La semaine dernière, Ouattara a fait à partir de sa cage du Golf Hôtel, des déclarations ubuesques dignes des dogues aboyeurs. Certes, il est vrai que la vie dans ce cagibi de circonstance, n’est pas du tout facile. Il faut vraiment se donner de la contenance pour ne pas verser dans la paranoïa.
En effet, sur ses chaînes extérieures, Ouattara, peut-être à la demande de ses copains de la communauté internationale s’est senti pousser des ailes qui l’ont conduit à donner trois jours au Président de la République Laurent Gbagbo pour déguerpir des lieux ; ou encore menaçait d’emprisonnement suite à son mot d’ordre de ville morte, tout fonctionnaire qui prendrait les chemins des bureaux… et je ne sais quels autres sornettes. Ou mieux encore, je paierais les salaires du mois de janvier 2011…
Comme le dit l’adage, il n’y a pas de fumée sans feu. Celui qui paraissait avoir mangé de la viande de cheval ces jours-ci, compte sur un nouveau plan d’attaque d’Abidjan qui se situerait entre le 10 et le 22 janvier 2011.
Planifiée dans le secret presque parfait, l’affaire a fini par s’éventer. C’est un scénario ubuesque qui dénote de la paranoïa qui s’est emparé des uns et des autres au Golf, ces jours-ci. Il ne se passe pas une heure sans que n’éclate de la violence verbale voire physique entre les cohabitants.
Quand nous avions écrit que Ouattara s’essayait au cinéma, nous n’avions pas tort. Aux dernières nouvelles, ses copains se sont convertis en scénaristes patentés.
Premièrement : Bouaké
Ils ont entrepris depuis quelques jours à Bouaké de peindre en vert olive (couleur de l’Arsenal de guerre des Fds) des chars Onuci afin d’appuyer leur prochaine attaque. Ceci, pour dire que c’est une partie des blindés de l’armée qui aurait fait scission avec les Fds et, solidaire avec Ouattara entreprendrait de renverser Laurent Gbagbo.
Toujours à Bouaké, des éléments de la Licorne entraînent durement des rebelles de Chérif Ousmane et des mercenaires burkinabé recrutés par Ouattara.
Deuxièmement : Abidjan
Ces commandos super entrainés seront évacués sur Abidjan grâce à la logistique onusienne.
Mission : s’attaquer à la Bae, à la G-R, à la Marine, à la Maca et au 3e bataillon d’Anyama. Ils viendraient en renfort à des éléments rebelles et mercenaires déjà prépositionnés à Yopougon, Port-Bouët II, N’Dotré, Abobo et Anyama.
Quand tous ces éléments rentreront en action et que la population ripostera en groupes d’auto-défense, alors les 2000 soldats onusiens venus en renfort seront chargés de la répression des foules. Quant à l’attaque de la prison civile, elle se fera en deux phases :
La première phase débutera par une révolte interne à la prison, où en plus des vrais prisonniers, des assaillants ont été introduits subrepticement en nombre conséquent par des membres de la Direction de la prison, sur laquelle d’ailleurs pèsent de forts soupçons de complicité depuis quelques mois. Ils auraient même permis dit-on, l’acheminement d’armements venus de l’extérieur moyennant de fortes sommes d’argent.
Dès ce signal, la deuxième phase consisterait à l’attaque des éléments des Fds positionnés à l’extérieur pour la défense et la sécurité des lieux. Cette phase sera perpétrée par des assaillants déjà localisés à N’Dotré.
Troisièmement : Le Banco
Les Assaillants rebelles et mercenaires attaqueraient ces jours-ci le casernement des eaux et forêts basé dans la forêt du Banco pour s’emparer de leur armement. Ils seront aidés par des jeunes du Rhdp qui ont fait ces dernières semaines plusieurs virées de reconnaissance dans la fôret. C’est un environnement qu’ils maîtrisent assez bien puisque la plupart d’entre eux font partie de la pègre abidjanaise qui y avait élu domicile pendant un certain temps.
Quatrièmement : l’Hôtel Pergola
Selon des sources concordantes du voisinage de cet hôtel, anciennement base de l’Onuci, environ 150 mercenaires de diverses nationalités : burkinabè, béninois et togolais… y séjourneraient, attendant l’heure fatidique. Ils seraient encadrés par des éléments Onuci.
