NEW YORK (Nations unies) - Le Conseil de sécurité a renouvelé lundi son soutien à Alassane Ouattara, reconnu internationalement comme le président élu de la Côte d`Ivoire, et a souligné "son fort désir" que la crise politique soit résolue "pacifiquement".
"Les membres du Conseil de sécurité condamnent les attaques contre les
forces de maintien de la paix et les civils", souligne une déclaration du
Conseil. Ils "soulignent que ceux qui commettent des crimes contre les
personnels de l`ONU et des civils seront tenus pour responsables".
"Les membres du Conseil de sécurité se félicitent" du communiqué conjoint
de l`Union africaine et de la Cédéao (Communauté économique des Etats
d`Afrique de l`Ouest) "au vu de la reconnaissance d`Alassane Ouattara comme
président de la Côte d`Ivoire", ajoute la déclaration du Conseil.
"Les membres du Conseil de sécurité soulignent leur fort désir que la crise
politique en Côte d`Ivoire soit résolue pacifiquement", ajoute la déclaration.
Ils "expriment leur profonde inquiétude à propos de la violence qui
continue et des violations des droits de l`homme" dans le pays, y compris
contre les forces de maintien de la paix et condamnent les tentatives
délibérées d`empêcher l`Onuci (forces de l`ONU en Côte d`Ivoire) de remplir
son mandat, y compris la protection des civils".
Dans ce contexte, ils "condamnent fortement et demandent un arrêt immédiat
de l`utilisation des médias, spécialement par l`intermédiaire de la
radio-télévision ivoirienne (RTI) pour propager de fausses informations pour
inciter à la haine et à la violence, y compris contre l`ONU".
"Les membres du Conseil de sécurité déplorent le blocus autour de l`Hôtel
Golf (le QG de M. Ouattara) et demandent à M. Gbagbo d`honorer sa promesse
(...) de le lever immédiatement".
De source diplomatique occidentale, on soulignait que le Conseil de
sécurité, en réitérant des déclarations déjà faites, cherchait à montrer
l`image de son unité devant la crise ivoirienne.
"Les membres du Conseil de sécurité condamnent les attaques contre les
forces de maintien de la paix et les civils", souligne une déclaration du
Conseil. Ils "soulignent que ceux qui commettent des crimes contre les
personnels de l`ONU et des civils seront tenus pour responsables".
"Les membres du Conseil de sécurité se félicitent" du communiqué conjoint
de l`Union africaine et de la Cédéao (Communauté économique des Etats
d`Afrique de l`Ouest) "au vu de la reconnaissance d`Alassane Ouattara comme
président de la Côte d`Ivoire", ajoute la déclaration du Conseil.
"Les membres du Conseil de sécurité soulignent leur fort désir que la crise
politique en Côte d`Ivoire soit résolue pacifiquement", ajoute la déclaration.
Ils "expriment leur profonde inquiétude à propos de la violence qui
continue et des violations des droits de l`homme" dans le pays, y compris
contre les forces de maintien de la paix et condamnent les tentatives
délibérées d`empêcher l`Onuci (forces de l`ONU en Côte d`Ivoire) de remplir
son mandat, y compris la protection des civils".
Dans ce contexte, ils "condamnent fortement et demandent un arrêt immédiat
de l`utilisation des médias, spécialement par l`intermédiaire de la
radio-télévision ivoirienne (RTI) pour propager de fausses informations pour
inciter à la haine et à la violence, y compris contre l`ONU".
"Les membres du Conseil de sécurité déplorent le blocus autour de l`Hôtel
Golf (le QG de M. Ouattara) et demandent à M. Gbagbo d`honorer sa promesse
(...) de le lever immédiatement".
De source diplomatique occidentale, on soulignait que le Conseil de
sécurité, en réitérant des déclarations déjà faites, cherchait à montrer
l`image de son unité devant la crise ivoirienne.