La prévarication des biens publics. C’est ce à quoi Laurent et Simone Gbagbo, l’ancien couple présidentiel de Côte d’Ivoire, s’est adonné pendant les dix années de pouvoir. De l’avis de tous, cette manne étant le fruit du travail abattu par les Ivoiriens, sous le soleil, la pluie et le vent, il serait intolérable que Gbagbo et son épouse en jouissent seuls aussi facilement. Le Président de la République, Alassane Ouattara, rompu à la gestion idoine de la chose publique doit, inévitablement, saisir ces comptes et reverser cet argent, soutiré indument aux Ivoiriens, dans le circuit monétaire de la Côte d’Ivoire. Laurent et Simone Gbagbo sont, en ce moment même, dans le peloton de tête des multi- milliardaires du régime de la refondation en instance de poursuite devant la Cour pénale Internationale (CPI). Ils sont également sous sanctions de l’Union européenne qui les interdit de voyage dans son espace et a gelé leurs avoirs. Bien avant Gbagbo et Simone, les dictateurs et autres satrapes qui ont plongé leur pays dans des guerres fratricides sont tous traînés devant les tribunaux internationaux avec pour conséquence, la saisie de leurs biens et avoirs. C’est le cas de l’ancien président libérien, Charles Taylor cadenassé, à ce jour, à la prison du Tribunal Pénal International (TPI) à la Haye. Toute la fortune amassée par ce dernier a été mise sous séquestre. Comme lui, tous les acteurs du génocide rwandais, à quelque niveau qu’ils soient, subissent aujourd’hui la rigueur de la loi. Des mesures de rétorsion sont prises à leur encontre pour les punir des crimes de sang et des crimes économiques qu’ils ont fait subir à leurs concitoyens.
Les Ivoiriens s’appauvrissent, Laurent et Simone s’enrichissent
Laurent Gbagbo qui raconte, sur tous les toits, qu’il n’a pas un seul kopek dans une banque hors de la Côte d’Ivoire, vient ainsi d’être pris la main dans le sac. Lui et sa femme, avec la découverte de cette somme faramineuse, viennent de commettre un crime économique qui vient allonger la liste déjà longue des crimes de sang qu’ils font subir aux Ivoiriens, depuis dix ans. L’ancien socialiste qu’il est, Laurent Gbagbo disait quelques années seulement après son arrivée au palais présidentiel : « Avant, on n’avait rien. Aujourd’hui on a un peu – l’argent s’entend-». Des sources confirment même que Laurent Gbagbo est entré au palais avec soixante quinze mille francs (75 mille F Cfa) en poche».
Le président de la République, Alassane Ouattara, lors de son message à la nation, la semaine dernière, le disait : « la vérité finira par rattraper le mensonge». La vérité aujourd’hui est que Gbagbo et Simone qui disent aimer la Côte d’Ivoire, ont pris pour prétexte « la guerre » pour s’en mettre plein les poches. Il est donc temps que cette manne soit saisie et rétrocédée à la Côte d’Ivoire qui croule sous le poids de la misère, par la faute de Gbagbo, Simone et leur clan.
Jean- Antoine Doudou
Les Ivoiriens s’appauvrissent, Laurent et Simone s’enrichissent
Laurent Gbagbo qui raconte, sur tous les toits, qu’il n’a pas un seul kopek dans une banque hors de la Côte d’Ivoire, vient ainsi d’être pris la main dans le sac. Lui et sa femme, avec la découverte de cette somme faramineuse, viennent de commettre un crime économique qui vient allonger la liste déjà longue des crimes de sang qu’ils font subir aux Ivoiriens, depuis dix ans. L’ancien socialiste qu’il est, Laurent Gbagbo disait quelques années seulement après son arrivée au palais présidentiel : « Avant, on n’avait rien. Aujourd’hui on a un peu – l’argent s’entend-». Des sources confirment même que Laurent Gbagbo est entré au palais avec soixante quinze mille francs (75 mille F Cfa) en poche».
Le président de la République, Alassane Ouattara, lors de son message à la nation, la semaine dernière, le disait : « la vérité finira par rattraper le mensonge». La vérité aujourd’hui est que Gbagbo et Simone qui disent aimer la Côte d’Ivoire, ont pris pour prétexte « la guerre » pour s’en mettre plein les poches. Il est donc temps que cette manne soit saisie et rétrocédée à la Côte d’Ivoire qui croule sous le poids de la misère, par la faute de Gbagbo, Simone et leur clan.
Jean- Antoine Doudou