Il est honteusement triste pour le candidat malheureux du second tour de la présidentielle du 28 novembre dernier. Laurent Gbagbo ne vaut et ne pèse, en réalité, plus rien sur l’ échiquier politique national et international. Visiblement, le chef des frontistes affaibli et reclus dans son palais de Cocody qu’ il occupe illicitement depuis son revers dans les urnes, se dresse
bassement aujourd’ hui aux yeux de tous comme une coquille vide, de la pacotille sans réelle valeur de sou. Cela ne pouvait être autrement quand on a perdu la légitimité et la crédibilité que confèrent les urnes dans le jeu démocratique. Manifestement isolé, Laurent Gbagbo tente de se donner de la contenance. Il ergote et s’ époumone illusoirement à faire croire qu’ il est
l’ homme fort du pays. Durant plus d’ une semaine, lui et les siens ont crié sur tous les toits pour demander le départ de la mission des Nations Unies présente en Côte d’ Ivoire. Rien n’y fit. Ce sont les ambassadeurs du Canada et de la Grande-Bretagne qui frileusement et lâchement sont sommés par Laurent Gbagbo et ses séides de quitter le territoire ivoirien.
Annoncée sur les antennes de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) l’ expulsion des diplomates du Canada et de la Grande-Bretagne n’ est en réalité aux yeux de ces grandes chancelleries que de la pure farce et de la rêverie de petits hommes sans scrupules qui tentent de s’ accrocher aux lambris dorés d’ un pouvoir qu’ ils ont perdu. Comme réponse du berger à la bergère, le Canada et la Grande-Bretagne par la voix de leur ministère des Affaires étrangères ont affiché un refus polis à l’ exigence saugrenue de Laurent Gbagbo, en soulignant n`avoir reçu aucune requête du gouvernement du président Alassane Ouattara
à ce sujet. Mieux, pour La Grande Bretagne qui affirme clairement ne pas reconnaître le gouvernement de Laurent Gbagbo, «la requête d`expulsion de notre ambassadeur en Côte d`Ivoire estinopérante ».
Il est temps que le rideau tombe, comme l’ a dit le président de la République, Alassane Ouattara sur la pièce ridicule que jouent depuis d’ un mois sur les antennes de la RTI, Laurent Gbagbo et ses affidés.
Moussa Keita
bassement aujourd’ hui aux yeux de tous comme une coquille vide, de la pacotille sans réelle valeur de sou. Cela ne pouvait être autrement quand on a perdu la légitimité et la crédibilité que confèrent les urnes dans le jeu démocratique. Manifestement isolé, Laurent Gbagbo tente de se donner de la contenance. Il ergote et s’ époumone illusoirement à faire croire qu’ il est
l’ homme fort du pays. Durant plus d’ une semaine, lui et les siens ont crié sur tous les toits pour demander le départ de la mission des Nations Unies présente en Côte d’ Ivoire. Rien n’y fit. Ce sont les ambassadeurs du Canada et de la Grande-Bretagne qui frileusement et lâchement sont sommés par Laurent Gbagbo et ses séides de quitter le territoire ivoirien.
Annoncée sur les antennes de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) l’ expulsion des diplomates du Canada et de la Grande-Bretagne n’ est en réalité aux yeux de ces grandes chancelleries que de la pure farce et de la rêverie de petits hommes sans scrupules qui tentent de s’ accrocher aux lambris dorés d’ un pouvoir qu’ ils ont perdu. Comme réponse du berger à la bergère, le Canada et la Grande-Bretagne par la voix de leur ministère des Affaires étrangères ont affiché un refus polis à l’ exigence saugrenue de Laurent Gbagbo, en soulignant n`avoir reçu aucune requête du gouvernement du président Alassane Ouattara
à ce sujet. Mieux, pour La Grande Bretagne qui affirme clairement ne pas reconnaître le gouvernement de Laurent Gbagbo, «la requête d`expulsion de notre ambassadeur en Côte d`Ivoire estinopérante ».
Il est temps que le rideau tombe, comme l’ a dit le président de la République, Alassane Ouattara sur la pièce ridicule que jouent depuis d’ un mois sur les antennes de la RTI, Laurent Gbagbo et ses affidés.
Moussa Keita