Plusieurs centaines de chrétiennes, affichant
clairement ou plus discrètement un soutien à Laurent Gbagbo, se sont
rassemblées lundi à Abidjan pour prier pour la paix en Côte d`Ivoire, plongée
dans une grave crise depuis un mois, a constaté l`AFP.
"Au nom de Jésus!", "Nous sommes tes enfants, nous te supplions, aie pitié
de nous!", entendait-on dans la foule, où figuraient quelques hommes,
rassemblée Place de la République, une des plus grandes de la capitale
économique.
"Nous sommes là pour la repentance de la Côte d`Ivoire, pour que les
enfants de la Côte d`Ivoire puissent se réconcilier", a déclaré à l`AFP
Hortense Koladé, présidente de l`Association des femmes chrétiennes de Côte
d`Ivoire, à l`origine de ce rassemblement.
"La guerre, ce n`est pas ça la solution. (...) C`est Dieu qui est la
solution de toutes choses", a dit Mme Koladé, visage couvert de cendres et
portant par-dessus ses vêtements un sac de jute, comme beaucoup, en signe
d`"humilité".
"Toutes ces Ivoiriennes qui sont là, c`est pour la Côte d`Ivoire qu`elles
sont là, c`est pour le président Gbagbo qu`elles sont là!", a affirmé l`une de
ces chrétiennes, Christine Brissi.
"La situation actuelle, c`est la faute de la Cédéao, de la communauté
internationale, de l`ONU, de l`UE (Union européenne) qui ne veulent pas
laisser celui qui a gagné les élections normalement et qui a été élu
constitutionnellement", a-t-elle martelé.
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) a menacé
Laurent Gbagbo, proclamé président par le Conseil constitutionnel à l`issue du
scrutin du 28 novembre, de recourir à la force s`il ne quitte pas le pouvoir.
Trois chefs d`Etat ouest-africains doivent lui demander mardi à Abidjan de
se retirer au profit d`Alassane Ouattara, reconnu président par l`immense
majorité de la communauté internationale.
clairement ou plus discrètement un soutien à Laurent Gbagbo, se sont
rassemblées lundi à Abidjan pour prier pour la paix en Côte d`Ivoire, plongée
dans une grave crise depuis un mois, a constaté l`AFP.
"Au nom de Jésus!", "Nous sommes tes enfants, nous te supplions, aie pitié
de nous!", entendait-on dans la foule, où figuraient quelques hommes,
rassemblée Place de la République, une des plus grandes de la capitale
économique.
"Nous sommes là pour la repentance de la Côte d`Ivoire, pour que les
enfants de la Côte d`Ivoire puissent se réconcilier", a déclaré à l`AFP
Hortense Koladé, présidente de l`Association des femmes chrétiennes de Côte
d`Ivoire, à l`origine de ce rassemblement.
"La guerre, ce n`est pas ça la solution. (...) C`est Dieu qui est la
solution de toutes choses", a dit Mme Koladé, visage couvert de cendres et
portant par-dessus ses vêtements un sac de jute, comme beaucoup, en signe
d`"humilité".
"Toutes ces Ivoiriennes qui sont là, c`est pour la Côte d`Ivoire qu`elles
sont là, c`est pour le président Gbagbo qu`elles sont là!", a affirmé l`une de
ces chrétiennes, Christine Brissi.
"La situation actuelle, c`est la faute de la Cédéao, de la communauté
internationale, de l`ONU, de l`UE (Union européenne) qui ne veulent pas
laisser celui qui a gagné les élections normalement et qui a été élu
constitutionnellement", a-t-elle martelé.
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) a menacé
Laurent Gbagbo, proclamé président par le Conseil constitutionnel à l`issue du
scrutin du 28 novembre, de recourir à la force s`il ne quitte pas le pouvoir.
Trois chefs d`Etat ouest-africains doivent lui demander mardi à Abidjan de
se retirer au profit d`Alassane Ouattara, reconnu président par l`immense
majorité de la communauté internationale.