L'appel à une opération « pays mort » en Côte d'Ivoire, lancée par le camp d'Alassane Ouattara pour renforcer la pression en vue d'un départ de Laurent Gbagbo de la présidence, semblait bien suivi mardi à Abidjan dans ses bastions mais très peu ailleurs, a constaté.
Dans les quartiers populaires Abobo et Adjamé, fiefs du camp Ouattara, placé sous couvre-feu nocture depuis près d'une semaine en ce qui concerne Abobo suite à des violences meurtrières, la circulation était très limitée, ce mardi 18 janvier, et de nombreux magasins étaient fermés.
Les cours dans les écoles étaient également pertubés tout comme les transports publics.
« Nous sommes fatigués de ces perturbations (...) On veut vaquer à nos occupations », se plaignait une dame, dans l'attente... suite de l'article sur RFI
Dans les quartiers populaires Abobo et Adjamé, fiefs du camp Ouattara, placé sous couvre-feu nocture depuis près d'une semaine en ce qui concerne Abobo suite à des violences meurtrières, la circulation était très limitée, ce mardi 18 janvier, et de nombreux magasins étaient fermés.
Les cours dans les écoles étaient également pertubés tout comme les transports publics.
« Nous sommes fatigués de ces perturbations (...) On veut vaquer à nos occupations », se plaignait une dame, dans l'attente... suite de l'article sur RFI