La perte de pouvoir par Laurent Gbagbo le hante à tel point qu’il s’invente des soutiens aussi bien dans les milieux interlopes français que ceux des partis politiques. Malheureusement pour le dictateur, tous aussi bien les soutiens que réels ne lui ont été d’aucuns secours.
Laurent Gbagbo ne s’attendait pas du tout à perdre des élections en Côte d’Ivoire. Surtout pas la présidentielle. Malheureusement pour lui, les résultats lui ont été catastrophiques et ses ambitieux projets de faire main basse sur la Côte d’Ivoire sont contrariés. N’ayant pas su comment décrypter le rejet aussi bien de sa personne que de sa politique par le peuple, Laurent Gbagbo a cru bon de faire appel à des institutions et à des soutiens qu’il croit sincères. Ainsi, pour faire bien, parce que cet institut est français, il lui commandite des sondages. Qui feront flop, discréditant du coup cette prestigieuse maison que tout le monde connaissait comme l’une des meilleures dans le domaine. Elle se discréditera par une campagne terne. En effet, TN Sofres commis par Laurent Gbagbo pour
auditer son image auprès des populations ivoiriennes, la maison de sondage aura bu le calice jusqu’à la lie. Elle en aura pour son compte, puisque sa notoriété sera mise en cause après avoir produit des sondages qui se sont révélés faux à l’arrivée. Le but initial étant de conforter son employeur qu’il pouvait être élu le doigt dans le nez. Malheureusement pour Édouard Lecerf, il faut se demander s’il connaissait bien la Côte d’Ivoire avant de s’engager dans cette farce-attrape.
Sa formation de journaliste qui aurait dû l’aider, ne lui a pourtant pas été d’un grand secours. Pour quelqu’un qui a fait plus de vingt ans dans le monde des études, il est impensable d’avoir participé à cette mascarade. Aujourd’hui, le DG de TN Sofres est compté au nombre des personnes dont s’est servi Laurent Gbagbo pour tromper les Ivoiriens. Pour ceux qui ont suivi et vu les résultats
définitifs des sondages TN Sofres, ils ne pourront plus jamais accorder du crédit à cette institution. A sa suite, il faut ajouter Stéphane Fouks. Comme son compère de TN Sofres, il est à mettre au nombre des soutiens de Laurent Gbagbo, le dictateur qui piétine actuellement la démocratie. Son carnet d’adresses qu’on prétendrait fourni aurait-il permis de le préférer à d’autres ?
Toujours est-il ‘‘qu’imprévisible, implacable…’’, Stéphane Fouks est tout, sauf un communicant. Dès lors, il est facile de deviner pourquoi le DG, Stéphane Fouks venu faire la campagne de communication de Laurent Gbagbo pour la présidentielle s’est révélé un fiasco. Pour tout dire, RSCG s’est planté monstrueusement. Sachant qu’il ne serait pas un homme politique, son DG
Stéphane Fouks est venu s’amuser à Abidjan. Pour s’amuser. Il le dit lui-même ‘‘Les règles de ce métier imposent d’attendre une carrière entière pour avoir deux ans d’utilité. J’ai donc choisi d’aller rejoindre les communicants. On peut y être utile en s’amusant.’’ A côté d’Édouard Lecerf et Stéphane Fouks, deux autres ‘‘aides’’ de Laurent Gbagbo : Roland Dumas et Jacques Vergès.
Avoir de tels soutiens ne constitue nullement une chance pour le Machiavel des Lagunes. Qui continue de s’engluer dans les eaux boueuses et nauséabondes de la délation, des mensonges, des tueries massives et d’incitation à la haine tribale, à la sédition et à la guerre. Roland Dumas n’est pas une référence, ni un exemple à suivre en matière de relations humaines. En février 2006, il est condamné à 12 mois de prison avec sursis dans l'affaire Giacometti pour complicité d'abus de confiance dans le cadre de la succession du sculpteur. Roland Dumas était soupçonné, aux côtés du commissaire-priseur Jacques Tajan, de détournements de fonds à l'issue de la vente de plusieurs sculptures et peintures de l'artiste suisse en juillet 1994. Celui qui accepte des pots de vin et de petits cadeaux de sa maîtresse peut-il être un exemple, à fortiori donner des leçons aux Ivoiriens ?
L’affaire Elf a suffisamment donné les preuves de sa moralité. Un homme qui se fait allumer par une jeune femme juste pour être retourné comme dans l’affaire Elf doit tenir sa langue. Prétendre donner une leçon de moralité aux Africains voire au monde n’est pas du tout approprié venant de Roland Dumas. Sa propension pour l’argent facile l’a inspiré pour la défense de Laurent Gbagbo.
Avec son compère Jacques Verges qui est un personnage assez sulfureux et parfois ambigu, ces prétendus soutiens de Laurent Gbagbo n’en sont pas un. Ce genre de personnages haut en couleurs et dont la moralité est en berne depuis une certaine affaire Elf pour l’un et un trou bien curieux dans la vie et qu’un confrère français qualifie de ‘‘jeunes gloires’’ du barreau français ne peuvent nullement constituer un quelconque soutien à Laurent Gbagbo. Au point de devenir des soutiens français ; à moins que Guy Labertit qui voulait être Président par procuration de la République de Côte d’Ivoire en créant la chienlit et en soutenant le dictateur des Lagunes dans son brigandage de la présidentielle.
