Au Golf Hôtel, Ouattara se nourrit de mensonges. Au point qu’il se trouve obligé de mentir à la presse française qui aime bien ça aussi. Découvrez-le sur Canal +.
L’exercice aurait pu être difficile, voir périlleux pour Ouattara si Michel Denisot avait eu l’audace de lui poser des questions de fond. Malheureusement, le téléspectateur est resté sur sa faim. Face à Ouattara, le confrère français était simplement en mission. C’est pourquoi, il n’a pas eu le culot de lui demander, par exemple pourquoi dans le Nord, la zone qu’il contrôle, il y a plus de votants que d’inscrits sur près de 2000 Pv. N’empêche devant les « questions lit » Ouattara a quand même dégammé. Quand on est dans le faux, chaque bout de phrase est un cocktail de contre- vérités. Bref, lisez Ouattara qui lassé d’attendre un pouvoir qui ne vient pas, se console avec ses propres mensonges. « J’exerce le pouvoir parce que c’est moi qui ai la signature. Je nomme les ambassadeurs. Je suis à l’Hôtel du Golf pour des raisons de sécurité ». De quelle signature parle le président du Rdr ? Parce que celle qui fait fonctionner l’Etat de Côte d’Ivoire se trouve au Palais présidentiel. Et pour le moment, le seul qui le détient s’appelle Laurent Gbagbo.
Peut- être que la signature de Ouattara se résume à des actes de banditisme qu’il appelle nomination des ambassadeurs. Quelle valeur ses prétendus diplômâtes ont- ils ? Aucune évidemment. Mais avec Ouattara tout est permis. Même les situations les plus ubuesques si ça peut lui préserver encore un peu de crédit aux yeux d’une masse en majorité analphabète.
«Laurent Gbagbo est un usurpateur », confie-t- il à la télévision française. C’est le monde à l’envers ? L’usurpateur qui accuse Gbagbo d’usurpation. C’est ça le Ouattara tout craché. Lisez- le encore évoquant la question du Conseil constitutionnel. « Le Conseil constitutionnel est composé d’amis de Laurent Gbagbo, de militants du Front populaire ivoirien. Il n’a aucune crédibilité», se met presqu’à délirer le patron du Rdr. Le Conseil constitutionnel n’est pas crédible et pourtant, après «sa prestation de serment » au Golf, il a écrit à ce même Conseil constitutionnel pour lui signifier cela. Ouattara qui parle tant de crédibilité aurait dû rester logique avec lui-même en n’adressant pas de correspondance à une structure qui n’est pas crédible. Il parle en plus, d’amis du Président Gbagbo et de militants du Fpi oubliant qu’on appartient toujours à quelque chose. Le patron du Rdr masque volontairement le fait qu’au Conseil constitutionnel, il ne s’agit pas de faire du militantisme.
Mais de dire simplement le droit. Et c’est ce qui a été fait. Mais ça se comprend. Ouattara n’a jamais voulu respecter les lois de ce pays qu’il veut pourtant gouverner. Un peu plus loin, le candidat malheureux de la présidentielle tente de se nourrir d’illusions au Golf en évoquant un prétendu soutien dans l’armée. Lisez- le encore. « Je considère que ses soutiens au sein de l’armée sont très faibles, en ce moment. En réalité, nous avons une armée qui n’est pas armée. Laurent Gbagbo a pris toutes les armes et les munitions. Il les a stockées dans son palais présidentiel avec un clan de militaires recrutés essentiellement parmi les gens de son ethnie et de sa région. Nous avons beaucoup d’officiers qui nous disent qu’ils en ont assez de cette situation ». On rit et on le prend en pitié pour ses enfantillages grossiers. On se demande quels sont ces soutiens qui jusque-là trainent à se faire voir. Parce que cela fait près de 2 mois que Ouattara appelle vainement l’armée à son secours. Pur mensonge. Pour lui, l’armée ivoirienne, n’est pas l’armée. Bon ! Il peut se faire plaisir… Il parle de plus de militaires recrutés dans la région et l’ethnie de Gbagbo. Un voleur qui crie au voleur. Parce que le tribalisme n’est que dans l’entourage de Ouattara qui ne fait que des nominations sur la base ethnique. Il sait très bien que l’entourage de Gbagbo n’est pas à base ethnique. Mais comme il est à son jeu favori dans la presse internationale, il fallait basculer dans la politique politicienne avec le discours tribal qu’il affectionne bien. C’est même au nom de ce penchant ethnique qu’il annonce que « tous les soirs, des gens sont assassinés pour leur appartenance ethnique». Même pas un mot pour les policiers que ses hommes ont tué à Abobo.
Ce n’est pas son problème. En réalité, l’homme hait l’armée ivoirienne pour son caractère républicain. C’est pourquoi, il a déversé à Abobo, une bande de rebelles qui y ont semé la terreur durant deux jours. Malgré cela, Ouattara continue de croire en une arrivée de l’Ecomog à Abidjan pour faire partir Gbagbo. Il croit berner ses militants. Pourtant, même à Abobo, on est convaincu d’une chose. La Cedeao n’enverra pas de force miliaire en Côte d’Ivoire. Parce que le monde découvre de plus en plus, la vérité sur l’élection ivoirienne.
