L'opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) est une opération de maintien de la paix créée en
2004 par la résolution 1528 du Conseil de sécurité qui prévoit entre autres mesures le recours à la force en cas de menace contre la paix.
La force est actuellement composée de 9.105 hommes et femmes représentant 42 pays. Les principaux contingents proviennent du Bangladesh, Bénin, France, Ghana, Jordanie, Maroc, Niger, Pakistan, Sénégal et Togo. Il y a 7.576 troupes, 193 observateurs militaires et 1.336 policiers.
S'y ajoutent 500 hommes provenant de la mission au Libéria voisin (Unmil) déployés depuis quelques semaines, avant l'élection présidentielle, en renfort temporaire.
La force est répartie sur l'ensemble du territoire ivoirien et est commandée par un état-major central à Abidjan.
La majeure partie de la force militaire de l'Onuci se compose d'unités de maintien de la paix chargées de la sécurité de la population.
Le rôle de l'Onuci, dont M. Gbagbo a demandé le départ et dont un convoi a été attaqué mardi, est de prévenir la reprise de la belligérance en empêchant toute action armée hostile, de contribuer à la sécurité des personnes, des installations et des équipements des Nations unies en Côte d'Ivoire.
Il est aussi de participer à la sécurisation des personnes et des biens sur l'ensemble du territoire ivoirien et en particulier pourvoir à la protection des personnes en danger immédiat.
L'Onuci, dont le déploiement en Côte d'Ivoire a débuté le 4 avril 2004, s'est également vu confier les missions suivantes:
- observer et surveiller l'application de l'accord de cessez-le-feu global du 3 mai 2003 et de la déclaration conjointe de la fin de la guerre civile en date du 6 avril 2005.
- aider le gouvernement ivoirien à surveiller les frontières et à la réconciliation nationale.
Avec l'épreuve de force actuelle entre les deux présidents proclamés, le président-élu Alassane Ouattara et le président sortant Laurent Gbagbo, le mandat de l'Onuci n'a pas changé.
Il consiste à la protection des civils et des acteurs politiques clés du pays.
S'ajoutait à ces missions une mission spéciale de certification des résultats de l'élection présidentielle du 28 novembre en Côte d'Ivoire qui avait été confiée au représentant spécial de l'Onuci Choi Young-Jin et qui a été accomplie.
M. Choi avait certifié la victoire de M. Ouattara.
2004 par la résolution 1528 du Conseil de sécurité qui prévoit entre autres mesures le recours à la force en cas de menace contre la paix.
La force est actuellement composée de 9.105 hommes et femmes représentant 42 pays. Les principaux contingents proviennent du Bangladesh, Bénin, France, Ghana, Jordanie, Maroc, Niger, Pakistan, Sénégal et Togo. Il y a 7.576 troupes, 193 observateurs militaires et 1.336 policiers.
S'y ajoutent 500 hommes provenant de la mission au Libéria voisin (Unmil) déployés depuis quelques semaines, avant l'élection présidentielle, en renfort temporaire.
La force est répartie sur l'ensemble du territoire ivoirien et est commandée par un état-major central à Abidjan.
La majeure partie de la force militaire de l'Onuci se compose d'unités de maintien de la paix chargées de la sécurité de la population.
Le rôle de l'Onuci, dont M. Gbagbo a demandé le départ et dont un convoi a été attaqué mardi, est de prévenir la reprise de la belligérance en empêchant toute action armée hostile, de contribuer à la sécurité des personnes, des installations et des équipements des Nations unies en Côte d'Ivoire.
Il est aussi de participer à la sécurisation des personnes et des biens sur l'ensemble du territoire ivoirien et en particulier pourvoir à la protection des personnes en danger immédiat.
L'Onuci, dont le déploiement en Côte d'Ivoire a débuté le 4 avril 2004, s'est également vu confier les missions suivantes:
- observer et surveiller l'application de l'accord de cessez-le-feu global du 3 mai 2003 et de la déclaration conjointe de la fin de la guerre civile en date du 6 avril 2005.
- aider le gouvernement ivoirien à surveiller les frontières et à la réconciliation nationale.
Avec l'épreuve de force actuelle entre les deux présidents proclamés, le président-élu Alassane Ouattara et le président sortant Laurent Gbagbo, le mandat de l'Onuci n'a pas changé.
Il consiste à la protection des civils et des acteurs politiques clés du pays.
S'ajoutait à ces missions une mission spéciale de certification des résultats de l'élection présidentielle du 28 novembre en Côte d'Ivoire qui avait été confiée au représentant spécial de l'Onuci Choi Young-Jin et qui a été accomplie.
M. Choi avait certifié la victoire de M. Ouattara.
