Il est temps que la communauté internationale mette en œuvre la force légitime pour établir la légitimité d’Alassane OUATTARA.
Alassane OUATTARA a gagné l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire d’une manière démocratique, propre, transparente, avec un programme de gouvernement dont le fondement est la réconciliation nationale et l’union de tous les Ivoiriens.
Quant pendant la campagne de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire Laurent GBAGBO le candidat sortant n’ayant pas de bilan ni de projet sauf la corruption, l’importation des déchets toxiques en catégorisant les citoyens ivoiriens et faire de l’achat des consciences son programme.de gouvernement, les Ivoiriens lui on montré leur maturité politique en sortant massivement au premier tour et aussi au deuxième tour malgré le couvre-feu meurtrier de la dernière minute fait pour intimider et dissuader les électeurs d’aller voter.
Laurent GBAGBO, le candidat sortant, avait accédé à la présidence en 2000 d’une manière calamiteuse, à l’issue d’un scrutin contesté par son concurrent le général Robert Gueï. Par ailleurs, la base électorale (un million de suffrages environ) avait été acceptée par la communauté internationale alors que les principaux leaders des partis politiques avaient été exclus de cette consultation ; et cela par souci de paix. Le président sortant n’a pas été à la hauteur de la tâche qui lui avait été confiée : consolider la cohésion sociale ; bien au contraire il a instrumentalisé la crise identitaire. Cela a suscité une rébellion en 2002 au cours de laquelle Robert Gueï a été assassiné dans la cathédrale d’Abidjan par les hommes de main de Gbagbo après avoir été livré par Mgr Bernard Agré ; qui, aujourd’hui, entend donner des leçons de démocratie et de loyauté à tout le monde alors qu’il se refuse à reconnaître le choix démocratique du peuple ivoirien.
En vérité, Alassane OUATTARA a gagné l’élection présidentielle avec un score de plus de 54%. C’est cette légitimité que la communauté internationale doit établir ; si nécessaire en recourant à la force car, dans ce contexte, la force est légitime.
L’ADDL appelle à la mise en œuvre de cette force légitime par l’Union africaine et la Cédéao, qui ont reconnu la victoire d’Alassane OUATTARA, afin que le choix des Ivoiriens exprimés par les urnes soit respecté. La communauté internationale, qui doit soutenir cette action, ne doit pas, une fois encore, se laisser prendre aux pièges de Laurent GBAGBO ni se soumettre à un discours qui évoquerait une ingérence étrangère alors que GBAGBO n’est plus, légitimement, le président de la République de Côte d’Ivoire depuis 2005
L’ADDL se félicite de la prise de position courageuse du président de la République française Nicolas SARKOZY et du président des Etats-Unis Barack OBAMA ainsi que des partis politiques français présents au parlement, notamment l’UMP et le PS. Ces prises de position viennent renforcer celles de l’Union africaine et de la Cédéao.
Quais unanimement, les intellectuels et les personnalités publiques françaises reconnaissent Alassane OUATTARA comme le Président légitime que les Ivoiriens ont choisi.
Les forces des Nations unies ne doivent plus être présentes en Côte d’Ivoire uniquement pour faire le décompte des morts et déplorer la violence d’un « président » qui n’a pu se maintenir au pouvoir au cours des cinq dernières années que grâce à son « feu vert » et qui entend aujourd’hui usurper la fonction présidentielle.
Les forces des Nations unies ne doivent pas se contenter de sécuriser (jusqu’à quand ?) le président légitiment élu contre les forces mercenaires et les miliciens de GBAGBO. Elles doivent l’installer dans sa fonction qu’elles-mêmes ont certifiée.
L’Organisation des Nations unies a garanti tous les accords signés entre les acteurs politiques ivoiriens par plusieurs résolutions ; son rôle et son autorité ne peuvent donc être mise en cause dès lors qu’elle fait valoir la légitimité d’un homme telle qu’elle a été exprimée par les urnes.
Si cette légitimité n’était pas établie dans les plus brefs délais cela signifierait que la démocratisation que veulent les Africains n’est pas soutenue par la communauté internationale.
Nul n’ignore que la communauté internationale est intervenue dans la crise ivoirienne à la demande des autorités de Côte d’Ivoire, notamment Laurent GBAGBO : il a librement signé l’accord de Pretoria en 2005, relatif à la certification des élections en Côte d’Ivoire. Cet accord a été érigé en juillet 2007 en résolutions 1765/2007 du Conseil de sécurité des Nations unies, puis transposé dans notre droit national via l’ordonnance n° 133 du 14 avril 2008 portant ajustement du Code électoral pour les élections générales de sortie de crise.
