Les trois chefs d`Etat ouest-africains envoyés à Abidjan pour demander à Laurent Gbagbo de quitter le pouvoir, ont entamé mardi leur entretien avec lui peu avant 14H00 (GMT et locales) au palais présidentiel, a constaté un journaliste de l`AFP.
Les présidents béninois Boni Yayi, sierra-léonais Ernest Koroma et capverdien Pedro Pires, sont arrivés dans des voitures séparées qui se suivaient au palais présidentiel du Plateau, quartier administratif d`Abidjan.
Laurent Gbagbo les attendait à la sortie de leurs véhicules et a donné l`accolade à chacun d`eux, avant de les faire entrer dans un salon de la présidence.
Les trois émissaires venaient de rencontrer Choï Young-jin, patron de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci, 9.000 hommes), dans un grand hôtel de la capitale économique ivoirienne.
A l`issue de leur entretien avec M. Gbagbo, ils doivent aller rencontrer son rival Alassane Ouattara dans l`hôtel qui lui sert de quartier général.
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) a envoyé ces trois dirigeants comme "dernier geste" pour obtenir le retrait de M. Gbagbo au profit d`Alassane Ouattara, reconnu président par une immense partie de la communauté internationale.
L`organisation régionale a menacé le président sortant de recourir à la "force légitime" s`il ne cédait pas à cette injonction.
Les présidents béninois Boni Yayi, sierra-léonais Ernest Koroma et capverdien Pedro Pires, sont arrivés dans des voitures séparées qui se suivaient au palais présidentiel du Plateau, quartier administratif d`Abidjan.
Laurent Gbagbo les attendait à la sortie de leurs véhicules et a donné l`accolade à chacun d`eux, avant de les faire entrer dans un salon de la présidence.
Les trois émissaires venaient de rencontrer Choï Young-jin, patron de l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci, 9.000 hommes), dans un grand hôtel de la capitale économique ivoirienne.
A l`issue de leur entretien avec M. Gbagbo, ils doivent aller rencontrer son rival Alassane Ouattara dans l`hôtel qui lui sert de quartier général.
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) a envoyé ces trois dirigeants comme "dernier geste" pour obtenir le retrait de M. Gbagbo au profit d`Alassane Ouattara, reconnu président par une immense partie de la communauté internationale.
L`organisation régionale a menacé le président sortant de recourir à la "force légitime" s`il ne cédait pas à cette injonction.