ABIDJAN- Les transports en commun n'ont pas circulé mardi dans plusieurs quartiers d'Abidjan perturbant l'activité économique suite à l'appel à la "grève générale illimitée jusqu'à ce que Laurent Gbagbo quitte le pouvoir" lancé par Alassane Ouattara.
A Adjamé, le plus grand centre commercial d'Abidjan et bastion d'Alassane Ouattara, les commerces n'ont pas ouvert et les transports en commun, taxis et mini cars, étaient absents dans les rues quasi désertes.
L'autre bastion d'Alassane Ouattara, le quartier d'Abobo présentait le même visage qu'Adjamé, de même que le quartier de Treichville.
A Yopougon, majoritairement favorable à Laurent Gbagbo, le transport était également perturbé mais quelques taxis communaux circulaient à la mi-journée et les commerces et marchés étaient ouverts.
Dans le quartier administratif et des affaires, le Plateau, la circulation était très fluide, contrairement à l'ambiance habituelle des jours ouvrables, même si les magasins et services administratifs ont fonctionné.
A Yamoussoukro, la capitale politique (centre, 230 km d'Abidjan), les activités économiques n'ont pas été perturbées, selon un journaliste local.
Les stations d'essence, magasins et boutiques, en passant par les services administratifs et les écoles, tous ont ouvert et le transport tant urbain qu'interurbain était normal.
Deux premiers appels à la "grève générale illimitée" par le camp Ouattara avait connu un bilan mitigé.
A Adjamé, le plus grand centre commercial d'Abidjan et bastion d'Alassane Ouattara, les commerces n'ont pas ouvert et les transports en commun, taxis et mini cars, étaient absents dans les rues quasi désertes.
L'autre bastion d'Alassane Ouattara, le quartier d'Abobo présentait le même visage qu'Adjamé, de même que le quartier de Treichville.
A Yopougon, majoritairement favorable à Laurent Gbagbo, le transport était également perturbé mais quelques taxis communaux circulaient à la mi-journée et les commerces et marchés étaient ouverts.
Dans le quartier administratif et des affaires, le Plateau, la circulation était très fluide, contrairement à l'ambiance habituelle des jours ouvrables, même si les magasins et services administratifs ont fonctionné.
A Yamoussoukro, la capitale politique (centre, 230 km d'Abidjan), les activités économiques n'ont pas été perturbées, selon un journaliste local.
Les stations d'essence, magasins et boutiques, en passant par les services administratifs et les écoles, tous ont ouvert et le transport tant urbain qu'interurbain était normal.
Deux premiers appels à la "grève générale illimitée" par le camp Ouattara avait connu un bilan mitigé.