On ne peut donc pas remettre en cause la certification de l’élection présidentielle par le représentant des Nations unies.
On s’étonne donc que maîtres Vergès et Dumas respectent chez eux des principes juridiques qu’ils foulent du pied en Afrique, comme s’il s’agissait d’une zone de non-droit au sein de laquelle tout est permis.
Qui peut penser que Laurent GBAGBO pourra un jour gouverner le République de Côte d’Ivoire alors que depuis une dizaine d’années il va d’échec en échec, instaurant le chaos et la désolation comme mode de gouvernement et s’efforçant de gangréner les régions environnantes tout en exerçant un chantage odieux à l’encontre des populations locales.
Cela non plus la communauté internationale ne doit pas l’accepter.
Il y a dix ans, GBAGBO avait un slogan célèbre : mille morts à droite, mille morts à gauche, j’accède à la Présidence.
Va-t-il à présent faire dix mille morts à gauche, dix mille morts à droite avant que la communauté internationale ne se décide à faire respecter la légitimité du nouveau président de la République élu, légitimité qu’elle a elle-même reconnue et garantie ? En effet, elle a surveillé l’élection, elle l’a certifiée ; cette légitimité est donc totale, et la force légitime doit être utilisée contre celui qui ne veut pas reconnaître sa défaite et qui utilise l’armée, les milices et des mercenaires pour se maintenir au pouvoir.
Monsieur GBAGBO, président sortant et sorti n’acceptera pas une issue négociée. Il l’a dit tout au long de sa campagne :
• « Je gagne ou je gagne » ;
• « La mort vaut mieux que la honte » ;
• « J’y suis, j’y reste ».
Et à ses généraux qu’il a submergés de sa « reconnaissance » :
• « Si je tombe, vous tombez ».
Il a ainsi annoncé sa chute et prédit l’intervention de la force légitime à son encontre. Les démocrates ivoiriens l’attendent avec impatience.
L’ADDL, ne crois pas que Laurent GBAGBO soit de taille à défier le monde entier.
Alassane OUATTARA a gagné l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire d’une manière démocratique, propre, transparente, avec un programme de gouvernement dont le fondement est la réconciliation nationale et l’union de tous les Ivoiriens.
Quant pendant la campagne de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire Laurent GBAGBO le candidat sortant n’ayant pas de bilan ni de projet sauf la corruption, l’importation des déchets toxiques en catégorisant les citoyens ivoiriens et faire de l’achat des consciences son programme.de gouvernement, les Ivoiriens lui on montré leur maturité politique en sortant massivement au premier tour et aussi au deuxième tour malgré le couvre-feu meurtrier de la dernière minute fait pour intimider et dissuader les électeurs d’aller voter.
Laurent GBAGBO, le candidat sortant, avait accédé à la présidence en 2000 d’une manière calamiteuse, à l’issue d’un scrutin contesté par son concurrent le général Robert Gueï. Par ailleurs, la base électorale (un million de suffrages environ) avait été acceptée par la communauté internationale alors que les principaux leaders des partis politiques avaient été exclus de cette consultation ; et cela par souci de paix. Le président sortant n’a pas été à la hauteur de la tâche qui lui avait été confiée : consolider la cohésion sociale ; bien au contraire il a instrumentalisé la crise identitaire. Cela a suscité une rébellion en 2002 au cours de laquelle Robert Gueï a été assassiné dans la cathédrale d’Abidjan par les hommes de main de Gbagbo après avoir été livré par Mgr Bernard Agré ; qui, aujourd’hui, entend donner des leçons de démocratie et de loyauté à tout le monde alors qu’il se refuse à reconnaître le choix démocratique du peuple ivoirien.
En vérité, Alassane OUATTARA a gagné l’élection présidentielle avec un score de plus de 54%. C’est cette légitimité que la communauté internationale doit établir ; si nécessaire en recourant à la force car, dans ce contexte, la force est légitime.