Guehi Brence
gb08301660@yahoo.fr
L’exercice aurait pu être difficile, voir périlleux pour Ouattara si Michel Denisot avait eu l’audace de lui poser des questions de fond. Malheureusement, le téléspectateur est resté sur sa faim. Face à Ouattara, le confrère français était simplement en mission. C’est pourquoi, il n’a pas eu le culot de lui demander, par exemple pourquoi dans le Nord, la zone qu’il contrôle, il y a plus de votants que d’inscrits sur près de 2000 Pv. N’empêche devant les « questions lit » Ouattara a quand même dégammé. Quand on est dans le faux, chaque bout de phrase est un cocktail de contre- vérités. Bref, lisez Ouattara qui lassé d’attendre un pouvoir qui ne vient pas, se console avec ses propres mensonges. « J’exerce le pouvoir parce que c’est moi qui ai la signature. Je nomme les ambassadeurs. Je suis à l’Hôtel du Golf pour des raisons de sécurité ». De quelle signature parle le président du Rdr ? Parce que celle qui fait fonctionner l’Etat de Côte d’Ivoire se trouve au Palais présidentiel. Et pour le moment, le seul qui le détient s’appelle Laurent Gbagbo.
Peut- être que la signature de Ouattara se résume à des actes de banditisme qu’il appelle nomination des ambassadeurs. Quelle valeur ses prétendus diplômâtes ont- ils ? Aucune évidemment. Mais avec Ouattara tout est permis. Même les situations les plus ubuesques si ça peut lui préserver encore un peu de crédit aux yeux d’une masse en majorité analphabète.
«Laurent Gbagbo est un usurpateur », confie-t- il à la télévision française. C’est le monde à l’envers ? L’usurpateur qui accuse Gbagbo d’usurpation. C’est ça le Ouattara tout craché. Lisez- le encore évoquant la question du Conseil constitutionnel. « Le Conseil constitutionnel est composé d’amis de Laurent Gbagbo, de militants du Front populaire ivoirien. Il n’a aucune crédibilité», se met presqu’à délirer le patron du Rdr. Le Conseil constitutionnel n’est pas crédible et pourtant, après «sa prestation de serment » au Golf, il a écrit à ce même Conseil constitutionnel pour lui signifier cela. Ouattara qui parle tant de crédibilité aurait dû rester logique avec lui-même en n’adressant pas de correspondance à une structure qui n’est pas crédible. Il parle en plus, d’amis du Président Gbagbo et de militants du Fpi oubliant qu’on appartient toujours à quelque chose. Le patron du Rdr masque volontairement le fait qu’au Conseil constitutionnel, il ne s’agit pas de faire du militantisme.
Mais de dire simplement le droit. Et c’est ce qui a été fait. Mais ça se comprend. Ouattara n’a jamais voulu respecter les lois de ce pays qu’il veut pourtant gouverner. Un peu plus loin, le candidat malheureux de la présidentielle tente de se nourrir d’illusions au Golf en évoquant un prétendu soutien dans l’armée. Lisez- le encore. « Je considère que ses soutiens au sein de l’armée sont très faibles, en ce moment. En réalité, nous avons une armée qui n’est pas armée. Laurent Gbagbo a pris toutes les armes et les munitions. Il les a stockées dans son palais présidentiel avec un clan de militaires recrutés essentiellement parmi les gens de son ethnie et de sa région. Nous avons beaucoup d’officiers qui nous disent qu’ils en ont assez de cette situation ». On rit et on le prend en pitié pour ses enfantillages grossiers. On se demande quels sont ces soutiens qui jusque-là trainent à se faire voir. Parce que cela fait près de 2 mois que Ouattara appelle vainement l’armée à son secours. Pur mensonge. Pour lui, l’armée ivoirienne, n’est pas l’armée. Bon ! Il peut se faire plaisir… Il parle de plus de militaires recrutés dans la région et l’ethnie de Gbagbo. Un voleur qui crie au voleur. Parce que le tribalisme n’est que dans l’entourage de Ouattara qui ne fait que des nominations sur la base ethnique. Il sait très bien que l’entourage de Gbagbo n’est pas à base ethnique. Mais comme il est à son jeu favori dans la presse internationale, il fallait basculer dans la politique politicienne avec le discours tribal qu’il affectionne bien. C’est même au nom de ce penchant ethnique qu’il annonce que « tous les soirs, des gens sont assassinés pour leur appartenance ethnique». Même pas un mot pour les policiers que ses hommes ont tué à Abobo.
Ce n’est pas son problème. En réalité, l’homme hait l’armée ivoirienne pour son caractère républicain. C’est pourquoi, il a déversé à Abobo, une bande de rebelles qui y ont semé la terreur durant deux jours. Malgré cela, Ouattara continue de croire en une arrivée de l’Ecomog à Abidjan pour faire partir Gbagbo. Il croit berner ses militants. Pourtant, même à Abobo, on est convaincu d’une chose. La Cedeao n’enverra pas de force miliaire en Côte d’Ivoire. Parce que le monde découvre de plus en plus, la vérité sur l’élection ivoirienne.
Guehi Brence
gb08301660@yahoo.fr