Après le passage des Me Vergès et Roland Dumas, des avocats africains de la diaspora sont à Abidjan,
Quinze (15) avocats africains exerçant en Europe, réunis en collectif, sont présents à Abidjan, au
chevet des autorités légales de la Côte d’Ivoire incarnées par Laurent Gbagbo, depuis le samedi
8 janvier dernier, sur leur propre initiative. Leur objectif, en effectuant ce voyage, faire éclater la
vérité, avec les moyens juridiques, afin d’éveiller les consciences des chefs d’Etat africains et à leurs peuples qui se plaisent encore sous la domination occidentale. «Pour mieux défendre un dossier, il faut bien l’instruire. Pour le réussir, il faut aller où trouver les informations nécessaires…», a dit un éminent avocat de la place. C’est certainement cette réalité juridique qui guide les membres du collectif d’avocats africains de la diaspora. «En Europe, nous avons reçu des informations partielles.
Nous sommes donc là pour recueillir des informations complémentaires sur cette crise qui défraie
la chronique. C’est la seule élection au monde qui a focalisé tout le monde entier. Il était donc
important, pour nous, avocats africains, de venir connaître la vérité des faits...», a déclaré Jacquis
Gobert Ekami, vice-président du collectif, avant d’ajouter qu’on «fait un faux procès à la Laurent
Gbagbo». Mais à la question de savoir ce que peut faire le collectif pour mettre fin à cette crise,
Jacquis Gobert Ekami rassure : «nous proposons une mission de paix pour confirmer la légitimité des autorités ivoiriennes. Que les intellectuels africains se joignent à nous pour défendre la démocratie.
Car, c’est de cela qu’il s’agit…». Après le Président de la République, le samedi dernier, les avocats africains ont été reçus par le Conseil constitutionnel et le Conseil Economique et Social, hier lundi 10 janvier, dans les locaux de ces deux institutions. Selon Damana Pickass qui est chargé de les guider, ces juristes animeront des meetings dans des ‘’parlements et agoras’’ du District d’Abidjan avant leur départ.
Ferdinand BAILLY
Quinze (15) avocats africains exerçant en Europe, réunis en collectif, sont présents à Abidjan, au
chevet des autorités légales de la Côte d’Ivoire incarnées par Laurent Gbagbo, depuis le samedi
8 janvier dernier, sur leur propre initiative. Leur objectif, en effectuant ce voyage, faire éclater la
vérité, avec les moyens juridiques, afin d’éveiller les consciences des chefs d’Etat africains et à leurs peuples qui se plaisent encore sous la domination occidentale. «Pour mieux défendre un dossier, il faut bien l’instruire. Pour le réussir, il faut aller où trouver les informations nécessaires…», a dit un éminent avocat de la place. C’est certainement cette réalité juridique qui guide les membres du collectif d’avocats africains de la diaspora. «En Europe, nous avons reçu des informations partielles.
Nous sommes donc là pour recueillir des informations complémentaires sur cette crise qui défraie
la chronique. C’est la seule élection au monde qui a focalisé tout le monde entier. Il était donc
important, pour nous, avocats africains, de venir connaître la vérité des faits...», a déclaré Jacquis
Gobert Ekami, vice-président du collectif, avant d’ajouter qu’on «fait un faux procès à la Laurent
Gbagbo». Mais à la question de savoir ce que peut faire le collectif pour mettre fin à cette crise,
Jacquis Gobert Ekami rassure : «nous proposons une mission de paix pour confirmer la légitimité des autorités ivoiriennes. Que les intellectuels africains se joignent à nous pour défendre la démocratie.
Car, c’est de cela qu’il s’agit…». Après le Président de la République, le samedi dernier, les avocats africains ont été reçus par le Conseil constitutionnel et le Conseil Economique et Social, hier lundi 10 janvier, dans les locaux de ces deux institutions. Selon Damana Pickass qui est chargé de les guider, ces juristes animeront des meetings dans des ‘’parlements et agoras’’ du District d’Abidjan avant leur départ.
Ferdinand BAILLY