L’ADDL appelle à la mise en œuvre de cette force légitime par l’Union africaine et la Cédéao, qui ont reconnu la victoire d’Alassane OUATTARA, afin que le choix des Ivoiriens exprimés par les urnes soit respecté. La communauté internationale, qui doit soutenir cette action, ne doit pas, une fois encore, se laisser prendre aux pièges de Laurent GBAGBO ni se soumettre à un discours qui évoquerait une ingérence étrangère alors que GBAGBO n’est plus, légitimement, le président de la République de Côte d’Ivoire depuis 2005
L’ADDL se félicite de la prise de position courageuse du président de la République française Nicolas SARKOZY et du président des Etats-Unis Barack OBAMA ainsi que des partis politiques français présents au parlement, notamment l’UMP et le PS. Ces prises de position viennent renforcer celles de l’Union africaine et de la Cédéao.
Quais unanimement, les intellectuels et les personnalités publiques françaises reconnaissent Alassane OUATTARA comme le Président légitime que les Ivoiriens ont choisi.
Les forces des Nations unies ne doivent plus être présentes en Côte d’Ivoire uniquement pour faire le décompte des morts et déplorer la violence d’un « président » qui n’a pu se maintenir au pouvoir au cours des cinq dernières années que grâce à son « feu vert » et qui entend aujourd’hui usurper la fonction présidentielle.
Les forces des Nations unies ne doivent pas se contenter de sécuriser (jusqu’à quand ?) le président légitiment élu contre les forces mercenaires et les miliciens de GBAGBO. Elles doivent l’installer dans sa fonction qu’elles-mêmes ont certifiée.
L’Organisation des Nations unies a garanti tous les accords signés entre les acteurs politiques ivoiriens par plusieurs résolutions ; son rôle et son autorité ne peuvent donc être mise en cause dès lors qu’elle fait valoir la légitimité d’un homme telle qu’elle a été exprimée par les urnes.
Si cette légitimité n’était pas établie dans les plus brefs délais cela signifierait que la démocratisation que veulent les Africains n’est pas soutenue par la communauté internationale.
Nul n’ignore que la communauté internationale est intervenue dans la crise ivoirienne à la demande des autorités de Côte d’Ivoire, notamment Laurent GBAGBO : il a librement signé l’accord de Pretoria en 2005, relatif à la certification des élections en Côte d’Ivoire. Cet accord a été érigé en juillet 2007 en résolutions 1765/2007 du Conseil de sécurité des Nations unies, puis transposé dans notre droit national via l’ordonnance n° 133 du 14 avril 2008 portant ajustement du Code électoral pour les élections générales de sortie de crise.
On ne peut donc pas remettre en cause la certification de l’élection présidentielle par le représentant des Nations unies.
On s’étonne donc que maîtres Vergès et Dumas respectent chez eux des principes juridiques qu’ils foulent du pied en Afrique, comme s’il s’agissait d’une zone de non-droit au sein de laquelle tout est permis.
Qui peut penser que Laurent GBAGBO pourra un jour gouverner le République de Côte d’Ivoire alors que depuis une dizaine d’années il va d’échec en échec, instaurant le chaos et la désolation comme mode de gouvernement et s’efforçant de gangréner les régions environnantes tout en exerçant un chantage odieux à l’encontre des populations locales.
Cela non plus la communauté internationale ne doit pas l’accepter.
Il y a dix ans, GBAGBO avait un slogan célèbre : mille morts à droite, mille morts à gauche, j’accède à la Présidence.
Va-t-il à présent faire dix mille morts à gauche, dix mille morts à droite avant que la communauté internationale ne se décide à faire respecter la légitimité du nouveau président de la République élu, légitimité qu’elle a elle-même reconnue et garantie ? En effet, elle a surveillé l’élection, elle l’a certifiée ; cette légitimité est donc totale, et la force légitime doit être utilisée contre celui qui ne veut pas reconnaître sa défaite et qui utilise l’armée, les milices et des mercenaires pour se maintenir au pouvoir.
Monsieur GBAGBO, président sortant et sorti n’acceptera pas une issue négociée. Il l’a dit tout au long de sa campagne :
• « Je gagne ou je gagne » ;
• « La mort vaut mieux que la honte » ;
• « J’y suis, j’y reste ».
Et à ses généraux qu’il a submergés de sa « reconnaissance » :
• « Si je tombe, vous tombez ».
Il a ainsi annoncé sa chute et prédit l’intervention de la force légitime à son encontre. Les démocrates ivoiriens l’attendent avec impatience.
L’ADDL, ne crois pas que Laurent GBAGBO soit de taille à défier le monde entier.