Le Congrès national de la résistance et la démocratie (Cnrd) a organisé, samedi dernier au Palais de la Culture de Treichville, un meeting de soutien au Chef de l’Etat et aux institutions républicaines, auquel ont pris par plusieurs groupements politiques et de la société civile.
La secrétaire générale du Cnrd, Simone Ehivet Gbagbo a appelé les Ivoiriens à tourner définitivement la page des élections et à penser au développement du pays, tout en les invitant à rester sereins, mais surtout mobilisés et vigilants partout où ils se trouvent. «Le temps des débats sur les élections est passé. Notre président est vigoureusement installé au pouvoir et il travaille. Son Gouvernement travaille. Il faut que la Nation toute entière travaille, pour que l’Afrique travaille», a déclaré la première Dame.
Le député d’Abobo a par ailleurs appelé les Ivoiriens à relever tous les défis. «C`est-à-dire récupérer la totalité du territoire ivoirien. C’est le travail bien sûr des Fds, mais c’est nous aussi notre travail. Il faut les appuyer, il faut délivrer les peuples du nord, du centre et de l’ouest de la rébellion», a fait savoir Simone Gbagbo. Demandant au Gouvernement ivoirien de prendre des dispositions pour organiser les élections législatives, municipales et de Conseils généraux. «Parce que nous, nous voulons avancer. Nous ne voulons pas tomber dans le piège du chef rebelle (Alassane Ouattara, ndlr) qui veut nous obliger à faire du sur place», clame-t-elle. Pour la vice-présidente du Fpi, l’heure doit être à la transformation de ressources naturelles pour donner de l’emploi aux jeunes, aux femmes. La priorité, selon ses dires, c’est de démarrer l’Amu, améliorer les conditions d’existence des populations de Côte d’Ivoire.
Selon Simone Gbagbo, la Côte d’Ivoire est dans la tourmente parce que c’est la période du jubilé de l’Afrique, de la libération (après 50 ans d’indépendance de façade, ndlr). «Dieu nous donne cette possibilité de libération. Et il veut que cette fois-ci notre indépendance soit véritable et totale. Et non une indépendance d’oreille percée. Nous allons recouvrer notre souveraineté totale. Et dans le même temps, nous allons réaliser la libération, la délivrance de l’Afrique toute entière », a déclaré la première Dame.
Et selon elle, des signes le démontrent bien. «Il y a des choses auxquelles nous n’avions même pas pensé. La réflexion sur la monnaie, le retrait des Forces onusiennes. Mais aujourd’hui, nous l’avons fait, parce qu’on nous y a poussé. Les Ivoiriens seront un peuple leader de la libération», conclut-elle.
Plusieurs déclarations de soutien à Laurent Gbagbo et aux Institutions de la République ont sanctionné ce grand rassemblement. Notamment, celles des partis politiques non représentés dans les Institutions, des Anciens députés, du Fpi, des partis et mouvements houphouétistes et des élus Lmp.
Par Frank Toti
ftoti@nouveaucourrier.com
La secrétaire générale du Cnrd, Simone Ehivet Gbagbo a appelé les Ivoiriens à tourner définitivement la page des élections et à penser au développement du pays, tout en les invitant à rester sereins, mais surtout mobilisés et vigilants partout où ils se trouvent. «Le temps des débats sur les élections est passé. Notre président est vigoureusement installé au pouvoir et il travaille. Son Gouvernement travaille. Il faut que la Nation toute entière travaille, pour que l’Afrique travaille», a déclaré la première Dame.
Le député d’Abobo a par ailleurs appelé les Ivoiriens à relever tous les défis. «C`est-à-dire récupérer la totalité du territoire ivoirien. C’est le travail bien sûr des Fds, mais c’est nous aussi notre travail. Il faut les appuyer, il faut délivrer les peuples du nord, du centre et de l’ouest de la rébellion», a fait savoir Simone Gbagbo. Demandant au Gouvernement ivoirien de prendre des dispositions pour organiser les élections législatives, municipales et de Conseils généraux. «Parce que nous, nous voulons avancer. Nous ne voulons pas tomber dans le piège du chef rebelle (Alassane Ouattara, ndlr) qui veut nous obliger à faire du sur place», clame-t-elle. Pour la vice-présidente du Fpi, l’heure doit être à la transformation de ressources naturelles pour donner de l’emploi aux jeunes, aux femmes. La priorité, selon ses dires, c’est de démarrer l’Amu, améliorer les conditions d’existence des populations de Côte d’Ivoire.
Selon Simone Gbagbo, la Côte d’Ivoire est dans la tourmente parce que c’est la période du jubilé de l’Afrique, de la libération (après 50 ans d’indépendance de façade, ndlr). «Dieu nous donne cette possibilité de libération. Et il veut que cette fois-ci notre indépendance soit véritable et totale. Et non une indépendance d’oreille percée. Nous allons recouvrer notre souveraineté totale. Et dans le même temps, nous allons réaliser la libération, la délivrance de l’Afrique toute entière », a déclaré la première Dame.
Et selon elle, des signes le démontrent bien. «Il y a des choses auxquelles nous n’avions même pas pensé. La réflexion sur la monnaie, le retrait des Forces onusiennes. Mais aujourd’hui, nous l’avons fait, parce qu’on nous y a poussé. Les Ivoiriens seront un peuple leader de la libération», conclut-elle.
Plusieurs déclarations de soutien à Laurent Gbagbo et aux Institutions de la République ont sanctionné ce grand rassemblement. Notamment, celles des partis politiques non représentés dans les Institutions, des Anciens députés, du Fpi, des partis et mouvements houphouétistes et des élus Lmp.
Par Frank Toti
ftoti@nouveaucourrier.com