Gervais Djidji
gervdji@yahoo.fr
Laurent Gbagbo ne s’attendait pas du tout à perdre des élections en Côte d’Ivoire. Surtout pas la présidentielle. Malheureusement pour lui, les résultats lui ont été catastrophiques et ses ambitieux projets de faire main basse sur la Côte d’Ivoire sont contrariés. N’ayant pas su comment décrypter le rejet aussi bien de sa personne que de sa politique par le peuple, Laurent Gbagbo a cru bon de faire appel à des institutions et à des soutiens qu’il croit sincères. Ainsi, pour faire bien, parce que cet institut est français, il lui commandite des sondages. Qui feront flop, discréditant du coup cette prestigieuse maison que tout le monde connaissait comme l’une des meilleures dans le domaine. Elle se discréditera par une campagne terne. En effet, TN Sofres commis par Laurent Gbagbo pour
auditer son image auprès des populations ivoiriennes, la maison de sondage aura bu le calice jusqu’à la lie. Elle en aura pour son compte, puisque sa notoriété sera mise en cause après avoir produit des sondages qui se sont révélés faux à l’arrivée. Le but initial étant de conforter son employeur qu’il pouvait être élu le doigt dans le nez. Malheureusement pour Édouard Lecerf, il faut se demander s’il connaissait bien la Côte d’Ivoire avant de s’engager dans cette farce-attrape.
Sa formation de journaliste qui aurait dû l’aider, ne lui a pourtant pas été d’un grand secours. Pour quelqu’un qui a fait plus de vingt ans dans le monde des études, il est impensable d’avoir participé à cette mascarade. Aujourd’hui, le DG de TN Sofres est compté au nombre des personnes dont s’est servi Laurent Gbagbo pour tromper les Ivoiriens. Pour ceux qui ont suivi et vu les résultats
définitifs des sondages TN Sofres, ils ne pourront plus jamais accorder du crédit à cette institution. A sa suite, il faut ajouter Stéphane Fouks. Comme son compère de TN Sofres, il est à mettre au nombre des soutiens de Laurent Gbagbo, le dictateur qui piétine actuellement la démocratie. Son carnet d’adresses qu’on prétendrait fourni aurait-il permis de le préférer à d’autres ?
Toujours est-il ‘‘qu’imprévisible, implacable…’’, Stéphane Fouks est tout, sauf un communicant. Dès lors, il est facile de deviner pourquoi le DG, Stéphane Fouks venu faire la campagne de communication de Laurent Gbagbo pour la présidentielle s’est révélé un fiasco. Pour tout dire, RSCG s’est planté monstrueusement. Sachant qu’il ne serait pas un homme politique, son DG
Stéphane Fouks est venu s’amuser à Abidjan. Pour s’amuser. Il le dit lui-même ‘‘Les règles de ce métier imposent d’attendre une carrière entière pour avoir deux ans d’utilité. J’ai donc choisi d’aller rejoindre les communicants. On peut y être utile en s’amusant.’’ A côté d’Édouard Lecerf et Stéphane Fouks, deux autres ‘‘aides’’ de Laurent Gbagbo : Roland Dumas et Jacques Vergès.
Avoir de tels soutiens ne constitue nullement une chance pour le Machiavel des Lagunes. Qui continue de s’engluer dans les eaux boueuses et nauséabondes de la délation, des mensonges, des tueries massives et d’incitation à la haine tribale, à la sédition et à la guerre. Roland Dumas n’est pas une référence, ni un exemple à suivre en matière de relations humaines. En février 2006, il est condamné à 12 mois de prison avec sursis dans l'affaire Giacometti pour complicité d'abus de confiance dans le cadre de la succession du sculpteur. Roland Dumas était soupçonné, aux côtés du commissaire-priseur Jacques Tajan, de détournements de fonds à l'issue de la vente de plusieurs sculptures et peintures de l'artiste suisse en juillet 1994. Celui qui accepte des pots de vin et de petits cadeaux de sa maîtresse peut-il être un exemple, à fortiori donner des leçons aux Ivoiriens ?
L’affaire Elf a suffisamment donné les preuves de sa moralité. Un homme qui se fait allumer par une jeune femme juste pour être retourné comme dans l’affaire Elf doit tenir sa langue. Prétendre donner une leçon de moralité aux Africains voire au monde n’est pas du tout approprié venant de Roland Dumas. Sa propension pour l’argent facile l’a inspiré pour la défense de Laurent Gbagbo.
Avec son compère Jacques Verges qui est un personnage assez sulfureux et parfois ambigu, ces prétendus soutiens de Laurent Gbagbo n’en sont pas un. Ce genre de personnages haut en couleurs et dont la moralité est en berne depuis une certaine affaire Elf pour l’un et un trou bien curieux dans la vie et qu’un confrère français qualifie de ‘‘jeunes gloires’’ du barreau français ne peuvent nullement constituer un quelconque soutien à Laurent Gbagbo. Au point de devenir des soutiens français ; à moins que Guy Labertit qui voulait être Président par procuration de la République de Côte d’Ivoire en créant la chienlit et en soutenant le dictateur des Lagunes dans son brigandage de la présidentielle.
Gervais Djidji
gervdji@yahoo.fr