C’est un signe avant-coureur du départ imminent de Laurent Gbagbo du Palais présidentiel qu’il occupe désormais illégalement depuis sa déconvenue dans les urnes le 28 novembre dernier.
Lentement mais sûrement, l’armée ivoirienne réalise que l’imposture du président ne peut plus durer et surtout qu’elle tire à sa fin. Car, un Laurent Gbagbo, sans légitimité, ne peut à lui seul affronter le monde entier. C’est pourquoi ses officiers supérieurs et généraux font peu à peu allégeance au président démocratiquement élu : Alassane Ouattara.
Naturellement face à la terreur que fait régner en ce moment dans les casernes, la garde prétorienne de Laurent Gbagbo, ils attendent tranquillement dans l’ombre, le moment venu, pour se dévoiler à la Nation. Et réaffirmer ainsi leur farouche volonté de respecter la légalité et ceux qui incarnent aujourd’hui les institutions de la République de Côte d’Ivoire, à savoir le président Ouattara et son gouvernement. Ce soutien est si fort que le Chef de l’Etat reste très confiant quant au départ de Laurent Gbagbo de son fauteuil qu’il usurpe au mépris de l’aspiration du peuple ivoirien.
« Il partira. Il partira et moi j’en suis convaincu. Je reçois beaucoup de soutiens des officiers de l’armée, des cadres de l’administration », confiait le président Ouattara lors d’un entretien avec la chaîne cryptée Canal+.
De toute évidence, le ralliement des hauts gradés des Forces de Défense et de Sécurité au président Ouattara traduit l’exaspération des hommes en armes devant le putsch électoral de Laurent Gbagbo et surtout sa propension à opter pour le pourrissement de la situation. Aussi pourrait-on interpréter cela comme un ras-le-bol de ces officiers face à la « clanisation» et à l’instrumentalisation de l’armée au service d’un individu. Ils ont surtout compris que leur mission est avant tout de défendre la république et non groupe de personnes, qui du reste, ont pillé les ressources du pays.
En se ralliant ainsi au président élu, ces hommes en armes éviteraient ainsi à la Côte d’Ivoire une guerre inopportune. Et surtout épargnerait des vies humaines. Ce qui serait un énorme sacrifice pour la Nation.
Y. Sangaré
Lentement mais sûrement, l’armée ivoirienne réalise que l’imposture du président ne peut plus durer et surtout qu’elle tire à sa fin. Car, un Laurent Gbagbo, sans légitimité, ne peut à lui seul affronter le monde entier. C’est pourquoi ses officiers supérieurs et généraux font peu à peu allégeance au président démocratiquement élu : Alassane Ouattara.
Naturellement face à la terreur que fait régner en ce moment dans les casernes, la garde prétorienne de Laurent Gbagbo, ils attendent tranquillement dans l’ombre, le moment venu, pour se dévoiler à la Nation. Et réaffirmer ainsi leur farouche volonté de respecter la légalité et ceux qui incarnent aujourd’hui les institutions de la République de Côte d’Ivoire, à savoir le président Ouattara et son gouvernement. Ce soutien est si fort que le Chef de l’Etat reste très confiant quant au départ de Laurent Gbagbo de son fauteuil qu’il usurpe au mépris de l’aspiration du peuple ivoirien.
« Il partira. Il partira et moi j’en suis convaincu. Je reçois beaucoup de soutiens des officiers de l’armée, des cadres de l’administration », confiait le président Ouattara lors d’un entretien avec la chaîne cryptée Canal+.
De toute évidence, le ralliement des hauts gradés des Forces de Défense et de Sécurité au président Ouattara traduit l’exaspération des hommes en armes devant le putsch électoral de Laurent Gbagbo et surtout sa propension à opter pour le pourrissement de la situation. Aussi pourrait-on interpréter cela comme un ras-le-bol de ces officiers face à la « clanisation» et à l’instrumentalisation de l’armée au service d’un individu. Ils ont surtout compris que leur mission est avant tout de défendre la république et non groupe de personnes, qui du reste, ont pillé les ressources du pays.
En se ralliant ainsi au président élu, ces hommes en armes éviteraient ainsi à la Côte d’Ivoire une guerre inopportune. Et surtout épargnerait des vies humaines. Ce qui serait un énorme sacrifice pour la Nation.
Y. Sangaré
