Il n’a pas sa langue dans sa poche et ne manque pas, dès que l’occasion se présente, d’asséner ses vérités. Présent en ce moment au Sénégal dans le cadre du 3ème Festival mondial des arts nègres, Alpha Blondy a encore une fois interpellé la classe politique ivoirienne.
En concert, samedi, dans la deuxième ville du pays, précisément Saint-Louis, à quelques 400 kilomètres de Dakar, Jagger a invité, Laurent Gbagbo à se plier au verdict des urnes. Lui, qui, avant le scrutin présidentiel, clamait haut et fort être pour le président sortant. « Mon candidat a perdu. Donc, pour moi le vainqueur de la présidentielle, c’est Alassane Dramane Ouattara », a martelé le chanteur aux dreadlocks.
Ensuite, l’artiste, qui est aussi ambassadeur de la Cedeao (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest), a invité le président élu à « tendre la main à M. Gbagbo », car, a fait remarquer la reggae star, « il est l’otage de ceux qui sont autour de lui. Durant ces dix dernières années, ils n’ont fait que salir le nom de Gbagbo ». De même, « Jagger » a appelé le président sortant à la raison parce que « la raison doit prendre le dessus sur les intérêts personnels».
Y. Sangaré, à Dakar
En concert, samedi, dans la deuxième ville du pays, précisément Saint-Louis, à quelques 400 kilomètres de Dakar, Jagger a invité, Laurent Gbagbo à se plier au verdict des urnes. Lui, qui, avant le scrutin présidentiel, clamait haut et fort être pour le président sortant. « Mon candidat a perdu. Donc, pour moi le vainqueur de la présidentielle, c’est Alassane Dramane Ouattara », a martelé le chanteur aux dreadlocks.
Ensuite, l’artiste, qui est aussi ambassadeur de la Cedeao (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest), a invité le président élu à « tendre la main à M. Gbagbo », car, a fait remarquer la reggae star, « il est l’otage de ceux qui sont autour de lui. Durant ces dix dernières années, ils n’ont fait que salir le nom de Gbagbo ». De même, « Jagger » a appelé le président sortant à la raison parce que « la raison doit prendre le dessus sur les intérêts personnels».
Y. Sangaré, à Dakar