Enfin, trois informations de dernières minutes nous sont parvenues selon des sources concordantes proches des chancelleries:
1/ Grand-Bassam : Une compagnie de commandos aurait été transportée à Grand-Bassam et dotée d’un arsenal de guerre conséquent fourni par la Licorne. Selon toute vraisemblance, en cas d’attaque contre les Fds qui riposteront à coup sûr, le lieu choisi servirait de refuge à Ouattara en attendant sa fuite probable dans un des pays parrain. Voici le schéma d’évacuation : Ouattara sortira par la voie fluviale (lagunaire) du Golf à Vitib près de l’évêché à Bassam. En effet, à partir du Golf Hôtel avec un Zodiac en suivant la lagune Ebrié, on aboutit au Vitib en quelques minutes. Comme quoi, Ouattara n’est pas si sûr de son affaire puisqu’il prévoit une plate-forme d’évacuation au cas où…, on ne sait jamais.
2/ Résidence de l’Ambassadeur de France. Située à quelques encablures de la résidence du Président de la République, la résidence de l’Ambassadeur de France a toujours servi de refuge à Ouattara, chaque fois que le pyromane finit de foutre le feu au pays. Cette fois-ci, elle sert plutôt de plate-forme à une trentaine de tireurs d’élite d’origine américaine qui y séjourne.
Mission : enlever Laurent Gbagbo ; c’est la fameuse opération Epervier de Kkb.
Malheureusement, l’ignorance est une plaie. Si Kkb avait un peu le sens de l’observation, il aurait su que l’épervier ne s’empare que du poussin qui est esseulé dans le groupe. Or, Laurent Gbagbo est au milieu de son peuple. Supposer que la proximité des deux résidences donnerait un avantage quelconque à ces malfaisants serait un grand leurre. Il faut faire attention aux miroirs aux alouettes.
Ce fameux commando qui prétend-on a tous les plans de la résidence et suit de près les mouvements de ce domicile, a oublié une seule chose, Dieu, et l’Eternel des Armées toujours invisible pour le commun des mortels, ‘’commando super équipé » (sic) soit-il’.
3/ La Bceao : Ouattara pour payer les dus des 800 rebelles (le chiffre est d’eux-mêmes) a envisagé, un scénario catastrophe : Faire attaquer le siège de la Bceao. Du vrai gangstérisme ! Voici un Président voyou qui veut instaurer un Etat voyou en Côte d’Ivoire. On comprend pourquoi, Monsieur était si sûr de payer les salaires des fonctionnaires à la fin du mois de janvier !!!
Voici en quelques mots les dernières trouvailles de Ouattara pour être Président avant le 22 janvier.
Ivoiriens, comme Dieu est aux commandes, restons mobilisés, unis et vigilants autour de notre chère Côte d’Ivoire.
Que Dieu sauve la Côte d’Ivoire
Que Dieu garde Laurent Gbagbo.
Ange Marie Ibo Djêgba
En effet, sur ses chaînes extérieures, Ouattara, peut-être à la demande de ses copains de la communauté internationale s’est senti pousser des ailes qui l’ont conduit à donner trois jours au Président de la République Laurent Gbagbo pour déguerpir des lieux ; ou encore menaçait d’emprisonnement suite à son mot d’ordre de ville morte, tout fonctionnaire qui prendrait les chemins des bureaux… et je ne sais quels autres sornettes. Ou mieux encore, je paierais les salaires du mois de janvier 2011…
Comme le dit l’adage, il n’y a pas de fumée sans feu. Celui qui paraissait avoir mangé de la viande de cheval ces jours-ci, compte sur un nouveau plan d’attaque d’Abidjan qui se situerait entre le 10 et le 22 janvier 2011.
Planifiée dans le secret presque parfait, l’affaire a fini par s’éventer. C’est un scénario ubuesque qui dénote de la paranoïa qui s’est emparé des uns et des autres au Golf, ces jours-ci. Il ne se passe pas une heure sans que n’éclate de la violence verbale voire physique entre les cohabitants.
Quand nous avions écrit que Ouattara s’essayait au cinéma, nous n’avions pas tort. Aux dernières nouvelles, ses copains se sont convertis en scénaristes patentés.
Premièrement : Bouaké
Ils ont entrepris depuis quelques jours à Bouaké de peindre en vert olive (couleur de l’Arsenal de guerre des Fds) des chars Onuci afin d’appuyer leur prochaine attaque. Ceci, pour dire que c’est une partie des blindés de l’armée qui aurait fait scission avec les Fds et, solidaire avec Ouattara entreprendrait de renverser Laurent Gbagbo.
Toujours à Bouaké, des éléments de la Licorne entraînent durement des rebelles de Chérif Ousmane et des mercenaires burkinabé recrutés par Ouattara.
Deuxièmement : Abidjan
Ces commandos super entrainés seront évacués sur Abidjan grâce à la logistique onusienne.
Mission : s’attaquer à la Bae, à la G-R, à la Marine, à la Maca et au 3e bataillon d’Anyama. Ils viendraient en renfort à des éléments rebelles et mercenaires déjà prépositionnés à Yopougon, Port-Bouët II, N’Dotré, Abobo et Anyama.
