L’acte II de l’opération ‘‘ Pays mort’’ initiée par le gouvernement ivoirien pour exiger le départ de Laurent Gbagbo du pouvoir a commencé très fort dans la commune de Treichville. De la bouillante gare de Bassam aux avenus les plus fréquentés en passant par le marché central, Treichville ressemblait hier à une ville fantôme. Les incessants coups de klaxon des taxis communément appelé ‘‘ wôro wôro’’ ont fait place à des rues désertes ou régnaient un calme plat.
Dans les nombreux avenus, point de bus. Les quelques bus lancé par la Sotra aux premières heures de la journée n’ont plus emprunté leur circuit habituel s’adonnant à plusieurs déviations pour rallier les autres communes d’Abidjan.
Les commerçants d’ordinaire très présents autour de la Mairie ont tous baissés pavillon. Même constat au niveau du marché de Belleville ou les vendeurs étaient aux abonnés absents. La situation était plus tendue au niveau de la rue 38 ou des soldats de Laurent Gbagbo, face aux jeunes militants du Rhdp déterminés à faire respecter le mot d’ordre, ont fait usage de leurs armes et de gaz lacrymogène. Malgré un retour au calme, 30 minutes environ après cet affrontement, les commerces sont restés fermés et le transport n’a point reprit. La commune du maire François Amicha démontre une fois de plus son attachement au respect du vote des ivoiriens qui ont choisit Alassane Ouattara comme président de la République.
F.A
(Stagiaire)
Dans les nombreux avenus, point de bus. Les quelques bus lancé par la Sotra aux premières heures de la journée n’ont plus emprunté leur circuit habituel s’adonnant à plusieurs déviations pour rallier les autres communes d’Abidjan.
Les commerçants d’ordinaire très présents autour de la Mairie ont tous baissés pavillon. Même constat au niveau du marché de Belleville ou les vendeurs étaient aux abonnés absents. La situation était plus tendue au niveau de la rue 38 ou des soldats de Laurent Gbagbo, face aux jeunes militants du Rhdp déterminés à faire respecter le mot d’ordre, ont fait usage de leurs armes et de gaz lacrymogène. Malgré un retour au calme, 30 minutes environ après cet affrontement, les commerces sont restés fermés et le transport n’a point reprit. La commune du maire François Amicha démontre une fois de plus son attachement au respect du vote des ivoiriens qui ont choisit Alassane Ouattara comme président de la République.
F.A
(Stagiaire)