et à qui Ouattara a promis monts et cieux.
Un quatuor de pseudo- Ivoiriens et Américains dirigé par Mamadi Diané et qui se compose de Madame Toungara Madox, une intrigante gueusaillant à longueur de journée à travers tous les bureaux de décision américains à Washington. Ibrahim Kéita, un fringuant frimeur habitué aux faillites dans les affaires qui sous le couvert de Comstar approvisionnait les rebelles libériens de la Lima en armes et en argent et Sidia Touré, candidat à l’élection présidentielle en Guinée, ayant un goût spécialement prononcé pour le luxe et le lucre, que les dignes Guinéens ont vite fait de congédier sans appel et le renvoyer à ce qu’il sait faire de mieux, les basses besognes.
Ce quatuor de « nasty and dirty duty » ont juré d’avoir la peau de l’empêcheur de tourner en rond, Laurent Gbagbo. Ils poussent les Américains et les Français à mettre le pays à sang et à feu, oubliant souvent qu’ils ont pour chacun, en ce qui les concerne des ramifications familiales bien connues dans ce même pays. Qu’ils allument le brasier, ils verront bien si le feu fera le tri. Le Peuple ivoirien qui a un regard admiratif pour le combat des Américains pour la liberté, ose croire encore qu’au nom de cette Histoire modèle de lutte universelle, la Grande Amérique saura se ressaisir.
Que Dieu garde la Côte d’Ivoire.
Ange Marie Ibo Djêgba