De notre envoyé spécial à Abidjan
Abidjan a commencé l'année dans un silence inquiétant. Dimanche est normalement ici un jour très animé, où les Ivoiriens font leurs courses pour la semaine. Or, ce wee-end, les rues de la capitale étaient pratiquement désertes, car les gens avaient préféré ne pas sortir de chez eux.
Dans le quartier de Cocody, on circulait avec une facilité déconcertante. Pas le moindre «patriote» (jeune militant pro-Gbagbo) n'était présent aux barrages qui avaient été dressés la semaine dernière à l'appel du «général de la rue» Charles Blé Goudé, pour faire obstacle à la marche des partisans d' Alassane Ouattara vers le siège de la RTI (radio télévision ivoirienne).
Constitués de cabines téléphoniques renversées et de... suite de l'article sur Le Figaro
Abidjan a commencé l'année dans un silence inquiétant. Dimanche est normalement ici un jour très animé, où les Ivoiriens font leurs courses pour la semaine. Or, ce wee-end, les rues de la capitale étaient pratiquement désertes, car les gens avaient préféré ne pas sortir de chez eux.
Dans le quartier de Cocody, on circulait avec une facilité déconcertante. Pas le moindre «patriote» (jeune militant pro-Gbagbo) n'était présent aux barrages qui avaient été dressés la semaine dernière à l'appel du «général de la rue» Charles Blé Goudé, pour faire obstacle à la marche des partisans d' Alassane Ouattara vers le siège de la RTI (radio télévision ivoirienne).
Constitués de cabines téléphoniques renversées et de... suite de l'article sur Le Figaro