«En 2010, les pays africains ont adopté plusieurs instruments pour réduire l’impact de la crise, notamment des mesures de relance budgétaire, l’assouplissement de la politique monétaire, l’assistance sectorielle ciblée, le contrôle des flux de capitaux et de nouvelles réglementations dans le secteur bancaire», a indiqué Léonce Ndikumana, directeur du département de la recherche pour le développement de la Banque africaine de développement (Bad). En outre, de nombreux pays ont pu puiser dans leurs réserves pour atténuer le choc, ayant accru leurs dépenses publiques principalement dans le domaine des infrastructures.
Économie Publié le jeudi 30 décembre 2010 | Nord-Sud