Quand tous ces éléments rentreront en action et que la population ripostera en groupes d’auto-défense, alors les 2000 soldats onusiens venus en renfort seront chargés de la répression des foules. Quant à l’attaque de la prison civile, elle se fera en deux phases :
La première phase débutera par une révolte interne à la prison, où en plus des vrais prisonniers, des assaillants ont été introduits subrepticement en nombre conséquent par des membres de la Direction de la prison, sur laquelle d’ailleurs pèsent de forts soupçons de complicité depuis quelques mois. Ils auraient même permis dit-on, l’acheminement d’armements venus de l’extérieur moyennant de fortes sommes d’argent.
Dès ce signal, la deuxième phase consisterait à l’attaque des éléments des Fds positionnés à l’extérieur pour la défense et la sécurité des lieux. Cette phase sera perpétrée par des assaillants déjà localisés à N’Dotré.
Troisièmement : Le Banco
Les Assaillants rebelles et mercenaires attaqueraient ces jours-ci le casernement des eaux et forêts basé dans la forêt du Banco pour s’emparer de leur armement. Ils seront aidés par des jeunes du Rhdp qui ont fait ces dernières semaines plusieurs virées de reconnaissance dans la fôret. C’est un environnement qu’ils maîtrisent assez bien puisque la plupart d’entre eux font partie de la pègre abidjanaise qui y avait élu domicile pendant un certain temps.
Quatrièmement : l’Hôtel Pergola
Selon des sources concordantes du voisinage de cet hôtel, anciennement base de l’Onuci, environ 150 mercenaires de diverses nationalités : burkinabè, béninois et togolais… y séjourneraient, attendant l’heure fatidique. Ils seraient encadrés par des éléments Onuci.
Enfin, trois informations de dernières minutes nous sont parvenues selon des sources concordantes proches des chancelleries:
1/ Grand-Bassam : Une compagnie de commandos aurait été transportée à Grand-Bassam et dotée d’un arsenal de guerre conséquent fourni par la Licorne. Selon toute vraisemblance, en cas d’attaque contre les Fds qui riposteront à coup sûr, le lieu choisi servirait de refuge à Ouattara en attendant sa fuite probable dans un des pays parrain. Voici le schéma d’évacuation : Ouattara sortira par la voie fluviale (lagunaire) du Golf à Vitib près de l’évêché à Bassam. En effet, à partir du Golf Hôtel avec un Zodiac en suivant la lagune Ebrié, on aboutit au Vitib en quelques minutes. Comme quoi, Ouattara n’est pas si sûr de son affaire puisqu’il prévoit une plate-forme d’évacuation au cas où…, on ne sait jamais.
2/ Résidence de l’Ambassadeur de France. Située à quelques encablures de la résidence du Président de la République, la résidence de l’Ambassadeur de France a toujours servi de refuge à Ouattara, chaque fois que le pyromane finit de foutre le feu au pays. Cette fois-ci, elle sert plutôt de plate-forme à une trentaine de tireurs d’élite d’origine américaine qui y séjourne.
Mission : enlever Laurent Gbagbo ; c’est la fameuse opération Epervier de Kkb.
Malheureusement, l’ignorance est une plaie. Si Kkb avait un peu le sens de l’observation, il aurait su que l’épervier ne s’empare que du poussin qui est esseulé dans le groupe. Or, Laurent Gbagbo est au milieu de son peuple. Supposer que la proximité des deux résidences donnerait un avantage quelconque à ces malfaisants serait un grand leurre. Il faut faire attention aux miroirs aux alouettes.
Ce fameux commando qui prétend-on a tous les plans de la résidence et suit de près les mouvements de ce domicile, a oublié une seule chose, Dieu, et l’Eternel des Armées toujours invisible pour le commun des mortels, ‘’commando super équipé » (sic) soit-il’.
3/ La Bceao : Ouattara pour payer les dus des 800 rebelles (le chiffre est d’eux-mêmes) a envisagé, un scénario catastrophe : Faire attaquer le siège de la Bceao. Du vrai gangstérisme ! Voici un Président voyou qui veut instaurer un Etat voyou en Côte d’Ivoire. On comprend pourquoi, Monsieur était si sûr de payer les salaires des fonctionnaires à la fin du mois de janvier !!!
Voici en quelques mots les dernières trouvailles de Ouattara pour être Président avant le 22 janvier.
Ivoiriens, comme Dieu est aux commandes, restons mobilisés, unis et vigilants autour de notre chère Côte d’Ivoire.
Que Dieu sauve la Côte d’Ivoire
Que Dieu garde Laurent Gbagbo.
Ange Marie Ibo Djêgba
