Le chef de l'ONU, Ban Ki-moon, a estimé vendredi que la confrontation des Nations unies avec Laurent Gbagbo en Côte d'Ivoire envoyait "un signal fort" pour la démocratie en Afrique. Le secrétaire général a formulé une nouvelle demande à Laurent Gbagbo de laisser le pouvoir à Alassane Ouattara, le vainqueur de l'élection présidentielle reconnu par la communauté internationale.
Il a souligné que les attaques contre les forces de maintien de la paix, pour lesquelles les forces de M. Gbagbo ont été mises en cause, étaient passibles de poursuites en vertu de la loi internationale. Tandis que certains pays ont exprimé des doutes à propos d'une menace d'intervention militaire brandie par la Cédéao (Communauté économique des pays d'Afrique de l'Ouest), Ban Ki-moon a déclaré: "Aujourd'hui, nous nous tenons aux côtés de la Cedeao et de l'Union africaine pour respecter la volonté du peuple de Côte d'Ivoire".
"Nous envoyons un signal fort de soutien pour la démocratie à travers l'Afrique", a-t-il dit. Les faits sur le terrain sont indiscutables. La Côte d'Ivoire a un président légitime, Alassane Ouattara. Le précédent président, Laurent Gbagbo, doit se retirer", a-t-il ajouté. Je suis profondément inquiet de la détérioration de la situation et de l'augmentation d'incidents violents prenant pour cible les civils et la mission des Nations unies. Pour dire les choses clairement, les attaques contre des civils et les forces de maintien de la paix constituent des crimes selon la loi internationale", a-t-il dit.
"Le Conseil de sécurité discute actuellement de mes propositions en vue de renforcer la mission sur le terrain", a ajouté le chef de l'ONU.
Il a souligné que les attaques contre les forces de maintien de la paix, pour lesquelles les forces de M. Gbagbo ont été mises en cause, étaient passibles de poursuites en vertu de la loi internationale. Tandis que certains pays ont exprimé des doutes à propos d'une menace d'intervention militaire brandie par la Cédéao (Communauté économique des pays d'Afrique de l'Ouest), Ban Ki-moon a déclaré: "Aujourd'hui, nous nous tenons aux côtés de la Cedeao et de l'Union africaine pour respecter la volonté du peuple de Côte d'Ivoire".
"Nous envoyons un signal fort de soutien pour la démocratie à travers l'Afrique", a-t-il dit. Les faits sur le terrain sont indiscutables. La Côte d'Ivoire a un président légitime, Alassane Ouattara. Le précédent président, Laurent Gbagbo, doit se retirer", a-t-il ajouté. Je suis profondément inquiet de la détérioration de la situation et de l'augmentation d'incidents violents prenant pour cible les civils et la mission des Nations unies. Pour dire les choses clairement, les attaques contre des civils et les forces de maintien de la paix constituent des crimes selon la loi internationale", a-t-il dit.
"Le Conseil de sécurité discute actuellement de mes propositions en vue de renforcer la mission sur le terrain", a ajouté le chef de l'ONU.