Le médiateur de l`Union africaine, le Premier ministre kényan Raila Odinga, est arrivé lundi matin à Abidjan, où il va tenter avec trois émissaires ouest-africains d`obtenir le départ de Laurent Gbagbo de la présidence ivoirienne, a constaté un photographe de l`AFP.
M. Odinga a été accueilli vers O9H00 (locales et GMT) à l`aéroport
d`Abidjan par le Premier ministre de M. Gbagbo, Aké N`Gbo, et son ministre des
Affaires étrangères Alcide Djédjé.
Sont également attendus dans la matinée les présidents Boni Yayi (Bénin),
Ernest Koroma (Sierra Leone) et Pedro Pires (Cap-Vert), mandatés par la
Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao), près d`une
semaine après une première mission infructueuse.
Les quatre médiateurs doivent rencontrer M. Gbagbo et son rival Alassane
Ouattara, reconnu par la communauté internationale comme le président légitime
à l`issue de l`élection du 28 novembre.
La Sierra Leone a rappelé lundi que la Cédéao entendait obtenir le départ
du président sortant et averti que cela ne ferait l`objet d`"aucun compromis",
la discussion ne devant porter que sur les conditions pour "faciliter" son
retrait.
L`organisation régionale a brandi la menace d`une opération militaire si
elle n`obtient pas satisfaction.
M. Odinga a été accueilli vers O9H00 (locales et GMT) à l`aéroport
d`Abidjan par le Premier ministre de M. Gbagbo, Aké N`Gbo, et son ministre des
Affaires étrangères Alcide Djédjé.
Sont également attendus dans la matinée les présidents Boni Yayi (Bénin),
Ernest Koroma (Sierra Leone) et Pedro Pires (Cap-Vert), mandatés par la
Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao), près d`une
semaine après une première mission infructueuse.
Les quatre médiateurs doivent rencontrer M. Gbagbo et son rival Alassane
Ouattara, reconnu par la communauté internationale comme le président légitime
à l`issue de l`élection du 28 novembre.
La Sierra Leone a rappelé lundi que la Cédéao entendait obtenir le départ
du président sortant et averti que cela ne ferait l`objet d`"aucun compromis",
la discussion ne devant porter que sur les conditions pour "faciliter" son
retrait.
L`organisation régionale a brandi la menace d`une opération militaire si
elle n`obtient pas satisfaction.